Rant Book

y a t'il encore des gens XD

Salut les gens
(Les lionceau, comme à l'époque MDR)

Je suis devenu inexistante sur wattpad, comme beaucoup de monde je pense.
Mais je viens juste de lire un de mes ancien texte et pour une fois je me suis dit qu'il était pas mal, alors je le mets ici

Dites moi si vous voyez des améliorations^^

Le griffon se tenait de toute sa hauteur sur cette falaise, même de loin on pouvait voir le reflet de ces griffes acérés, mais on ne pouvait voir son pelage aussi doux que celle d'un chaton qui se transformer peu à peu en plumage soyeux.
Ces deux immense ailes aurait put soulever des tours, cependant il rester au sol fixant la lune comme essayant de lui faire une promesse silencieuse. Tu te serais sûrement arrêté net si tu avait vu le python qui se tenait derrière ce lion ailé... Ce python fait partie intégrante de la bête, on entendais même un légers sifflement discontinue.
Mais si tu oublie ces serres, ce python et ces ailes de géant, tu verra dans les yeux de la bête plus d'humanité que dans ceux des hommes. Ces iris ou dansent des flammes reflètaient la blancheur de la pleine lune et des étoiles.
Ces oreilles aux aguets ne sont pas dirigé vers le village mais vers la forêt. Ce n'est pas du Griffon que tu devrait avoir peur, il ne s'intéresse pas à toi...
Il a peut être voulu, un temps se lier avec ce village mais tout ce qu'il en a recueillie c'est de la haine, de la peur et de la colère. Tous ce que les hommes voyaien était ces serres qu'ils imaginaient pleine de sang, se sifflement strident, ces ailes immense qui pourrait te faire éclater contre un mur.
Alors, depuis il reste chaque nuit sur cette falaise, regardant la lune. Ressemblant à une statut,
sinon son pelage qui ondule face au légers vent, à part ce légers sifflement, la seul présence qui l'accepte comme il est. Mais grâce à lui le village est protégé.

Enfin les peurs des villageois ont eu raison de la bête, cette sublime bête au cœur trop fragile.
Maintenant c'est la peur qu'on voit dans les iris du griffon, maintenant sa crinière soyeuse n'est devenu qu'un lointain souvenirs, remplacé par un pelage troué, poisseux. Ces griffes bien coupé et ces pattes enchaîné...
Ce qui le brise le plus se sont ces ailes, ces si joli ailes, ces ailes immense, ces ailes qui lui donner tant de fierté ne sont plus que deux grossière cicatrice... Seul pour lui tenir compagnie le sifflement, légers, comme un murmure du python, comme un derniers souffle.
Cette bête majestueuse, qui autrefois tel un gardien, gardait l'entré du village en observant la lune. C'est éteinte, est devenu muet par la peur des hommes
Alors, comme lasse, la bête lèva sa tête une dernière fois vers le ciel, vers la lune. Pour une dernière prière, une dernière promesse,
"Protège les"
On aurait put voir une mer dans ces iris qui pourtant ressemblait à deux flammes hier... Il laissa tomber sa tête mollement, les sifflements se sont éteints sans un bruit. La bête, l'ange gardien de ce village n'était plus, pourtant le lendemain matin seul le soulagement se lisait dans le regards des villageois 

On pouvait voir plus d'humanité dans son regard que dans ceux de tout homme