Brindibou x Hisoka : La terrible vérité.

Chapitre 1 : Ceux qui cherchent, ceux qui mentent, et ceux qui dansent.

Il était déjà tard, peut-être 8 ou 9 heures du soir,  quand, les pieds de l'homme s'arrêtèrent devant la lourde porte. Une église modeste, mais remarquablement bien entretenue, de manière maniaque même. Malgré la fraicheur de la nuit qui commencée à tomber, l'homme portait d'étranges vêtements, qui, s'ils ne repoussaient pas le froid, attirais les regards : Portant d'étranges chaussures dont le bout se dressait fièrement vers le ciel, il avait des pieds à la tête : un espèce de long bas blanc , ample et très souple, qui se terminais par des parties plus serrées et violettes au niveau des chevilles. Sa silhouette fine et forte (comme la moutarde) était soulignée au niveau de la taille par une partie moulante qui faisait rappel à ses chevilles et qui mourrait dans le creux de ses hanches. Par dessus, une autre pièce ample et blanche, qui lui faisait une carrure massive. On pouvait y apercevoir un trèfle et un pique, mais également un cœur et un carreau dans son dos. Mais, malgré tout, c'était le visage de l'homme qui était le plus extrême et qui attirais le plus les regards.  Doté d'une symétrie presque effrayante, le visage de celui qui se présentais devants la porte avait la couleur de la neige, et ces yeux était deux étoiles, éclatantes et moqueuses. Celui qui poussait la porte de cette église était peut-être un homme, mais, il dégageais l'énergie d'une étoile et l'assurance d'un dieu.

Quand il ouvrit la porte, celle-ci s'ouvrit sur une sœur qui devait avoir près de cinquante ans. Une clé à la main, elle allait pour fermer la porte. Mais s'arrêta comme figée devant celui qui venait d'entrer. Sœur Martha était une femme qui avait vécu toute sa vie dans la foi , elle était considérée comme une miraculée depuis le jour où, renversée par un camion vers ces 11 ans, elle s'en était sortie sans une égratignure. Sa famille très croyante, y avait vu un signe, et, a raison ou non, Martha l'avait assimilée. La jeune fille avait fait de sa foi, le but de sa vie, les fondements de sa personnalité. Depuis, elle avait vécu plus de 30 ans dans cette foi, au point, que rien ne puisse l'ébranler. Du moins, c'est ce qu'elle avait cru jusqu'à maintenant. La vision de cette homme avait tout fait basculé, toutes ces croyances, toutes ces pensées, toute sa foi. Son corps, Martha le sentait, comme si il n'avais vraiment vécu, comme si il découvrait une toute nouvelle cha...

L'homme se pencha vers elle, interrompant le flux de pensée de Martha.
"Hum ... Excusez-moi mais ...  Est-ce que tout vas bien ? Quand j'ai ouvert la porte vous étiez derrière. Vous vous l'êtes prise dans le front, et ça fait bien trois minutes que vous me regardez la bouche ouverte et les yeux dans le vide."

Martha était encore plus décontenancée, la voix douce, enivrante et ferme de l'homme prenait ces oreilles, les faisaient tourner et frissonner dans une dance exquise. Elle bougeait les mains dans tout les sens en cherchant quelque chose à dire.

"Haaaahehowaheuuu ... Non ! Hum, je veux dire : je suis désolée mais l'église vas fermée."
Elle vit l'homme s'humecté les lèvres et se penché vers son visage. Lentement, le regard de Martha fut forcé de se planté dans celui de l'homme.

"Je ne viens pas pour le lieu de culte..."

Il mis son index juste devants les yeux de Martha, ce qui la fit loucher dessus. 

"...Je viens pour le lieu de question. J'en est une a posé au père Kaiba."

Martha tentait de refuser, mais ces lèvres n'en avait pas envie. Elle ne pouvait juste pas, après quelque secondes de luttes intérieure, elle soupira :
"C'est bon , je vous amène voir le père Kaiba"

Il ne répondit pas et se contenta de la suivre jusqu'à la pièce à coté. Martha avait l'impression de marcher seule, elle se retourna et il la suivait.  Si silencieux, sans même forcer , comme si pour lui c'était naturel. 

Elle lui ouvrit la porte, derrière, un prêtre, un homme tranquillement assis sur un banc. Il ne leva pas les yeux, mais ferma son livre laissant son doigt entre ses pages.

