Le Yorozuya est constitué de deux humains, d'une amanto et d'un chien. Au cour de cette histoire, ce groupe verra s'ajouter à lui: la famille de l'amanto et un terroriste. Gintoki, le patron des Yorozuya, sera obligé de loger tout ce petit monde che...
Ce fut l'une des rares fois où le ciel était dégagé sur la planète Rakuyo. Le soleil ne frappant pas fort et le souffle léger du vent étaient agréables et très appréciés, surtout par les membres du clan yato, qui étaient sensibles aux températures extrêmes. Ce jour là, la météo devait être propice à une sortie joyeuse en famille ou entre amis, mais malgré cela, c'était sur une des montagnes de la planète que la pluie tombait des yeux. Ils s'étaient enfin réconciliés, après de longues années sans être vu, et de nombreux combats, Kagura était à genoux et Kamui allongé, sa tête sur les cuisses de sa sœur. Le capitaine qui n'avait jamais perdu un seul de ses affrontements a finalement été vaincu par les larmes de sa sœur. Et Kagura, employée chez le yorozuya, se relevait toujours, en sang ou en larmes elle n'abandonait jamais, et ses efforts avaient enfin porter ses fruits. La plus grosse dispute familial de la galaxie, impliquant le plus fort des chasseurs de monstres, Umibozu, le capitaine des Harasume; qui étaient tous les deux les plus forts du clan yato et de loin Kamui; la fille du premier et du maître de Kouan, Kagura avaient eu lieu à cet endroit assez reculé du village. Sans oublier Gintoki le père adoptif de cette dernière, surnommé Shiroyasha, Shinpachi, l'héritier d'un dojo de samouraïs, et Abuto le vice- capitaine des Harasume qui eux étaient considérés comme les témoins, même s'ils avaient contribué à ce combat.
- Kamui, fit simplement Kagura.
Elle pleurait, et lui aussi. Pensant à leur famille qui était l'exemple même d'une famille disfonctionnelle. Une mère mourante et un père absent, ils avaient dû être responsable et autonome dès leur plus jeune âge, en particulier Kamui qui était l'aîné de cette dite famille. Ils auraient pu vivre heureux si leur mère n'était pas malade, ou si leur père était plus présent, ou si la planète yato n'avait pas été bombardée par cette maudite alliance planaitaires. Il y avait bien des facteurs à leur malheur, mais ils ne l'ont jamais vraiment exprimé sincèrement ou ouvertement. Ces deux frère et sœur ont appris à se taire pour ne pas inquiéter leurs parents ou leur entourage.
- Kagura..., continua Kamui d'une voix muette.
Il regrettait d'être parti sur un coup de tête et pour but de devenir plus fort. Oh oui il le voulait, mais pour protéger sa famille. Le frère aîné de cette fraterie voulait devenir le plus fort pour protéger sa famille. Il avait notamment l'image de Kagura en tête, elle avait protégé une fois Kamui contre leurs harceleurs et une autre encore face à leur père; quand ce dernier l'avait faillit tuer. Il n'allait jamais lui avouer mais il se sentait faible aux côtés d'elle. Le jour du départ, en laissant Kagura derrière lui, Kamui lui avait dit ces choses horribles en faisant allusion à lui.
-Dégages, j'ai pas besoin de faibles.
Il s'en voulait d'avoir fait souffrir sa sœur et surtout de l'avoir abandonnée. Quant à Kagura, elle s'en voulait de l'avoir laissé partir en connaissant ce qu'il avait derrière la tête.
- Redevenons une famille, soufflaient ils à l'unisson.
Ils n'avaient plus rien dit après cela, profitant simplement de la présence de l'autre. Mais malheureusement pour eux, toutes bonnes choses ont une fin et ils devaient se séparer. Abuto aida son capitaine à marcher jusqu'à leur vaisseau spatial.
- Attends Kamui, cria Kagura en se relevant, attends s'il te plaît-aru!, elle marqua une pause, cherchant ses mots. Viens me voir sur Terre, rends moi visite! S'il te plaît, j'ai besoin de te voir en tant que frère!
Kamui se retourna lentement, toujours avec l'aide d'Abuto, la regarda dans les yeux et lui offrit un sourire sincère et inhabituel venant de sa part. Les deux yato retournèrent ensuite chez eux, le cœur léger mais rongé par les regrets.
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(Je n'ai plus la motivation d'écrire d'autres chapitres, je me suis dit que je pourrais la retrouvais en publiant ce premier chapitre; je veux dire grâce à vous.
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