Je crois que, personnes ne voit ce que nous sommes vraiment. Je crois que nous ne sommes pas le résultat de la somme de, notre prénom plus notre grandeur ou alors notre poids. Nous ne sommes pas non plus un sexe, un genre. Ni un âge, non plus d'où nous venons. 
Je crois que nous sommes plutôt notre roman favoris. L'amas des chansons qui restent prises dans notre tête. Je crois que nous sommes ce à quoi nous croyons, ou tout simplement ce que nous mangeons le Samedi matin, pour déjeuner. 
Je crois que nous sommes un million de choses. Mais les gens décident malheureusement de voir le million de choses que nous ne sommes pas.
Vous m'avez sûrement vu. Inclu dans votre cercle d'amis. Vous avez probablement commencer à me parler sans savoir qui j'étais vraiment. Vous m'avez possiblement demander, mon prénom, mon âge. Ma ville natale. Je vous ai alors répondu «Margaux, 14 ans. Montréal.» Aussi pathétiquement que cela. 
Vous auriez pu vraiment chercher à en savoir plus sur moi.  
Je vous aurais alors partager, mes étranges passions. Comme par exemple, la fascination avec laquelle je regarde une mappemonde. Comment les drapeaux des différents pays m'émerveille. J'aurai pu vous dire que, ma seule façon de me sentir complètement vivante est de sortir en plein air. Je vous aurais parlé de mon côté qui analyse tout. Comment j'aime mon sport. À quel point je voudrais traverser les océans à la découverte de la planète. Et que mon rêve le plus fou ce trouve au-delà de notre atmosphère. Le pourquoi je ne me convertis pas à la mode et pourquoi j'aime qu'on me dise que je suis étrange. Ma manie de sortir la nuit par la fenêtre de ma chambre pour regarder les étoiles. Je vous aurais assurément parlé de mon amour inconditionnel pour One Direction. Mais aussi à quel point Hubert Lenoir fait fondre mon cœur. Mon aspect perfectionniste qui veux toujours que mes pièces au violoncelle sois plus-que-parfaites. 

Mais vous ne l'avez pas fait, et c'est bien comme ça.