Salut chère autrice !
Je voulais de donner un retour de ton histoire, liés sans le vouloir :
C'était. La. Meilleure. Fiction. De ma vie.
Aujourd'hui, j'ai pleuré. De joie, mais aussi de peine. Cette peine qui a fait saigner mon coeur. J'ai rencontré un talent. Pas de ceux qu'on trouve par milliers, mais la perle rare qui fait danser notre coeur et qui nous tiens en haleine.
Sache qu'aujourd'hui, j'ai été marqué à vie. Est-ce une mauvaise chose ? Je ne sais pas. J'ai vécu à travers ces deux personnages mille et une souffrance, que jamais personne de connaitra.
Savais-tu que tout ce qu'on lit est considéré comme étant un vécu à part entière ? Savais-tu que chacune des lettres qui volent sous nos doigts seront la part d'une vie d'un lecteur ?
Si tel est le cas, aujourd'hui, j'ai pleuré.
Tout d'abord, d'impuissance.
De discrimination.
J'ai pleuré la perte d'un ami.
Je pense avoir vécu le deuil, à travers cette lecture, la plus douloureuse qu'il m'est été donné de lire. Et merci pour ce passage poignant.
L'hommage d'Eijiro m'a pris aux tripes plus que ce que je ne veux bien l'admettre.
J'ai nagé dans l'incertitude. Est-il mort ?
Est-ce vrai ?
Ton histoire m'a tenu en haleine.
Mais aujourd'hui, malgré la mort qui planait autour de ton histoire, j'ai vécu.
J'ai vécu un amour d'abord toxique.
J'ai rit d'une liberté qui n'était même pas la mienne.
J'ai vécu. J'ai endurée. Puis j'ai nagé dans le bonheur.
Peut-être vers une future lecture de toi, autrice, qui me bouleversera tout autant ?
Qui sait...
Moi, je sais seulement qu'aujourd'hui, je ressortirai certes, triste de finir une pépite, mais remplis d'un acquis de conscience et d'une vigilance pour sauver mes proches.
La discrimination tout au long de ton récit était super bien illustrée. Alors
Aujourd'hui, je me sens d'humeur altruiste et politique. J'ai envie de défendre les gens dans le besoin. Alors merci.
Merci pour cet échapatoire.
Merci pour ces crises de fou rire.
Merci.