10 - Cette soirée là (Elycia) : Part II

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Deuxième partie de ce double OS, encore une fois, bonne année 2021, je me rèpéte mais bon on est jamais sur ;) :) 

Bonne lecture à tous et à toutes !!!

Azeyis28

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Le baiser dure une éternité, les mains d'Alycia sont sur mes hanches, les miennes enserrent la nuque de ma belle brune. Je suis bien là dehors, sous le clair de lune. Le nez d'Aly passe d'un côté puis de l'autre, faisant séparer quelques secondes nos bouches, ses doigts remontent vers le haut, longeant mes cotes puis passent dans mon dos pour caresser doucement ma nuque. Mes paumes glissent à l'arrière de son cou pour accentuer le baiser, l'air commence à manquer et nous nous séparons une nouvelle fois. Le vert et le bleu se mélangent, c'est une rencontre entre le ciel et la forêt, la mer et la terre, c'est un choc électrique, un cataclysme entre nos deux iris. L'on se perd dedans, on se noie, on plonge son âme dans les tréfonds des pupilles, c'est à la fois doux et violent, comme si une claque mentale avait lieu.

Sans perdre de temps, je lui prends la main et l'entraine jusqu'à ma chambre d'hôtel, nous prenons l'ascenseur, les portes se ferment, je la plaque contre le miroir du fond de cette boite en métal, je l'embrasse dans le cou, la clavicule, puis remonte en passant par la mâchoire, sa joue et enfin sa bouche, où je m'applique à lui faire un baiser passionné, un baiser digne de ce nom. L'étage arrive, le « ding » résonne, nous sortons main dans la main dans le couloir couvert de moquette orange et marron et aux murs blancs, des tableaux les décorent. Nous arrivons à ma suite, j'ouvre rapidement et entraine ma partenaire à l'intérieur, j'allume l'interrupteur pour la regarder de bas en haut. Tu es magnifique Ali... soufflais-je, j'avais la gorge sèche, la vue en face de moi était sublime. À mes mots, elle se précipite sur moi, nous reprenons la même position que sur la terrasse, ses mains sur mes hanches, les miennes dans sa nuque, nos baisers reprennent avec plus de passion, d'amour, d'entrain. Je descends doucement les bretelles de sa robe bleue, ses épaules désormais nuent, je les caresse avec tendresse, le tissu glisse avec douceur jusqu'en bas de son corps, ses pieds sont entourés d'un amas de coton bleu. Elle est en sous-vêtement, je la contemple, elle se mord la lèvre supérieure. C'est si sexy quand tu fais ça... lui dis-je d'une voix suave, elle se précipite à nouveau sur ma bouche, elle m'enlève ma robe qui tombe à son tour au sol, ses bracelets à ses poignets suivent le mouvement. Nous sommes à égalité, ses doigts touchent mon ventre, tout mon corps frissonne.

Ses yeux sont noirs, noirs de désir, un désir ardent qui brule tout, qui ne laisse place qu'à la passion, à l'amour, au plaisir. C'est un incendie ravageur qui consume tout le corps, qui vous prend aux tripes, qui vous rend vivant. J'en veux plus, alors de ma main que je plaque sur son abdomen bien sculpté, je la pousse jusqu'à mon lit, ses jambes butent sur l'arrière, elle s'assoit. Ça me rappelle quelque chose... chuchotais-je, ses yeux me regardent alors que je suis toujours debout, sans attendre, elle m'attrape fermement les hanches et me fait basculer sur elle. Nous sommes collés l'une l'autre, nos doigts se croisent, nos lèvres se lient, nos respirations se saccadent en symphonie. D'un coup de bassin, elle me retourne, elle est au-dessus de moi, elle me surplombe, elle est parfaite. Alycia s'assoit sur mes cuisses, elle parcourt mon ventre, dessinant des formes inconnues avec son index et son pouce, elle m'admire alors que je suis allongée de tout mon long sous elle. Je me relève, la prend par les fesses et recule jusqu'au fond du lit où je laisse ma tête tombée sur l'oreiller une fois arriver.

Ses mains caressent avec délicatesse le haut de ma poitrine, les miennes malaxent son fessier que j'avais tant rêvé de toucher, c'est chose faite. Elle se penche sur moi, embrasse ma clavicule, s'attarde sur ma jugulaire, remonte jusqu'à ma mâchoire, trace sur ma joue et explose sur ma bouche, tout mon corps est en ébullition, j'ai plus besoin de mettre le chauffage. Ses doigts commencent à jouer avec mes Monts Venus par-dessus le tissu en dentelle de mon soutif, elle glisse derrière mon dos où elle dégrafe avec rapidité ma dernière barrière entre mes seins et sa bouche. Elle le balance quelque part dans la chambre, elle regarde un instant les deux poires en face d'elle, Alycia déglutit difficilement puis plonge à corps perdu dans ses fruits défendus. Sa langue titille mes tétons déjà bien durci, je gémis au contact, elle tournoie autour de ses deux mamelons marron clairs, c'est si bon. Elle ne s'arrête pas là, elle commence à me torturer gentiment ma belle poitrine, elle suce, tire, croque, presse, malaxe, lèche avec passion ses deux belles collines tendues à l'extrême. Ma respiration se saccade, des sons sortent de plus en plus de ma bouche, mes mains longent son dos et atterrisse au niveau du clip de son soutient gorge, je le défais à l'aveugle et fais baisser les bretelles, elle l'enlève, l'envoyant au sol et retourne à sa besogne. Ses seins rentrent en contact avec la peau de mon abdomen, je me cambre, ses doigts descendent jusqu'à mes cotes et passent sous l'élastique de ma culotte, elle le soulève et le fais claquer sur ma peau blanche.

OS - ClexaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant