j'me rappelle de pourquoi je l'aime, je revois le début, les premières semaines.
on pourrait repartir à zéro, un zeste d'utopie de merde, mais c'est du délire.
Garde le sourire, plus rien n'est grave, oublions les secondes de souvenirs qu'il nous reste dans le crâne.
- JoinedMay 17, 2017
Sign up to join the largest storytelling community
or
Story by sam chauffeur tram
- 1 Published Story
plume libératrice
60
2
3
plume libératrice ; la thérapie par les mots
#729 in short
See all rankings