Chapitre 14 : À dans un an

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PDV ROBIN

Le lendemain, lorsque Zoro se réveilla, il remarqua vite que Robin n'était pas là. Il était pourtant assez tôt.

Il décida alors de descendre dans le salon et c'est là qu'il l'a vit, assis sur le canapé, entrain de boire un café devant la télévision. Il partit alors lui dire bonjour en se plassant derrière elle, puis en l'enlaçant et en déposant un long baisé dans son cou. Elle fit un petit gémissement à ce geste.

Ça, c'est bien une chose dont je ne me lasserais jamais...

Zoro : "Déjà debout ?"

"Oui... J'ai pas très bien dormie..."

Zoro : "Ah bon ? Comment ça se fait ?"

"Et bien, tout d'abord, nos invités..."

Zoro pouffa de rire et Robin continua.

"Et puis j'arrêtais pas de penser à toi."

Zoro : "À moi ?" Dit le vert avec étonnement.

"Tu t'en vas demain..."

C'est passé si vite...

Zoro resta quelques secondes sur place, sans rien dire, puis marcha afin de se mettre sur le canapé, à côté de Robin. Il ouvra les bras en plongeant son regards dans le sien, un regards de compassion.

Zoro : "Viens là."

Oui.

Sans attendre une seconde de plus, elle se mit à califourchon sur lui et l'enlaça de toute ses forces. Il fit de même, tout en caressant son dos et en lui murmurant à l'oreille.

Zoro : "Eh... Je reviendrais vite..."

"Mais j'ai déjà attendue 2 ans... Alors un de plus..."

Zoro : "Je sais... Mais je t'appelerais tout les jours, tu peux compter sur moi."

"Je le sais... Je sais très bien que tu le feras... Mais..."

Zoro : "Oui, moi aussi ce que je veux c'est te prendre dans mes bras et t'embrasser."

"Oui... C'est tout ce que je veux..."

Il continuairent de s'enlaçer pendant quelques instants, puis, sans prévenir, Zoro commença à embrasser le cou de la brune. Il y déposa plusieurs baisés et descendit doucement, petit à petit, avec délicatesse, en direction de sa poitrine. Arrivé à l'endroit de sa convoitise, il remonta sa tête et lui mordit le lobe d'oreille, tout en lui murmurant le fond de sa pensée.

Zoro : "Ça aussi, ça va me manquer..."

Je ne te le fais pas dire...

Ensuite, il la souleva (non pas encore comme vous le pensés) et se mit donc à la porter, puis, la plaqua contre le mur.

Il continua ses baisés dans son cou, avec une hardeur incroyable, comme un vampire accroché à sa proie.

C'est si bon... Attends...

"Zoro... On peut pas faire ça... Dans le salon... Et si ils arrivaient..."

Zoro : "T'as raison, on va monter. Là-haut, je pourrais t'envoyer au 7ème ciel sans problème..."

"Oui... Même plus haut si ça te chantes..."

Elle accrocha alors ses jambes à lui et il continua de la porter, en se dirigeant vers l'escalier. Devant ce dernier, le vert fut attaquer par une nuée de baisés venant de la brune. Il la mit cette fois, sur un meuble, faisant tomber plusieurs objets.

À ce rythme là, ils n'étaient pas prêt d'arriver.

Robin, assaillie de plaisir, se laissa emporter par ses pulsions les plus sauvages. Elle griffait les épaules de Zoro, au point de le faire saigner. Elle plantait ses ongles en lui, avec une force qu'elle ne se connaissait pas. Lui non plus n'était pas en reste, il l'a serrait tellement fort, qu'il allait sûrement lui laisser des bleus.

Après plusieurs mésaventures, ils arrivairent enfin devant leurs chambres et c'est là, qu'ils virent Law et Monet, sortant de la leurs.

Law : "Euh..."

"Oh, Law, Monet, il y a des croissants en bas si vous voulez et si vous partez, n'oubliés pas de claquer la poaaahhh !"

Zoro ne voulait pas attendre. Ce petit crie empêchant Robin de finir sa phrase, était la cause de son action, il venait de la jeter sur le lit. Il claqua alors la porte, ayant totalement snobé Law et sa copine.

Ces derniers se regardairent et rigolairent nerveusement, avant de vite descendre.

Monet : "Bah dit donc, il y a eu du grabuge ici." Fit Monet en constatant l'état du salon, qui était plus que dérangé.

Law : "Je crois qu'on va y aller hein ?"

Monet : "Oui !"

Ils partirent rapidement de la maison, ne prenant même pas le temps de prendre un petit déjeuner.

Le lendemain matin, Zoro avait raccompagné Robin chez sa mère et lui avait confié les clés de chez eux. C'était le temps des adieux pour le couple, encore.

Ils se prirent dans les bras, s'embrassairent et Zoro commença à se diriger vers la voiture, quand tout un coup, il se retourna vers Robin.

Zoro : "Enfait Robin."

"Moi aussi je t'aime Zoro."

Le vert, entandant ça, lui fit un sourire de fierté, ce fameux sourire de fierté et ajouta à son tour.

Zoro : "T'iras voir dans le garage, ok ?"

Quoi ? Le garage ? Mais... Non, me dit pas que...

Zoro : "J'espère que t'aimes les Mercedes."

"Alors toi..."

Zoro : "Oui, je sais."

Et c'est sur ces mots que Zoro s'en alla, retrouvant sa belle l'année prochaine.

One Class - ZoRobin - Tome 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant