Her. 1

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Salut, moi c'est her. Je suis en plein vole pour rejoindre mon père au Japon. Attendez... Recommençons depuis le début.

Je m'appelle hermone mayuzumi, j'ai 18 ans cet année. Je suis métisse camerouno-nipon, et oui je sais que c'est peut commun et un peut bizarre mais à un moment on s'y fait ... Je suis extrêmement calme et ambiguë dans mes propos, car je ne sent pas à l'aise avec le commun des mortels, soit, je ne suis pas doué dans les émotions hélas. Comme toute bonne basketteuse je suis grande de taille 1,75 m. Et à cause de mon flegme légendaire d'attacher mes cheveux à chaque match je me les suis coupé en troisième, ils sont donc noirs et mes yeux dont j'ai hérité de ma mère sont rouges rubis.

J'ai des centres d'intérêt variés comme la lecture, le travail manuel, et mon préféré, le basket. J'y joue depuis la sixième et adore faire ça, je suis assez rapide ce qui me permet de me faufiler. Mais ma mère voudrait que j'arrête définitivement le basket pour me concentrer sur mes études (domaine dans lequel j'exelle), pour cette raisons j'ai décidé de faire ma dernière année de lycée chez mon père.

Mais revenons au présent, moi, dans l'avion, avec un veille femme qui me parle de ses petits enfants à gauche et un gamin qui râle parce qu'il n'y a pas de bonbons dans le menu du vol à droite.

Il promet d'être long ce vole...

***

Enfin arrivé au Japon, j'ai hâte de revoir mon père après toutes ces années, mes parents ont divorcé quand j'avais 4 ans, ma mère a donc pris la décision de me prendre avec elle pour aller au Cameroun. Plus les années passaient, moins il n'avait de contact avec mon père. Alors ce sera un bol d'air frais de l'avoir près de moi.

Je m'en vais prendre mes bagages tout en appréhendent ce qu'il va ce passé, peut être il a changé, ou il est plus stricte que dans mes souvenirs... Je me sens mal d'un coup...

Je regarde de droite à gauche espérant voir un visage familier quand une pancarte avec mon prénom noté en vert citron dessus m'interpelle, je lève lentement les yeux vers la personne semblant être mon géniteur, un sourire malgré moi naquit sur mes lèvres, il n'a pas changé ses cheveux aussi noirs que les miens étaient bien coiffé me laissant penser qu'il redoutait autant que moi ce moment, il portait un pantalon bleu clair et un t-shirt de vieux groupe d'evil-metal gris, il tapait nerveusement du pied sur le sol et arborait un air stressé.

Je m'approche furtivement de lui et lui chuchote à l'oreille : « je suis là »  il se retourne dans un sursaut, et sons expression crispé se fit remplacer par un sourire franc en sincère, qui fermait à fond ses yeux verts.

>ma petite her, tu as tellement grandi, me dit il presque ébahi par ma taille.

Je fais 1'75 m mais dans notre famille personne n'atteint la barre des 70.

>il fallait bien que je grandisse un jour... Dis je a mis chemin entre l'amusement et l'exaspération.

>oui, certes mais à ce train tu me dépassera en taille, dit il en prenant ma valise.

>soite, le décalage horaire m'a chamboulé et j'ai sommeil alors si nous pouvons juste rentrer ça m'arrangerais. Soupirais je presque en m'avançant.

Je pouvais l'entendre ricaner derrière moi, il n'a vraiment pas changé, pour mon plus grand plaisir.

***

Nous sommes enfin arrivés dans ce qui sera dorénavant ma demeure. Une maison deux niveaux blanches et grandes, je ne suis pas plus impressionné que ça, j'ai toujours été aisée. Ma mère est un critique de lieux touristiques à travers le monde, et mon père est dans l'industrie de la robotique et à de multiples entreprises à travers le Japon.

Je vais donc déposer mes valises dans ma chambre. Elle est grandes avec un lit deux places à la literie vert citron et blanche qui rappelle les tons de la peinture des murs, à droite de l'encadrement de la porte se trouve une autre porte qui était certainement les toilettes, et à gauche un placard. Je range rapidement mes affaires pour avoir l'occasion de visiter le quartier.

J'enfile un bas de survêtement et un haut de mayo de basket Chicago Bull. Je prends mon ballon et descend à toute vitesse les escaliers avant de crier à mon père que je vais faire un tour.

***
Après avoir un peut couru je m'arrête devant un terrain de street basket, enfin je vais jouer. J'arrive au milieu du terrain pour faire quelques shoot et comme prévu il entre tous. Je me met donc à dribbler dans le vide, mais mon ballon m'échappe des mains, je cours pour aller le chercher mais quelqu'un le ramasse avant moi.

> c'est à toi ça ? Demande le bleu foncé .

> oui merci. Dis je sans réel envie d'élargir le débat.

Je m'approche récupère mon ballon avant d'entendre. De la part du roux.

>tu a une mauvaise prise sur ton ballon. Dit il avec une expression désintéressé.

> quoi ? Je n'avais pas de problème d'audition mais je voulais juste me rassurer qu'il vient bien de me donner son avis que je ne lui avais pas demandé.

> tu as une mauvaise prise sur ton ballon, ou en langage simplifiez tu tiens mal ton ballon. Me redit-il  cette fois avec un pointe d'arrogance dans sa voix.

Ça me révolte qu'on me prenne à ce point pour un être primitif.

> écoute moi bien, c'est la première et la dernière fois que tu simplifie ton langage pour moi, es ce bien clair ? Dis je avec mon ton sec dont j'ai le secret et un regard plus que sombre.

> très. Dit il avec une expression indescriptible sur le visage. Tu me déteste peut être mais tu accepte de jouer avec moi ? .

>vue que je n'ai personne avec qui jouer je suppose que je n'ai pas d'autre choix alors viens jouer...

>aomine, daiki Aominé . Me complète t-il.

***

Nous avons joué et il m'a battu 65 à 59, j'ai grave la haine, et le pire c'est que il m'a sorti après  «  la seule personne qui peut me battre c'est moi même » . Je vais le battre un jour. Mais pour l'instant je dois rentrer chez moi, je prend son numéro, et m'en vais.

Je rentre chez moi et mon père m'annonce que au Japon il on un cursus scolaire différent du Cameroun et que la rentrée était en avril. Cela signifie deux choses :
1-que j'ai des cours à rattraper
2- j'ai eu 1 mois de vacances
Je suis dégouté...
Ce qui signifie aussi que j'ai une journée pour choisir mon lycée et pour me faire accepter.

>d'accord je vais faire des recherches sur mon futur lycée. Lui criait presque simultanément que je montais les escaliers 4 pars 4.

Je me rue devant mon ordinateur et espère qu'on prennent encore des élèves dans les lycées.

For My Friend Où les histoires vivent. Découvrez maintenant