"Martha ..."
Le père Kaiba était un homme entre deux âges. Il portait la tenue traditionnelle de son église, une coupe nette qui lui tombais sur le front et deux beaux yeux bleu perçants. Son visage était strict et son expression, noble. Il leva finalement les yeux sur l'intru et la nonne.
"Je t'avais pourtant dit que je ne voulais plus personne dans l'église."

L'individu qui suivais Martha fit froncer les sourcils du prêtre éveillant sa méfiance.

"Hoy hoy"
Il parlais doucement, un sourire sur la commissure des lèvres.
"Je suis simplement venu poser une petite question. Rien de plus."

Le père Kaiba soupira, posa son livre a coté de lui, le réouvra à moitié  pour marquer la page dans son esprit. Puis croisa les jambes et indiqua une place devant lui à l'homme.

"Je t'écoute mon enfant. Martha tu peut nous laissez."

Un sourire moqueur se dessina sur le visage de l'interlocuteur.  Un sourire qui fait intérieurement tilté l'homme d'église. Il parla avec désinvolture, comme si il demandait du pain à une boulangerie.   

"Je voulais juste savoir : Quel-est le sens de la vie ?"

Ha, une question facile. voilà qui arrangeait le père Kaiba.
"Bien ! Le but de la vie est d'atteindre le paradis et d'y amener avec nous le plus de gens possible en leur montrant a quel point Dieu les aiment."

C'est avec stupeur que le père Kaiba regarda l'homme partir dans un petit rire a peine contenu. 

"Ho ho, mon père, ce n'est pas pour insulter les croyances de votre église mais..."
Les yeux de l'homme se plissaient dans un petit rictus amusé voir sadique.
"Je sais reconnaitre quelqu'un qui ment."

Le père serra les dents. Était-ce quelqu'un au courant de la vérité ? Quelqu'un qui se doutait seulement de son existence ? Juste un petit malin ? Un test ? Il allait devoir la jouer super fine si il voulais s'en sortir en vie. Kaiba en était sur : ce n'étais pas une discussion, mais bien une vrai guerre psychologique. Et la balle était dans son camp. Hypothèse 1 : L'homme est quelqu'un qui n'y connait rien. Kaiba roula des yeux, feintant l'exaspération. 

"Et je sais reconnaitre quelqu'un qui raconte n'importe quoi. Ce n'est pas parce que ce que je te dit ne te plait pas que tu doit dire que je ment. Même si tu n'est pas d'accord avec eux, tu doit respecter les croyances des autres, au moins quand elles ne font pas de mal aux gens. Tu n'est pas obligé d'y adhéré ou de ne pas critiquer. Mais tu doit critiquer avec logique, et les thèses pas les personnes."

Apparemment, Kaiba était vraiment très drôle. Puisque l'homme ne pu malgré des efforts apparents,  s'empêcher de rigoler.

"Mignon ! Si mignon !"

Il pouffa encore quelque secondes avant d'ajouter.

"En plus de me faire la morale, j'ai droit a un cour de méthodologie ! Adorable !"

Puis son air devient de suite plus grave. Plus sombre , presque menaçant. 

"Ne tournez pas autour du pot mon père. Il n'y a presque rien que je hait plus que quand on me prend pour un demeuré."

Le père Kaiba eu un mouvement de recul. Hypothèse 1 : Echec .  Hypothèse 2 : L'homme se doutait de quelque chose sans connaître la vérité. Pour Kaiba , c'était l'hypothèse la moins impossible.  Il ne pouvais alors pas s'en sortir avec des banalités. Et son cerveau commença a tourner à plein régime. L'ancien duelliste était doté d'un formidable esprit méthodique. Il allait prendre le chemin qui maximisais ces chances de réussir. 

"Je ne vous prend pas pour un demeuré. Mais il y a des vérités qui sont dangereuse a connaître. Mon enfant, trouvez vous-même un vrai but a votre vie. Ne tomber pas dans une quête d'idéal qui vous veux du mal."
Il se leva pour mettre les mains sur les épaules de l'homme cherchant son regard.
"Trouver votre propre voie. Ne laissez pas une prétendu chose supérieure vous dictez ce que vous devez faire."

Gagné ! L'agressivité de l'homme semblais déjà s'être dissipé ! Kaiba avait gagné ! Si il avait ces mains sur les épaules du plaisantin, dans sa tête il s'imaginais passez les mains autour du coup de celui-ci , prêt a l'étrangler.  

