lonekangst

Je ne comprends rien à l’amour
          	Un jour tu penses qu’il est autour 
          	Celui d’après tu penses qu’il n’arrivera jamais
          	
          	
          	Je ne comprends rien à l’amour
          	Je baigne dedans depuis toujours 
          	Et pourtant je suis incapable de le reconnaître 
          	
          	
          	Je n’y pige vraiment rien à l’amour 
          	Est-ce qu’il démarre par un coup de foudre 
          	Ou par la fonte d’un feu incandescent?
          	
          	
          	C’est trop compliqué pour moi l’amour 
          	Je me demande si c’est cette sensation naissante 
          	Cette main (au bas de la taille) qui me maintient proche de son bassin
          	
          	
          	
          	
          	
          	La cire qui coule 
          	Sur sa longueur, qui roule 
          	Brûlante, la goutte se déroule  
          	Blanchâtre, dangereuse comme la houle 
          	
          	
          	
          	
          	
          	J’avais réussi à sortir de ma tête 
          	Mais me revoilà noyée dedans
          	Dans mes pensées qui ondulent doucement
          	
          	Je n’avais plus besoin de maître 
          	Je me dirigeais seule à présent  
          	Le fleuve n’était calme, mais sans torrent
          	
          	Puis la complicité et l’échange sont arrivés 
          	Avec eux, des questions que j’ai déjà posé 
          	Les envies torrides d’en parler avec à terme 
          	Les hormones qui pulsent dans mes veines
          	
          	Les promesses alambiquées 
          	Et les douzaines d’ambiguïté
          	Les offrandes douces comme l’été 
          	Le désir profond d’être aimé et d’aimer 
          	
          	Tu te demandes 
          	Tu boudes
          	Tu redemande 
          	Tu coules
          	
          	Je ne sais pas ce que c’est
          	Mais tout le monde autour semble avoir compris le secret
          	Décortiqué le jeu sous tous ses aspects 
          	Tandis que je cherche, jfais de mon mieux avec les cartes que j’ai
          	

lonekangst

Je ne comprends rien à l’amour
          Un jour tu penses qu’il est autour 
          Celui d’après tu penses qu’il n’arrivera jamais
          
          
          Je ne comprends rien à l’amour
          Je baigne dedans depuis toujours 
          Et pourtant je suis incapable de le reconnaître 
          
          
          Je n’y pige vraiment rien à l’amour 
          Est-ce qu’il démarre par un coup de foudre 
          Ou par la fonte d’un feu incandescent?
          
          
          C’est trop compliqué pour moi l’amour 
          Je me demande si c’est cette sensation naissante 
          Cette main (au bas de la taille) qui me maintient proche de son bassin
          
          
          
          
          
          La cire qui coule 
          Sur sa longueur, qui roule 
          Brûlante, la goutte se déroule  
          Blanchâtre, dangereuse comme la houle 
          
          
          
          
          
          J’avais réussi à sortir de ma tête 
          Mais me revoilà noyée dedans
          Dans mes pensées qui ondulent doucement
          
          Je n’avais plus besoin de maître 
          Je me dirigeais seule à présent  
          Le fleuve n’était calme, mais sans torrent
          
          Puis la complicité et l’échange sont arrivés 
          Avec eux, des questions que j’ai déjà posé 
          Les envies torrides d’en parler avec à terme 
          Les hormones qui pulsent dans mes veines
          
          Les promesses alambiquées 
          Et les douzaines d’ambiguïté
          Les offrandes douces comme l’été 
          Le désir profond d’être aimé et d’aimer 
          
          Tu te demandes 
          Tu boudes
          Tu redemande 
          Tu coules
          
          Je ne sais pas ce que c’est
          Mais tout le monde autour semble avoir compris le secret
          Décortiqué le jeu sous tous ses aspects 
          Tandis que je cherche, jfais de mon mieux avec les cartes que j’ai
          

lonekangst

j’ai écris ça le 24/12/24 et j’aime beaucoup : 
          
          J'ai lu quelque part que ces blessures qui ne guérissent peut-être jamais réellement sont la peine que j'ai à purger, la fatalité d'être artiste, la fatalité de tout ressentir mille fois trop fort, comme si, alors que tout brûle autour de moi sans ne jamais me toucher, je trouve ma place dans la braise, dans l'étincelle qui a démarrer ce feu déracinant.
          
          Comment je peux en vouloir aux Hommes de n'être que ce qu'ils sont? Comment puis-je leur en vouloir de n'être plus que ce qu'ils ont ?
          
          Leurs lignes et leurs droites qui se confrontent toutes en angle droit sont trop saillantes pour les rondeurs de ma chair.

lonekangst

@lycrose c’est gentil merci!
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lycrose

@lonekangst  "je trouve ma machine dans la braise" c'est beauuu 
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lonekangst

Im always conversing 
          My mouth won’t stop talking
          Either with chatgpt 
          Or a real human being
          
          I can’t even point out the difference
          Both have become so tasteless in the mouth 
          both let me sleep alone
          Both let me drown in the shore
          
          I hate the sound of my voice 
          I’m continually spitting nonsense
          Trying so hard to prove them wrong 
          On a subject I can’t even comprehend
          
          If only I could shut the machine down
          I wouldn’t have to be so sterile all the time
          There would be relevance in my actions 
          And the rest of the time, I wouldn’t have to pretend 
          

lonekangst

my very own flesh shell 
          
          my heart aches so much
          from being alone 
          my heart aches so much
          from being a lone 
          woman in a world where
          people have each other
          my heart aches so much
          for the impossible 
          
          
          Can I be complete
          when will I find my missing bone 
          the one that shares my skin?
          they appear but they don’t seem to be the one
          
          We share some laughs 
          Before midnight 
          Then we go back
          to our own homes
          
          Is it real 
          Is it possible
          Am I dreaming 
          Of something unreachable 
          Should I put in more efforts 
          To find that person they all call the one
          
          Is it me 
          The common denominator 
          Or Is it time that works against me the most
          I’m trying to better myself trying to be my best self
          But it takes so much space to be the best 
          To be the best version of yourself
          
          It is so hard to try and please someone you don’t know 
          It is so hard, de trouver les bons mots
          It is so hard, they all seem to be old
          It is so hard, to find the right one
          
          I keep smiling
          Greeting 
          I keep trying 
          Grinding 
          
          But then I miss the comfort of my own bed
          The smell of my sweaters
          The hot tea by my amp
          My individuality in all its glory
          
          
          
          
          
          
          Somebody made me a promise 
          Apparently ill find my missing piece 
          Not too old not young, really the right fit
          I don’t know who that was, but they made me a promise 
          
          So i swim in the bathtub
          Trying to reach the shore 
          To stand Still to stand tall
          
          So I give my everything 
          All that ive got 
          But maybe it’s not enough, 
          
          But I keep the pace 
          I keep holding my breath
          I keep singing harder louder 
          To attract like I am a siren
          
          but I’m only human
          wandering among the deserts of faces
          halved by the thoughts in my brain
          I can only sing undershower 
          
          I keep making prayers 
          Asking for my man
          My own human
          my mirrorred palm
          
          I keep folding my hands 
          leaving a free seat by my side
          Gazing at the exit door to see him appear 
          Looking for he who dwells within my flesh 
          
          my very own flesh shell