PDV : Ochaco
J'arrivais désormais à tenir le lit en lévitation pendant une demi-heure, je finis par le reposer sur le sol en prenant soin à ne pas faire de bruit, les vilains aurait pu entendre. Je me mis alors à faire flotter plusieurs petits objets, je les tenais au-dessus du matelas pour éviter de me trahir par le son, je devais en rajouter le plus que possible, une dizaine de minute plus tard, tous les cahiers tombaient lourdement sur la couette, étouffant le bruit. J'étais en sueur et je décidai de ranger tous ce que j'avais déplacé pour ne pas pouvoir paraitre suspecte. Il ne devait surtout pas savoir que je m'entrainais en cachette, sinon il pourrait décider de me tuer. Je finis par relever la tête après mon dernier aller-retour du lit et du fond de la pièce, je fis une photo de lui, il était avec l'homme noir qui pouvait crée des portails, Black Mist je crois. Je sentis soudainement mes joues rougirent, je mis alors mes mains sur les yeux en commençant à me demander ce qui m'arrivait, je finis sur le lit. Je ne comprenais pas se soudain changement d'état. Je me rendis compte que je pensais à ce "Deku". Je me mis alors à penser à lui pour me distraire. Le rouge était encore là mais moins intense. Je savais qu'il avait eu une vie misérable, personne ne croyait en lui, même le numéro 1. En revanche, les passages des livres où il parlait de Bakugo. Je n'arrivais toujours pas à y croire. Il était certes à la limite de l'insupportable, mais je pensais qu'il avait un bon fond, mais d'après les dires du vilain, il aurait été harcelé lors de toute sa vie. Je continuais à garder espoir, peut-être qu'il mentait, déjà qu'il exagérait, car il est impossible qu'une personne comme lui est pus être aussi innocent avant, même lui il le dit. Une image de lui me revint dans l'esprit et je redevins rouge comme une tomate, sauf que cette fois si, je me mis à flotter, je venais de penser à lui torse nue, non ! Je ne pouvais tout de même pas être am... La porte venait de s'ouvrir, laissant le type que j'avais vus avec le vilain, il avait les cheveux rouges sur le dessus, il avait l'air vieux, mais bien préservé, je lui donnerai une quarantaine d'année. Il se mit à fouiller toute la chambre, commençant par la salle de bain, regardait-il s'y j'étais là-bas ? Cela voulait dire qu'il m'avait vus le jour où je l'avais vu pour la première fois. Impossible ! Pourtant il fouillait toute la chambre, par chance, il ne regardait pas le haut, il fallait juste que je tienne. Mais les minute passèrent et il restait là. Je sentais le vomis vouloir sortir, sauf que je devais tenir. Mais mes forces commencèrent à m'abandonner, c'était bien plus dure que de tenir pendant une trentaine de minutes un lit. Quand je sentis que j'allais lâcher, la porte s'ouvrit de nouveau, je vus alors une chevelure verte rentrer, c'était ma chance, il devait faire dégager Hank. Il paraissait fatigué et avait du sang sur les mains, j'espérai que ce n'était pas du sang d'un mort.
-Que fais-tu là Hank ? demanda-t-il.
-Je sais ce que j'ai vus, il y avait quelqu'un dans cette chambre ! répondit-il fermement.
-...
Il n'arrivait pas à répondre, j'étais morte. Il allait me balancer et la torture sera peut-être mon meilleur destin.
-J'ai couché avec une fille, je dois de l'avouer, j'ai pris mes aises pendant ton absence, c'était une des vilaines qui c'était échappé avec nous lors de l'attaque à la SCA. Elle était à poil quand tu es rentré. Voilà pourquoi elle s'est cachée...
Je dois avouer que si je n'étais pas en danger de mort ou sur le point de vomir, j'aurais éclaté de rire. Le nommé Hank fixait le deuxième vilain pendant un certain moment, lorsqu'il sortit.
-Demain, je te veux au lieu habituel, à 7 heure.
Il partit en marmonnant que les jeunes ne perdaient plus leur temps de ces jours.
Deku ferma calmement la porte, il se jeta ensuite aussitôt vers la direction de son armoire pour voir s'y je m'étais échappés très certainement, mais c'est à peine qu'il avait fermé sa porte que j tombais vers le sol, épuisé par ce dur exercice. Je sentis qu'il m'attrapa dans ces bras, je fis son regard surpris, mais je perdis connaissance. (Note de l'auteur : je me rends compte que ça finis très souvent comme ça.)