Familiarisation

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Nous sommes dans la rue commerciale de la ville. Mais vu que l'époque est différente les bâtiments sont encore plus anciens. J'aime énormément cette architecture.
Henri continue de marcher avant de s'arrêter face à une devanture d'une boutique de robe, les robes y sont aussi grandes et aussi chères qu'un lit à baldaquin.

-Wow, c'est juste..... . Je ne parviens pas à finir ma phrase.

-........ Magnifique. Oui je suis d'accord cette époque est vraiment ma préférée.

Nous rentrons dans la boutique, toutes sortes de robes y sont exposées, des robes rouges à paillettes, des robes noires à dentelle fabuleuse, des robes  bleues enrobées de plume. Mes yeux se posent sur une robe bleue claire, comme le ciel. Cette robe est vraiment magnifique avec son bas évasé, assez pour couvrir mes pieds. Son corset est tellement serré que je n arrive plus à respirer. Elle est parfaite pour moi.

-Henri est-il possible de prendre celle-ci ? Dis-je avec mes yeux grands ouverts;  je connais ce point faible des hommes

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-Henri est-il possible de prendre celle-ci ? Dis-je avec mes yeux grands ouverts;  je connais ce point faible des hommes. Je le regarde alors dans les yeux avec un air de petite fille triste, ses yeux sont vraiment parfaits, ils sont aussi bleus que l'océan.

-....euh celle-ci ? Hé bien elle est plutôt jolie pourquoi pas. Et puis je dois aller voir un ami, donc j'imagine qu'elle fera l'affaire.

Après quelques secondes d'inattention.
Il reprit ses esprits et dit :

-Qu'est-ce que tu attends pour L'essayer ?

-Oh oui ! Bien sûr j'y vais.

Pendant un moment j'ai cru que le temps c'était arrêter.
Puff ! Vite que je rentre à la maison cette journée est vraiment éprouvante.

Une fois la robe enfilée, Henri me fit montrer dans une calèche, avant de prendre place sur la banquette d'en face pour cause ma robe prend énormément, même toute la place.

-Où allons nous ? Reprise-je

-Nous nous dirigions chez un ami assez influent donc tiens toi correctement si tu veux bien.

-Oui ! Monsieur. Dis-je avec un sourire jusqu'aux oreilles.

Une fois arrivé devant une énorme demeure encore plus grande que celle qui se trouver  à la place de ma maison.
Nous sommes accueilli par des domestiques.

-Oh purée de pomme de terre ! C'est fabuleusement grand et ravissants

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-Oh purée de pomme de terre ! C'est fabuleusement grand et ravissants. M'exclamer-je

-Léandre vient d'une bonne  famille, il possède donc la moitié des campagnes aux alentours de la ville.

-Henri ! Cria une voix masculine dans mon dos. Mon cher ami.Comment vas ta sœur ?

-Léandre ! Toujours obsédé par Jiny ? Est bien elle se porte à merveille, elle attend ta visite avec impatience.

La sœur d'Henri est-elle elle aussi une voyageuse du temps ?
Nous entrons dans ce qui est appelé le séjour, c'est un immense salon munis d'instruments t'elle qu'un piano à queue resplendissant. J'aimer énormément jouer du piano quand j'étais petite ma grand-mère me donne des cours, mais depuis qu'elle est parti je n'est encore jamais retouchée à un piano.

-Mademoiselle ! A qui ai-je l'honneur ?

Je jette un regarde furtive à Henri, qui Acquiesça d'un simple sourire.

-Joséphine. Joséphine Marcier de Buxton. Heureuse de faire votre connaissances.

En m'inclinant vers Léandre de beauro, j'aperçusse le regard d'Henri fixé sur moi.

-Tous le plaisir est pour moi. Joséphine !

Léandre est plutôt grand, il a des cheveux châtains tous comme ses yeux. Léandre nous dirige vers des canapés marrons pourpres où nous prenons place.

Dans les minutes qui suivit un domestiques fit son apparition

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Dans les minutes qui suivit un domestiques fit son apparition. S'incline vers Léandre puis lui chuchote:

-Mr Beauro,le duc de Gravier souhaiterait vous voir dans vos bureau.

Léandre répondit a voix haute :
-Faite le dont entrer. Qu'il vient saluer mes chers convives.

Le domestique revient peut de temps après, suivi d'un homme. Un homme que je reconnu de suite.

Hors du tempsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant