Jsp

15 1 0
                                    

Je sais pas trop quoi dire. Ecrire sur un coup de tête c'est cool et chiant en même temps... C'est partis mon kiki.

A cette période de l'année les feuilles des arbres avaient toutes pris place aux pieds de ces derniers. L'air était frais et les nuages grisâtres. Il était l'inverse de son environnement : les yeux verts et sombres, les cheveux foncés et épais. Cependant, sa peau était aussi clair que la neige qui venait quelques fois se poser sur les vitres des maisons et des voitures pendant une courte durée après le levé du soleil. Ce jeune homme était plein de vie, au travail il apportait bonne humeur et jovialité au bureau qui parfois ressemblais à une véritable usine à travail. Son entourage le décrivait comme ; énergique, drôle, généreux, respectable,... On le comparait souvent avec une peluche d'ours, douce, agréable et qui sait nous réconforter.
Mais comme tout le monde, il possédait un vase qui se remplissait au fur et à mesure des journées. Des jours et des jours passèrent sans que rien d'habituel apparut dans le quotidien de ses collègues et de ses amis.
Puis arriva un matin plus glacial que les autres, les voyages quotidien des habitants était comme tout les autres. La seule différence qu'il manquait à ce quotidien était ce garçon qui n'était jamais en retard et qui dès le matin apportait une sérénité générale.

« Avec un vent pareil, il doit être malade. », se dirent les employés.

La discussion générale se fit rompre par un bruit de porte violent. Une ombre noir apparut dans l'encadrement de la porte. Un long museaux, de longues dents pointus et des yeux rouges arrivaient à se dessiner sur la silhouette. La bête fit un pas, puis deux et arrivât sous une lumière. Le visage de certains pâlit instantanément et ils détournèrent le visage rapidement, comme si il allait rencontrer la mort en le regardant. Bien entendu, une bête ayant cette apparence dans un immeuble est ridicule, c'est pour ça que en réalité cette bête était juste le garçon, qui était arrivé en retard. Il fit comme de rien n'était et s'essaya à sa place comme à son habitude. Contrairement à ce qu'il avait l'habitude de faire mais il se tût comme si c'était dans sa nature de ne rien dire et d'ignorer ses collègues.
La journée passa, arrivé devant son lit, le jeune s'écroula et vida son vase en libérant toutes ses émotions. A ce moment précis, c'était comme si qu'il avait enlevé une lourde et dure armure qui lui donnait l'apparence d'un ours féroce et qui n'hésite pas à attaquer si l'on vient le déranger.
Ses cris, ses pleurs, les coups qu'il donnait dans son matelas était comme une libération, il ne s'était jamais sentis aussi bien qu'après ce moment.
Au file des jours, il se changeât peu à peu en ombre, il était juste une ombre qui passa son temps à accomplir les tâches qui lui était donné au travail. Il devint comme tout les autres, une machine. Ses yeux devinrent fades, ses cheveux fins mais son teint resta blanc.

Quand il vida son vase il le cassa, il n'y donc plus de vase à remplir ou à vider, il n'y a juste plus rien. Si seulement il avait rencontré sa peluche à lui, peut-être aurait-il pu ne pas mourir durant cette journée glacée d'hiver.


Y a des fautes hein je m'en branle.

















J'aimerai bien avoir un peluche moi aussi haha :,)

You've reached the end of published parts.

⏰ Last updated: Mar 13, 2022 ⏰

Add this story to your Library to get notified about new parts!

Truc d'ados dépressifs de merde Where stories live. Discover now