Terragrigia

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En 2004, Veltro lance une attaque contre la cité flottante indépendante de Terragrigia, en mer Méditerranée. 

Alors que l'Union Européenne à décidé de détruire les ruines de la ville en 2020, l'ONU stoppe le projet. 

La Cour Suprême de l'ONU décide d'ouvrir un procès pour identifier les causes de la catastrophe. Si les responsables ont déjà été traduits en justice comme Morgan Lansdale (pour son implication dans l'attaque), la Cour veut condamner les acteurs qui aurait pu empêcher la mort de dizaines de milliers de civils et militaires.

Aucun bilan précis des pertes civils n'a jamais été établi. Les sources varient :
- le FBC avançait un bilan d'une centaine d'agents et militaires en 2004.
- le BSAA avance un bilan similaire depuis 2005.
- l'Union Européenne, après des estimations, avance un bilan de 50 000 pertes (civils, agents et militaires) en 2020.

De nombreux acteurs de la Panique de Terragrigia sont appelés à témoigner :

Comme Parker Luciani et Raymond Vester (qui a décidé de témoigner après avoir disparu pendant 17 ans), agents du FBC à ce moment-là.
Clive R. O'Brian, le premier directeur du BSAA, est également venu témoigner.

Les épaves des Queen Zenobia, Queen Semiramis et Queen Dido sont à nouveau explorées. Les ruines de la ville sont passées au peigne fin. 

Après 5 mois, la sentence tombe :

Les USA sont accusés d'avoir laissé le FBC abuser de son indépendance et de sa puissance.
L'UE est reprochée de ne pas avoir assez considérer les menaces du groupe Veltro.

Si les ruines de Terragrigia servent de monument pour l'évènement, elles servaient à nous rappeler la menace que pèse le bioterrorisme sur le globe.
En 2020, l'UE avait décidé de retirer les restes de la ville car leur signification n'avait plus trop de sens au vue des évènements passés.
L'ONU décide de les laisser avec ces mots : "La Leçon que les Nations n'ont pas tirée". 
18 ans après avoir été bouclée par le FBC, la ville sort de son classement en "Zone Rouge" (système de classement créé après l'attaque de Paradise City). L'ancienne cité flottante est mise en "Zone Jaune" et donc est ouverte au public avec certaines restrictions de sécurité concernant l'infection virale et l'instabilité des ruines. 
Le Regia Solis, le satellite qui alimentait la ville en énergie solaire et qui servit à sa destruction, lancé en 1993, sera mis hors service en 2023 à l'occasion de ses 30 ans.

 Le Regia Solis, le satellite qui alimentait la ville en énergie solaire et qui servit à sa destruction, lancé en 1993, sera mis hors service en 2023 à l'occasion de ses 30 ans

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