Black Moon - Jacob Black

chacun de son coté

Après la réunion de la meute, certains étaient partient aidé à la reconstruction de cabanons sur la plage. Et de mon côté, je partie vers la forêt redoutant la confrontation avenir.

Ce n'était pas la première fois que je devais la voir , elle n'était pas dangereuse à proprement parlé, elle me rappelait toujours les vérités douloureuses, le moment durs, celle que j'étais avant...

Je jugea que j'étais assez enfoncée dans les bois que les arbres me cachaient suffisamment .Il faisait sombre la lumière peinait à percer les feuillages. Il n'y avait pas grand choses apart de la mousse d'un vert très foncé et on pouvait même voir une légère brume au niveau du sol. L'air était lourd et humide , un décor qui vous donne un sentiment de malaise profond.

Je pris une grande inspiration ainsi que mon courage , et lâcha dans un souffle

- "Je suis là..."

C'est alors que les gouttes d'eau présentent dans les environs se mirent à ruisseler pour former une petite flaque d'eau , plus la flaque s'agrandissai plus l'eau prenait une teinte argentée.
Après quelques secondes d'attente la flaque , qui faisait maintenant au moins 1,50 m de circonférence, commença às'éleverdans les airs , prenant le forme d'un ovale parfait.

L'eau ressemblait maintenant à un miroir de mercure liquide , d'aucuns aurait pensé que la personne en face de moi était simplement mon reflet mais la différence entres les deux visage était flagrante . Le but de ce sort n'est pas de créer un miroir mais d'ouvrir une fenêtre sur une prison mental.

- "Il est sympas ton louveteau, faudrait que tu me le présente après tout il m'aime aussi ."

Je leva le regard , qui depuis le début contemplait le vide , elle est comme la dernière fois que je l'ai vue. Couverte de cicatrices,certaine encore ouverte, le regard noir et emplie de haine, elle ne devait pas avoir plus de 10 ans , toujours habillé dans sa petite robe d'écolière, cette dernière était un peut brûler à certains endroits.
elle est moi , enfin la partie de moi qui me répugne.

-"Pourquoi tu m'as attiré dans le monde des ombres, pourquoi avoir dit toutes ces choses.

- Pour que tu partes, notre chien était en contacts avec Bella Swan , elle va avoir un enfant et les volturis vont venir..."

-"Non ce n'est pas possible . "Je sentais la peur m'envahir.

- "Oh que si et si c'est foutu vampires viennent à ton avis que vont ils penser d'une sorcière? La chasse va être réouverte et ils nous traqueront ." Cracha-elle avec mépris

-"Oh on pourrait très facilement les battre mais ton petit amoureux loups-garous te verra telle que tu es ." Terminat elle .

C'est vrai que j'avais peur de ce moment , j'ai passé des années à me faire traquer par de fervents chrétiens, des vampires,.... Certains voulaient une armes ,d'autres essayaient de débarrasser la terre des "démons ".

- "Et si on combattait les volturis avec les Cullens ? Ils pourraient nous voir sous un autre jours.

- Qu'ils te voient en bien ou en mal le résultat est pareil tu es une meurtrière et ça tu doit l'accepter, tu dois m'accepter. Arrête de jouer au gentille sorcière ,prends les armes .

- je ne peux pas je-

- NE CHERCHE PAS D'EXCUSE! Tu as peur que tes nouveaux amis te rejettent comme tout le monde nous a rejeté. Tu penses qu'ils t'aiment mais ils ne te connaissent pas ,tu leur ment, tu ne mérite pas leur amour. Et ton Jacob tu y as pensé ils te détestera vraiment quand il verra le vrai toi. Et moi je serais là, derrière toi à devoir ramasser les morceaux de ton coeur brisé pendant que tu les tuera tous.

-stop , je t'en pris,... stop... "sanglot ai je

Sans attendre le miroir était tombé laissant comme seul preuve de cet douloureux échange une flaque d'eau.

J'essayais de sécher mes larmes  quand une vive douleurs me pris au bras gauche, des lettres se gravaient les unes après les autres,  mon bras brûlait si fort c'était comme si tout mon corps brûlais.  Quand le texte fût terminé on pouvait lire:

"de vil vite, og de vil hate deg. de vil vite, og de vil synes du er fryktelig
dø
lide som de har lidd"

Avec ça marqué sur le corps je serais obligé d'en parler à quelqu'un.