Le problème c’est que, je commence quelque chose, une sorte d’histoire que je n’aime pas appeler une histoire parce que, c’est juste la somme de ce par quoi est captivé mon cerveau pendant un moment, bref. Le problème c’est que, je commence un écrit, prise par le truc, les détails, puis, une autre idée plus fougueuse, plus charnue, me tient en vie, me donne envie, me faisant passer l’envie de m’occuper de quoi que ce soit d’autres… mais bon, je suis libre n’est-ce pas ?