1 - Ces pas les femmes que je préfère

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Yuga Aoyama : Styliste mondial.

Minoru Mineta : Rien

Tenya Iida : Athlète

Rikido Sato : Chef cuisinier

Tsuyu Aisu : Scientifique

Fumikage Tokoyami : Scientifique

Mina Ashido : Danseuse

Toru Hagakure : Rien

Mashirao Ojiro : Rien

Izuku Midoria : Danseur

Ochaco Uraraka : Écrivaine

Shoto Todoroki : Acteur (Policier)

Denki Kaminari : Chanteur

Hanta Sero : Photographe

Momo Yaoyorozu : Styliste et Mannequin

Koji Koda : Caméraman

Mezo Shoji : Hypnotiseur

Kyoka Jirou : Chanteuse

Eijiro Kirishima : Acteur (Porno)

Katsuki Bakugo : Mannequin

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Je regardais le blond, le mannequin, j'ai plein de magazines où il est dedans chez moi. C'est de là où j'avais eu une impression de déjà vu, sérieusement, je pensais qu'on l'avais retoucher sur les images, mais clairement, il est beaucoup plus bandant en réalité.

Le prof ne nous disait rien, alors nous nous sommes levé et on s'est mit à parler les uns avec les autres, pour faire plus connaissance, respectant un niveau de volume, pour ne pas déranger l'enseignant.

- Kirishima ?

- Hum ?

- Pourquoi tu mattes le blondinet là-bas.

Je me retourna et dévisagea mon meilleur ami. Avant de soupirer, lui donnant ainsi raison. Ouais, j'assume. Je suis quant même un acteur de film et série porno, alors j'ai rien à cacher.

- Ben, il est super classe.

- Ouais ben, arrêt, sinon tu vas bander.

Je ria doucement.

Ben oui, mais si il s'y connait en pornographies, il doit m'avoir vu un milliard de fois nu.

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La cloche finit par sonner, enfin le midi, je m'attendais plus que ça, j'avais la gorge sèche à force de parler.

Je sortis de la classe accompagner de Midoria et sa copine, ils étaient venuent avec la gagne qui c'était créer.

- C'est dommage que le blond ne vienne pas, j'aurais bien aimer le connaître.

Ochaco et Izuku osèrent seulement des épaules, ne sachant eux même pas le pourquoi de se refus.

Il était à sa place, même si la cloche avait retentit, on était venu le voir et il s'était lever et commençait à ranger ses affaires. Je lui adressa le plus beau des sourire que je pouvais faire et je lui proposa de venir manger avec nous, habituellement, hommes comme femmes n'osaient pas me dire non. Mais lui, quand il a regarder mes lèvres ou mes dents, je ne sais pas trop, enfin mon sourire, il s'est précipité pour tout ramasser et est partit rapidement. On dirait qu'il me fuyait.

Du coup, j'étais triste. C'était la première personne que j'ai trouvé bandante dans toute ma vie et il me fait un refus silencieux et comme apeuré.

La preuve, pour que je joues les films que je devais faire, je passais plus de temps à regarder ses magazines les plus nudistes, disons qu'il y en a des beaux et qu'il y en a des excitants. Puis quand je dois baiser, je m'imagine la tête du blond à la place de la personne.

Je crois que je suis un obsédé, non même plus. Mais c'est pas ma photo aussi, il a une face d'ange, un corps moins musclé que le miens, mais toujours aussi envoûtant et ces images, j'ai trouvé des exemplaires hyper rare, ça à l'aire qu'il n'en faisait imprimer que cinq et à chaque fois qu'un nouveau (porno pas porno) sortait.

Et ça je peux vous le dire que c'est efficace pour les genres de films et séries que je fais.

Bon arrêtons de parler de lui, et revenons à la réalité.

Beaucoup de personne me regardait, avec envie ou encore dégoût et moi, je souriait bêtement. Je ne vais pas m'offenser car on ne m'aime pas beaucoup.

Souvent des personnes venaient quémander des autographes qu'on faisait gêner, à part moi, moi, j'étais heureux, aucune gêne, je pouvais même faire des commentaires sur les personnes, les attribuant à certains films ou épisodes se qui les faisaient rougir grave.

Je rigolais avant de m'asseoir à une table avec les autres. On était ensevelis de demande et de compliment.

On a presque pas pu manger le quart de notre plat vu qu'on avait eu pas beaucoup de temps.

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Le professeur marchait cotes à cotes avec Bakugo, on se dirigeait vers le gymnase, M. Aïzawa nous servait de guide.

Je me sentais jaloux, que l'enseignant lui parle, moi à chaque essai, il décampait en vitesse. J'ai compris qu'ils étaient de la même agence de mannequinat, donc d'une façon, ils étaient collègues ou encore amis.

Je recommença à parler aux filles qui m'entourais quand le bruyant soupir d'un nain nous fit presque tout retourné.

- T'as de la chance Kirishima, toi t'as baiser plein de fois, t'es canon les filles te kif toute. J'ai même vu le film où t'as fait l'amour à l'actrice interdite aux moins de dix-huit ans, mais sauf que toi t'as même pas dix-huit ans !

J'arqua un sourcil.

- Et alors ?

- Ben tu peux baiser avec toutes les meufs que tu veux, tu sais bien t'y prendre je paris vu que tu fais que ça !

- Bof.

- BOF !? Je reverrai d'être à ta place mec !

- Hum.

Je vis les vestiaires aux loin, donc je marcha plus vite que jamais, lâchant subtilement à l'oreille de mon intéressé.

- C'est pas les femmes que je préfère.

Puis j'entra dedans, j'enfila rapidement l'uniforme de sport, ils étaient tous pareil.

Je sortis et attendas avec le prof et ceux qui sont malaise dans les vestiaires et qui se sont dépêcher.

Quelques minutes plus tard, tout le monde était devant le professeur attendant les ordres de se cours qui allait duré toute la fin de la journée.

- On va voir, votre force physique.

Je souris, en jetant un regard défi à tout se que je connaissais vraiment.

- Ce sera une course chronométré, de trois tours de piste.

Je fixa la piste.

- Placer vous.

On se dirigea déterminer à finir vainqueur.

- Trois Deux Un... Go !

On partit à courir, ceux que je redoutais le plus étaient à égalité à moi. Sauf Bakugo, lui allait à la même vitesse que nous, mais avait pris le cercle le plus éloigné, il va pas tenir.

Pourtant aux derniers tours, on était toujours à la même vitesse, les autres plus éloigné, je décida de sprinter et il était à la même vitesse encore.

Intéressant.

Pourtant il se fatiguait et ralentissa avant de passer la ligne, quand habituellement il faut le faire après.

- Tu cours vite Bakugo !

- La ferme !

Il détournait le regard, rougissant, impossible de dire si c'était à cause du sport où de la gêne.

De l'amour propre au piègeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant