Ton odeur m'a parfumé

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Dans tes yeux...je lis une histoire

Ali : Vous savez ce qui vous attend au moins.

Kassim : La hayla j'vais jamais la tema dans les yeux.

Ali : Ouais, t'as intérêt.

Ca m'fait rire comment est Ali, mais pas la situation.

Noah : Lui aussi quel enculé.

Kassim : Il a trop pris ses aises.

Ali : Parlez plus d'ca. Il a mérité.

Noah : Ouais après Amir il a failli l'tuer aussi.

Ali : Vaut mieux il t'entend pas toi. Tu vas finir entre mes mains aussi.

Je les écoute plus et rentre dans la chambre.

Je ressors et vais devant la sienne.

J'hésite un moment mais fini par toquer.

Pas de réponse.

Bon, j'ouvre.

Personne.

Par simple curiosité, je rentre et regarde autour.

Seulement une semaine apres la discussion, on se croise, mais il n'y a que de simples regards et de la méchanceté de sa part, pour pas changer.

C'est trop bizarre comme cet homme m'a pas l'air inconnu.

Je m'approche vers la commode et prends la photo entre mes mains. J'ai à peine le temps de poser mes yeux dessus que la porte claque.

Je fais tomber et le cadre se casse.

Je m'abaisse et ramasse en stress.

Moi : Aïe.

Je ferme les yeux et me mords la lèvre.

J'ouvre les yeux et souffle sur mes mèches.

Lui : Laisse.

Je me relève tout doucement et le vois me fixer.

Moi : Désolé, j'voulais pas...je t'attendais et je-

Lui : Tu fous quoi ici ?

Il s'approche.

Moi : Je voulais te parler de quelque chose, j'ai toqué, puis j'suis rentrée...je t'ai pas trouvé. Je me suis dis de t'attendre et j'ai pris la photo puis je-je...

Il est tout près et je baisse la tête puis vois le sang couler. C'est dingue comment j'suis vraiment toit faible pour un rien. Je perds l'équilibre et mes yeux se ferment.

[...]

Moi : Yanis....Yanis !

Je me réveille en sursaut et pose ma main sur le coeur. Je regarde autour de moi et vois l'autre psychopathe me fixer.

Je prends de l'eau et me calme.

J'allais retirer la couverture mais.

Amir : Bouge pas.

Moi : J'vais dans ma chambre.

Il me regarde juste. Je la retire et essaye de me lever mais enfait je vais me rassoir, c'est mieux.

Je soupire et reste allongée sur le lit.

C'est trop genant d'être dans sa chambre enfait. Y'a jamais personne qui rentre a part ses...bref on va pas y penser sinon j'vomis.

Amir : Dis.

Moi : Dire quoi ?

Amir : c'que t'avais a dire. Dit-il soulé de parler