Salut !
Nouveau livre disponible "ROSSBERY, the end of us" pour un public averti
Voici la description ci-dessous :
Tic, Tac.
Dans l'effervescence de Cambridge, Rosaline Isadore n'était pas qu'une héritière : elle était une femme d'affaires redoutable, sculptée à l'image de son père, Stefan Isadore, l'inébranlable magnat de l'empire familial. Toute sa vie, elle avait appris à porter le poids du nom Isadore, à naviguer dans un monde où l'or et le sang s'entrelacent. Mais depuis la mort de sa mère, ce monde étincelant lui semblait vide, creux, dénué de tout éclat.
Quelque chose en elle s'était brisé. Chaque réunion, chaque signature, chaque jeu de pouvoir laissait un goût de cendres sur ses lèvres. La passion qui l'animait autrefois s'était éteinte, remplacée par une sensation oppressante, presque suffocante. Une noirceur rampante.
Puis, il était arrivé. Abel Rossbery. Le rival de son père, l'homme que l'on murmurait être plus serpent que lion. Lorsqu'il s'était approché d'elle, c'était comme si l'ombre elle-même s'était matérialisée dans la pièce, attirante, interdite, dangereuse. Il lui avait fait une proposition.
Un pacte.
Elle, la fille de l'empire, utiliserait son esprit aiguisé pour l'aider à tisser une toile autour de leur ennemi commun. Lui, en échange, lui ouvrirait des portes qu'elle n'avait jamais osé franchir seule. Des portes menant à la vérité, à sa vengeance, à ce secret inavouable qui obsédait ses nuits.
Dans le reflet trouble de leurs regards échangés, il y avait autre chose. Une tension, une promesse implicite. Un danger fascinant, irrésistible.
Mais à mesure que le jeu avançait, que les pièces s'imbriquaient, une question lancinante lui brûlait les lèvres, rongeait ses pensées :
« Le meurtrier de ma mère, Abel... Ce n'est pas toi, n'est-ce pas ? »
Tic, Tac. Les secondes s'égrenaient. Et dans l'éclat de ses prunelles, elle devinait une réponse qu'elle n'était peut-être pas prête à entendre.
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