Chapitre 22

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Je riais comme une enfant, quand je voyais mes camarades se prendre mes projectiles en pleine tête.

Je croisa le regard de Karma au mauvais moment. Il venait de se prendre...Un projectile blanc...En plein sur sa braguette...?

Oh mon dieu, c'est vraiment pas le moment pour penser à ça.

Si j'étais dans un anime, j'aurais certainement saigner du nez...

Karma et les autres rirent de son état.

Help me !

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Petit mot avant de commencer : 

J'espère que les allusions, que j'ai faites durant les derniers chapitre ne vous dérange pas, je préfère écrire avec, car mon style d'écriture, je pense  qu'il doit me ressembler, et je vous avoue, que parfois écrire simplement, en tout cas sur cette histoire m'ennuie TnT

J'ai juste peur d'en choquer quelques uns, mais c'est rien c'est la rue ou plutôt c'est rien, c'est RRARAH TvT

Allez on reprend :')

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 C'est pas possible de penser à des choses comme ça et d'en fantasmer sans rien ressentir, j'ai vraiment l'impression d'être la seule ici à penser à des choses salaces. En même temps à part Okajima, ils sont à peu près tous innocents. 

Et c'est pas Okajima qui va fantasmer sur Karma. Donc je me sens seule, à penser à lui.

Je devrai plutôt me dire que les gens pervers sont les plus drôles. Ouais, ça remonte mon ego, qui va bientôt exploser d'ailleurs.

Rahhhhhh qu'est-ce que c'est dur d'être moi.

-"Ils seraient temps de rentrer, vous avez assez profité de la neige" dit M. Karasuma en tournant un regard inquisiteur à Karma qui n'affichait qu'un sourire amusé. Il reprit :

-"Vous avez une cible à abattre avant la fin de l'année solaire, alors allez-y."

Ce n'est pas le prof le plus motivant, le plus optimiste et encore moins le plus souriant, mais nous l'adorons quand même. Alors on l'écouta. 

Il me sauve, honnêtement. Merci monsieur. 

Le poulpe jaune fit alors comme d'habitude, il nous fit cours, qui était intéressant, il nous aider et nous motiva. 

J'ai encore du mal à y croire. Est-ce vraiment possible qu'un poulpe jaune parle et me fasse cours ? Non, j'ai l'impression qu'à tout moment, je vais me réveiller et retourner à mon quotidien avec la classe-A... 

C'est peut être égoïste, mais je suis mieux ici, que dans une classe enfermé avec des élèves avec qui je ne partage ni affinité, ni complicité et pour qui je n'éprouve aucune sympathie.  Généralement, dans les classes, il y a toujours des groupes. La classe est divisé en plusieurs personnes et ne partagent rien. 

Moi j'étais l'élève seule et antipathique, qui ne voulait pas être mêlée aux autres, car ils étaient tous hypocrites. D'ailleurs, ces autres, ils parlaient de moi dans mon dos, tout en étant souriant devant moi. 

Ce genre de personnes me rebutent et c'est le comportement typiques des élèves là-bas.

Je n'ai pas ce sentiment ici, avec ces personnes. Ils ne sont pas hypocrites envers eux même et ont leur personnalité propre, ce ne sont pas des robots qui se ressemblent.

Alors c'est égoïste, car c'est la réputation des gens qui me sont proches qui en prennent un coup. Celles de mes parents par exemple. 

Je me sens plus heureuse ici, car je me sens aimé, et moi même j'aime. Je les aime tous, mais il y a une personne que j'aime différemment des autres.

M. Koro, vos tentacules me font fondre d'envie...

Non c'est faux, va falloir, que j'assume maintenant, et évidemment c'est Karma...

J'aurais jamais pensé tomber amoureuse, surtout quand on m'a annoncé que j'allais intégrer cette classe de "bon à rien" comme je les appelé.

Maintenant, moi aussi je suis une bonne à rien, et j'en suis fière. 

Qu'est-ce que je vais faire ensuite ? Pas qu'imaginer Karma à moitié nu, me dérange, mais je devrai peut-être penser à lui dire.

Enfin je vais pas lui dire que je pense chaque jour à lui et son torse nu, voir plus bas, je lui ferai peur...

Va falloir que j'y réfléchisse...

Après ce cours interminable je quitta la classe en dernière pour me retrouver seule face mes pensées.

Alors j'aime vraiment cette petite tête rousse voir rouge ? 

Faut bien que je me rende à l'évidence... 

 En sortant du bâtiment, si peu entretenu, je vis face à moi un attroupement des gens de 3-E qui étaient de dos. 

Pourquoi ils ne partent pas ? Je m'approcha puis en entendant le bruit de mes pas ils se retournèrent, avec un regard triste, la mine boudeuse. Ceux qui étaient au milieu s'écartèrent pour que je puisse voir... L'abrutit de la classe-A, Asano.

Pas lui, surtout pas lui. 

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770 mots

On arrive bientôt à la fin de cette fanfic (enfin je crois)

Du coup à la semaine prochaine ! X)

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