Un nouveau job

12 2 0
                                    

Pdv ana:

Paris, ville de l'amour mais aussi de galère. Pour faire court, je viens d'une campagne du sud et mon arrivée à Paris me fit réaliser à quel point j'avais besoin d'un travail. Ce qui n'est pas le plus simple à trouver. Des milliers de demandes pour un seul poste. Un soir que je rentrais d'un énièmes entretien d'embauche, je tombais sur une affiche, qui proposait un travail à temps pleins en tant que femme de ménage dans un hôpital. Il y avait un numéro en dessous. Je m'empressai de le prendre. Une fois rentrée dans mon minuscule placard qui me servait d'appartement, j'appelais le numéro pour me renseigner sur le poste et voir pour un éventuel rendez-vous. La femme au bout du fil me dit que le poste était libre depuis près d'un an, et que du coup je pouvais si je le souhaitais avoir un rendez-vous dès le lendemain matin. J'acceptai sur le champ. Je raccrochai le téléphone et sautai de joie. Je me prépare pour le lendemain de manière à impressionner si possible mon futur patron.
Le lendemain matin, je me rendais à l'hôpital pour passer mon entretien. Sur le chemin, je me remémorais sans cesse ce que je devais dire pour être sur d'être prise, d'un coup étrange sentiment s'empara de tout mon corps. Je ne saurais le décrire, mais je décide de l'ignorer. Arriver à l'accueil de l'hôpital, l'intendante me demande ce que je voulais:
- Bonjour, que puis-je faire pour vous?
- Bonjour, pourriez-vous me dire où ce trouve le bureau de Monsieur Histre s'il vous plaît. C'est pour le poste de femme de ménage.
D'un coup la femme devint toute pâle. Elle m'indiqua l'endroit où ce trouve le bureau tout en me souhaitant un bon courage.
Arriver devant le bureau de Monsieur Histre, il me reçu à l'intérieur et l'on pu commencer .
- Je ne vais pas vous mentir, cela fait un moment que nous cherchons quelqu'un. Les trois dernières femmes de ménage engagées on démissionner après la première nuit de travail. Espérons que vous durerez plus longtemps.
- Sans indiscrétion, vous savez pourquoi?
- Malheureusement, non. A ce jour, vous êtes la seule à vous présenter pour le poste depuis plus d'un an. Étant en manque de personnels, je suis donc dans l'obligation de vous prendre. Cela devrait vous aller n'est-ce pas !?
J'étais à la fois surprise et « heureuse ». C'était les première entretiens on l'on m'accepter si vite. Il ne me demanda ni mon âge ni mes compétences ! Il devait être sacrément dans la merde pour prendre la première venue comme ça ! J'acceptais le poste à cœur joie, même si ce n'était pas celui qui faisait le plus rêvé. Monsieur Histre me donna rendez-vous le lendemain soir pour la première nuit de travail. J'arrivais avec quelques minutes d'avance, je du donc l'attendre dans l'accueil de l'hôpital. Il était en retard ! Pas très courtois pour un directeur. Mais il finit par arriver, et il m'expliqua ce que je devais faire en détail. Une fois qu'il fu partie je commençais donc ma soirée de ménage. Youpi !
Après un moment à avoir frotter tous les recoins d'un étage, je décidais de faire une pose, lorsqu'une porte entrebâiller au fond du couloir attira mon attention. La lumière était allumée. Je dessinais d'aller l'éteindre, lorsque je vis un écriteau sur la porte avec écris « ne pas entrer ». J'hésitai donc à entrer, mais je fini par y aller. Une fois à l'intérieur j'avais beau chercher, mais je ne trouvais point l'interrupteur. En revanche cette porte donnait sur un très long couloir dont il m'était impossible de voir la fin. Après un nouveau moment d'hésitation je décidais de m'avancer dans le couloir, et lorsque je me retournai pour voir si la porte c'était fermé, elle n'était plus là ! Je me mis à paniquer mais ce n'était rien comparé à ce qu'il allait ce passer.

L'histoire d'Ana Lise Où les histoires vivent. Découvrez maintenant