Au creux de l'inexorable chute,

De ces cœurs envieux,

Je caresse les étoiles,

Décorant les tendancieux propos,

Sur les pulpeuses lèvres,

Des sauvages fleurs,

Mutilant mes silences,

À coups de déboires,

Ou de songes...






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Nommez-moi Chat,
Je reste un fugitif esprit,
En arrière-fond,
Un morceau de Bach,
Et sur les genoux,
Une œuvre d'Edgar Poe,
Émoustillant mes sens,
Et coupant mes fils,
Sur les dunes numériques,
Au détour d'un rythme,
De six cent soixante-six,
Minutes et heures confondues.



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" Ma muse était un homme,
Au cœur de chiffon noir,
Et aux yeux d'ébène..."