31 - Le commencement (Clarke)

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Bonsoir everybody !!! Je m'excuse pour ma longue absence, mais depuis la dernière publication, je n'ai pu en aucun cas écrire ou traduire de fanfictions. Dites merci au Mémoire et à mon Projet de fin d'études pour ça. 😢😭😭

Je reviens ici avec une histoire que j'avais écrite, il y a belle lurette et que je n'avais pas publié. C'était parti pour être un petit roman, mais je ne l'ai pas continué et probablement que je ne poursuivrais jamais, car je préfère continuer sur celle que j'écris actuellement et qui parle de Vampires !!! Clexa vampires arrivent !!! 🤭😊😍😍😍

D'ailleurs en parlant de cette histoire, qui s'appelle pour l'instant Bloody Inferno, je suis en train d'avancer surtout sur les fiches personnages pour éviter de me perdre et après que se sera fait, je commencerais enfin à écrire un peu plus que mes quatre chapitres actuels. Donc encore un peu de patience, mes chers Padawans !! 😆😍🤭

J'espère que vous apprécierez, les fautes sont toujours là, elles vous attendent au prochain tournant, n'hésitez surtout pas à voter.😍😘❤

Azeyis28

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La veille du commencement, mes pieds m'avaient emmené au centre commercial de Philadelphie, je marchais sans savoir où j'allais. Mes doigts glissaient sur les tissus, aussi doux que de la soie, des vêtements rangés dans un ordre parfait. Rien ne dépasser tout était propre, net. Je m'attardais sur des vêtements au prix exorbitant que je ne pourrais jamais acheter bien que je travaille à temps plein dans une pharmacie. Une robe attira mon attention, le genre de robe qui vous met en valeur, mais pas trop. Son noir de jais la rendait encore plus belle, je ris intérieurement en voyant le prix de la dite robe et la reposais là où elle était quelques minutes plus tôt. Je sortis du magasin Louis-Vuitton où quelques vitres étaient recouvertes d'affiches de mannequins toutes plus minces les unes des autres, mais donné une envie inconditionnelle de rentrer dans ce genre de boutique. Je repartis vers un autre magasin au goût assez extravagant, des vêtements de toutes les couleurs avec aucun accord entre elles et là encore des prix qui atteignent le plafond. Je renonçais à continuer de faire cette fausse sortie shopping et rentrais chez moi, dans mon petit appartement au troisième étage d'une tour dans le Southwest Center, un quartier connu de Philadelphie. Je m'étalais sur mon canapé et allumais la télé, les infos locales s'affichèrent sur l'écran, mais misent à part un incendie dans un des quartiers nord et un cambriolage raté dans le centre rien d'important à déploré. Je n'avais pas envie de faire à manger alors je commandais japonais, amplement suffisant surtout pour quelqu'un qui comme moi adore la nourriture japonaise.

Ma tasse dans la main, mes yeux encore endormis et mon intention d'aller m'habiller pour ne pas arriver en retard au boulot, je commençais sans le savoir le dernier jour de notre humanité. Comme tous les matins, à 8h00 précise, ma voisine maniaque du ménage passa son aspirateur derniers cris sur le parquet de son salon, et cela, pendant des heures tant que celle-ci n'aurait pas décidé que c'était aussi propre qu'un sous neuf. Mais cette fois-là, elle arrêta quelques minutes après avoir commencé et un bruit lourd sur le sol retentit, comme un corps s'effondrant sur le parquet de bois vernis. En bonne voisine que j'étais, je me précipitais dans son appartement. Elle était repliée en position fœtale et elle criait de douleur. Son corps pris de convulsions, se tortillait dans tous les sens. Je pris le téléphone accroché au mur du salon et composé le numéro des pompiers. Dans un calme, qui me surpris, j'expliquais la situation à la réceptionniste de l'autre côté du fil. La vieille dame allongée sur son tapis de laine tremblait de la tête aux pieds, ses yeux injectés de sang me regardait avec tristesse. La peau de ses mains était recouverte de plaques rouges et violettes comme si on l'avait battue. Les sirènes des ambulances résonnèrent dans la rue et en moins de deux minutes, l'appartement était rempli d'infirmières et de pompiers en uniforme. Son cadavre fripé, gisait sur le brancard qui l'emmenait à l'hôpital. Ce fut la dernière fois que je la voyais, elle fit partie des premiers morts et des premiers relevés. Demain, rien ne serait plus pareil.

OS - ClexaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant