C'etait un vieillard et son petit fils
Qui respirait fort, froide aqueux brise
Ils se tenaient bien en face du les ondes
Le clair Soleil se levait sur le monde
C'etait un bien monde, sans mal et sans guerres
Et vieux avec jeune regardaient a la mer
Ils voyaient que les ondes tempetaient
Et que l'obscur eau commençait vite mousser
Alor vieux a dit: "Regarde mon garçon,
Comment c'est grandit - la fureur du l'eau
J'ai vu cettee mer, en cote du la cote
Il brulait en feu avec tout le monde
Encore je garde mes mal cicatrices
Et ciel se souvient comme a ete grise.
Maintnant tout est calme, tait de lourd tribute
On fait que pouvait avec merit lutte
Nous demandons une - etre reconaisssant
Appreciez que nous pour vous laissant
Vitez a le mond sans mal et sans guerres
Et rejoiez cette calme silencieux mer
Vieillard se taisait. L'eau brussait sulement
Ç'est l'heure etait reponder du garçon:
"Comme peux j'estimer lumiere du le jour
Si je ne veux pas l'horrible obscure
Si c'est ne pas ne doceur ne l'amer
Puis la paix ne plus precieux de la guerre
Que vous partez? Mer sans levain?
Mer que ne peut pas sorti de ravin?
Calme sense nourrir jousqua de la feu
Vous le voyait, nous sommes - en peu.
Quand je serai un vieillard, comme tu est
Comme je peurrai dit d'enfant, tu sais?
Puis ecute mon sot mots grand parent
Chaque veux voir le froid et le chaud
C'est ne pas bonheur a paradise belle
C'est ne pas joie a enferré ciel
Bonheur ne fait pas de realisé
C'est de tomber, de descender"