Un couloir infini ...

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J'essayais de me calmer tant bien que mal, lorsque la lumière s'éteignit. On se serait cru dans un film d'horreur. Et cela en était un ! Je repris courage, et j'avançais dans le couloir en essayant de me repérer grâce à la lampe de mon portable, mais malheureusement pour moi j'avais écouté de la musique pendant près de deux, il me restait donc maxi 40% de batterie. Et au plus j'avançais dans le couloir au plus il était abîmé et sale. Apres 20 bonnes minutes à marcher je vis au loin un petite silhouette courir. Elle riait. Je l'appelais d'un « Eh ! » mais elle ne me prêta point attention. Je me dit donc que c'était mon imagination, cela faisait un moment que je marché sans avoir bu une seule goutte d'eau, et puis que ferait une enfant ici. Au bout d'un moment je n'en pouvais plus, je m'écroulais face contre terre en larme. En relevant un petit peu la tête je vis deux pieds, je me dis donc qu'elle soulagement enfin quelqu'un, donc je me relevais et qu'elle horreur j'eu que je leva la tête pour regarder l'enfant que son visage était à moitié déchiqueté et qu'il était entièrement à l'envers ! Sa face était dans son dos ! Je poussais un crie de frayeur et je tombais à la renverse. Elle, elle riait. Elle riait dans longue robe à fleurs pleines de crasse, avec son ours en peluche entre les mains. J'étais tétanisée ! La fillette, elle, riait, elle me pointait du doigt et s'en alla en courant. Je me relevais et d'un coup la lumière ce mît à clignoter. De chaque côté de l'allée du couloir il y avait des casiers, j'essayais de les ouvrir pou voir si il n'y avait pas quelque chose à boire ou à manger, mais rien. Tout était vide. Je commencer à être aveuglé par cette lumière qui clignoter. Je m'essayais donc dans un coin la tête dans les genoux et je pleurais. Je n'avais plus de batterie, rien à manger, rien à boire. Était-ce la fin ? Me disais-je. Je le penser fortement quand lorsque je me remis à marcher puis à courir avec l'envie de vivre, une chose monstrueuse m'arrêtais net. Devant moi un clown d'au moins deux mètres de haut qui avait un sourire aurifiant avec des dents toutes aussi pointu les une que les autres et une hache à la mais me regardait. Avec à ses côtés l'enfant monstrueux et son ours. J'étais tétanisée, aurifié. Les deux me fixer, quand tout à coup le clown leva sa hache en rigolant à plein poumons et me trancha la main ! Je hurlais de douleur. Je pleurais je criais, je voyais ma main sur le sol et le clown et la fille rire encore et encore. Le clown releva sa hache une deuxième fois et avant que je ne pu dire ouf il me trancha la gorge.

L'histoire d'Ana Lise Où les histoires vivent. Découvrez maintenant