Yuga Aoyama : Styliste mondial.
Minoru Mineta : Rien
Tenya Iida : Athlète
Rikido Sato : Chef cuisinier
Tsuyu Aisu : Scientifique
Fumikage Tokoyami : Scientifique
Mina Ashido : Danseuse
Toru Hagakure : Rien
Mashirao Ojiro : Rien
Izuku Midoria : Danseur
Ochaco Uraraka : Écrivaine
Shoto Todoroki : Acteur (Policier)
Denki Kaminari : Chanteur
Hanta Sero : Photographe
Momo Yaoyorozu : Styliste et Mannequin
Koji Koda : Caméraman
Mezo Shoji : Hypnotiseur
Kyoka Jirou : Chanteuse
Eijiro Kirishima : Acteur (Porno)
Katsuki Bakugo : Mannequin
-----------------------------------------------------------
Woua, ils courent vite !
Pour Eijiro, je savais vu qu'il a besoin d'endurance, mais Bakugo !
J'étais un des premiers, il y avait Kyoka qui semblait beaucoup trop concentré pour que je ne adresse la paroles et qu'elle me répond. Et il y avait se mec grand et beau gosse, qui à trop la classe, mais je en me risqua pas à lui adresser la parole, en cours, il me regardait toujours avec son aire de tueur, je ne veux pas qu'il me tut pour de vrai. Je sais que c'est l'ami de Eiji, mais bon ça se sent et sa se voit qu'ils ne font pas la même chose.
Je soupira, devinant que je devrais faire le reste de la course dans un silence pesant.
Je regardais mes pieds, c'est une des choses à ne pas faire, j'ai connus ça expérience dans l'enfant.
Mais bof, qui est-ce que ça va dérangé ? La piste ?
Je me perdis dans mes pensées et sans m'en rendre compte je fis un quatrième tour, tout le monde me regardait étonné.
Mais ces visages aux yeux écarquillés, je ne m'en ai même pas rendu compte, j'allais faire, un nouveau tour, quand Eijiro m'arrêta.
Je cligna des yeux, comme pour me réveiller d'un rêve.
- Heu... Salut...
Il me sourit.
- Fait pas un cinquième.
- Hein, non..?
Je le suivis, me reperdant dans mon esprit, qu'est-ce qu'il est noir.
Est-ce que je suis bête, fais un effort, dès la première journée je fais le con. Qu'est-ce qui t'arrive, pourquoi je n'arrive pas à m'imaginer autre chose que ce noir ? Mais pourquoi noir au faite ?
- PUTAIN TU VAS M'ÉCOUTER BON SANG !!!
La voix de Kyoka c'était élevé, et une féroce douleur frappa ma joue. Pourtant je ne reviens pas à moi.
- Qu'est-ce qu'il y a, pourquoi tu l'as frapper le pauvre..?
- Le pauvre, il est encore dans ses pensées après d'avoir gueulé et giflé. Il m'ignore complément.
Des sanglots, c'est de ma faute ? J'ai fais pleuré Jirou ? Je suis un horrible ami.
Une main se posa sur mon épaule, elle était dure, une voix proche de mon oreille, trop proche.
- Kaminari.
- Haaaaa !!!!
Je me retourna apeuré, c'était quoi cette voix sensuelle qui m'avait léché le lobe d'oreille. Il m'a léché !
Le mec de tout à l'heure ! Shoto Todoroki.
Je rougis en détournant le regard.
- Denki, ça se fait pas !
- Hein de quoi !?
- De m'ignorer de la sorte.
- Je t'ai pas ignorer, tu ne me parlais pas !
- Bien sûr que si !
- Mais non !
Le professeur arriva et nous sépara.
- Bon ça suffit.
Je fis la moue et Kyoka fit pareille.
- Bon ben maintenant, se sera le soulèvement de poids. L'endurance, la force des jambes est une chose, mais la force des bras en est une autre.
Il nous entraîna vers le fond de la salle où était posé divers objets.
- Vous les soulèverez un à un. En ordre de votre numéro d'élève.
Je suis 7, il peut bien y avoir des élèves qui vont bien merdé avant moi.
Puis viens mon tour.
Je souffla avec dégoût et stresse.
Je me pencha pour prendre les choses tour à tour, avant que ça ne devienne lourd dès le troisième poids, c'est le cinquième qui à eu raison de moi, de moi et de ma fierté.
Je l'avais pris, je pouvais le soulevé légèrement, puis en me forçant plus, je l'avais mis au-dessus de ma tête, comme ceux dans les salles de sport, mais je tomba à l'arrière, dans un hoquet de douleur.
Je me releva et me tena la tête, ouvrant les yeux comme quand t'as un horrible mal de tête et que c'est dure juste ouvrir tes paupières. Je voyais un peu flou, mais je rejoignis les autres qui avaient finit.
Je me promets, pour mon bien être et pour ma réputation, je ne soulèverais plus aucun poids de toute mon existence.
Les gens défilèrent et puis finalement le prof nous laissa aller nous changer et partir chez nous.
Dans les vestiaires tout le monde plaquottait joyeusement, est-ce que dieu s'acharne sur moi ? À ma droite, il y avait le caméraman et à ma gaude je ne savais pas qui cela pouvait bien être vu qu'il n'y avait personne, car tout le monde était tourné vers le centre pour continuer leurs discussions. Je me dépêcha à m'habiller, ben qu'est-ce que vous voulez que je vous dise, je suis pudique, pudique mais à un point vous pouvez pas savoir. Je ne voulais voir personne torse nu et je voulais que personne ne me vois, pas même le dos, les jambes et les bras ça dépendait du moment.
La tête baissée, mes yeux fuyaient les regards, ça ne faisait même pas deux minutes qu'on était ici, normal que tout le monde m'a fixer.
Je veux disparaître.
Je me précipita vers la sortie, presque à le course, limite un sprint.
Je me dirigea vers la classe pour prendre mon sac en vitesse et j'allais partir quand un troupeau de personnes inondèrent le couloir.
- C'est le chanteur ! Denki Kaminari, je suis un de t'es plus grand fan, j'adore se que tu fais !
- Heu...
Aucune issue, je ne pouvais visiblement pas me cacher derrière Kyoka comme je le faisais toujours quand un nombre de gens incalculables venaient à notre rencontre.
Je voulais sortir, juste sortir, je ne demandais que ça.
Qu'ai-je fais au dieux pour me torturer de la sorte ?
Pitier quelqu'un, n'importe qui, vener m'aider, vener me sortir de là...
VOUS LISEZ
De l'amour propre au piège
FanfictionDans se lycée rien n'est ordinaire, enfin la majorité des personnes qui le côtoie ne le sont pas. Les enseignants qui sont des célébrités et des élèves connus, à savoir, le but de cet établissement est de mélanger le son au corps, le cerveau au coeu...