"Pfffff ,inutile"

La vision dans l'esprit de Kaiba dézooma, laissant voir, derrière le prêtre qui passait les mains autour du coup de l'homme. Le même homme tenant les deux dans ces mains. Depuis le début, tout avait été méthodiquement planifié et anticipé par l'homme, de ça manière de l'agresser ou de le provoquer a son arrivé même dans l'église. Un sourire déformé par une joie intense tordis le visage de l'homme et fit blêmir le prêtre.

"Vous pensiez m'avoir avec de belles paroles Seto ?"

Le prêtre le lâcha, ce prénom, son prénom, depuis combien de temps il ne l'avais pas entendu ? L'homme c'était informé sur lui ! Il était en sueur, incapable de prononcer le moindre mot. Alors l'homme l'enchaina. 

"Vous venez juste de confirmez mes soupons. Vous avez validez ma thèse . Il y a bien quelque chose, un secret que certains cachent. Un secret, qui relève des fondement même de notre monde."

Il pointa son doigt vers le prêtre avec un grand mouvement ample. 

"ET VOUS. Vous connaissez ce secret !*

QUOI ? Kaiba n'en revannais pas ? Comment était-ce possible ? Il n'avais fait aucun faux pas ! n'avez lâché aucune information !!!

"Non non non , c'est impossible ..."

Le prêtre repris son souffle. Essuyant la sueur de son front.

"Vous me faites marchez ! Je n'ai fait aucune erreur !!! Vous le saviez déjà avant !!! Oui ! c'est ça ! Vous connaissiez déjà la vérité avant."

Quand il vu l'expression de l'homme il compris de lui même. Elle était éclatante, un sourire victorieux et des yeux révulsé par le plaisir. Il avait été la marionnette de cette homme terrifiant. 

"Vous n'aviez fait aucune erreur ..."

Son sourire ce fit encore plus large. Le prêtre vit sa langue sortir doucement de sa bouche pour caressé ces lèvres claires. 

"... Jusqu'à maintenant."

"Je vous ai seulement mis la pression , et comme vous avez tenu , je vous ai fait croire que vous aviez fait une erreur. C'était juste du bluff."

Il claque de la langue, Kaiba avait l'impression qu'il se délecter de son trouble et de sa peur. Ce n'était pas un homme ... Mais un démon !

"Et tu est tombé dans le panneau Seto ... Non seulement je sais maintenant qu'il y a une vérité qu'on me cache et qui est assez importante pour qu'un homme d'église bafoue ces croyances. Donc plus importante que Dieu. Mais je sais aussi que tu la connais mon Setounet ..."

Le visage de l'homme se mit a quelques centimètre du sien, l'air triomphant, le doigt sur le menton de Seto.

"Qu'est ... Qu'est-ce que vous allez me faire ?"

"Rien ! De toute façon tu ne me diras rien même si je te torturais. Je vais allez trouver quelqu'un d'autre c'est plus amusant comme ça."
Et il partit sans se retourner, une main dans la poche, l'autre faisait coucou de manière nonchalante.

Kaiba resta un moment sous le choc. Il parvient à s'en remettre difficilement avec l'aide de Martha. Et ce n'est que plusieurs heures plus tard qu'il pu rentrer chez lui. Après s'être détendu avec une douche brulante. Il mis de petites lunettes, alluma sa télé une petite heure, puis ouvrir sa bible pour en lire quelques passages. Comme si quelque chose le gênais, il se mit à pleurer tout en parcourant les récits des saints et du fils de Dieu.
"Tout ça ... Tout ces mensonges que j'avale ... Tout ça pour essayer de l'oublier ..."
Ces larmes se mirent a se changer en sang, Kaiba balança violement sa bible à travers la télévision. La faisant tomber de son mur et éclatant les deux par terre.  Mais quand il regarda à nouveau sa table de chevet. Il y avait une carte de Tarot. L'arcane 1 : Le magicien. 

"Mon Setounet ... Je suis un vilain garçon ... J'ai mentit ... C'est avec toi que je veux m'amusé"


( Voilà , c'était le premier chapitre de ma fanfiction !!! Je vais essayer de poster la suite dès la semaine prochaine ! Je l'écrit pour faire un cadeau d'anniversaire à ma petite sœur (tu est géniale toi ^-^) donc si il y a des choses que vous ne compreniez pas de suite c'est normal. Ca viendras dans les prochains chapitres. Et si vous êtes vraiment impatient (comme moi de voir si ça vous plait <3)vous pouvez toujours laissé un commentaire !)