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LIVAI

J'explosai mon réveil contre le mur pour la cinquième fois cette semaine. C'était sûr que j'allai recevoir une énième remarque de ma mère. mais sincèrement c'était loin d'être mon premier problème. Et puis ce n'étais pas de ma faute si je ne trouvais jamais le bouton pour arrêter cette engin. Je me levai de mon lit et j'ouvris les volets de ma chambre pour laisser aérer la pièce . Je fis rapidement mon lit et je filai dans la salle de bain. J'arrivai dans la cuisine, ma mère était présente, et préparait des crêpes pour mon petit déjeuné.

—Bonjour mon chéri ! Bien dormi? Commença-t-elle joyeusement.

—Tu rigoles! Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit. J'appréhende mon nouveau lycée. À ce qu'il parait, ça n'a rien avoir avec les States.

—Ne t'inquiète pas mon chéri, je suis sûr que tous se passera bien! Et puis c'est l'occasion de redécouvrir tes racines car après tous, tu es français.

Je ne répondis pas à sa contre partie, en revanche, je pris une crêpe qu'elle avait spécialement fait pour moi et je quittai mon domicile après un brossage de dent et un baiser de ma mère sur ma joue. En parlant d'elle, ma génitrice était incroyable. Une femme forte qui avait réussi à se débrouiller seule, sans l'aide d'un quelconque homme. Et je n'ai toujours manqué de rien, au contraire! Kuchel Ackerman. Ouais, elle était carrément badas ma mère. Moi, j'étais Livai Ackerman. J'étais tout son opposé, même si on se ressemblait beaucoup physiquement. Maman était extravertie et moi j'étais introverti. Elle aimait bien sortir alors que j'étais un casanier. De parfait opposés, et malgré tous, nous étions incroyablement proche. Notre complicité était inégalable. Je venais d'emménager à Paris, il y'a un peu près deux ou trois mois, comme vous l'avez peut-être compris. J'avais d'abord vécu en France jusqu'à mes cinq ans et ensuite j'avais du déménagé en Amérique à cause du travail de ma mère. Et j'ignorais pourquoi, nous étions de retour ici.

« La ville de l'amour. »

J'étais mort de rire. Paris était nul à chier. Simplement parce que les français jugeaient tous et n'importe. Parce qu'ils n'étaient pas ouvert d'esprit et qu'ils considèrent tous comme « bizarre ». Je critique beaucoup, mais en soit, c'est d'ici que je viens.

Malgré que je sois née ici, mon français est assez bancale et je connais très mal Paris si on ignore les conneries des livres d'histoire. Alors aujourd'hui, j'apprends à connaître cette ville qui est en réalité la mienne aussi.

Actuellement, j'étais en route pour le lycée Maria. On disait que c'est un des meilleurs lycée et que si j'obtenais les notes suffisantes, je pourrais entrer dans une très bonne fac! J'arrivai avec quinze minutes d'avance et une fois à l'intérieur du bâtiment, je vis mes deux meilleurs amis courir dans ma direction: Hanji Zoé et Erwin Smith. Mon départ avait été très douloureux pour nous trois mais on avait toujours gardé contact. Et ce sont mes amis depuis dix bonnes années.

—Livaiii! Je suis trop contente de te voir! Hurla ma meilleure amie.

—On ne peut pas en dire autant de moi...

—Eh pourquoi tant de méchanceté envers moi ! Bouda-t-elle faussement.

—Je te taquine Hanji! Vous m'avez manqué !

—Toi aussi Livai! Ça fait tellement longtemps qu'on ne s'est pas vu! Ravie de te revoir! Erwin s'était intégré à la discussion.

Ding Ding Ding

La sonnerie retentit, on se dirigea donc vers le grand tableau pour voir si nous étions dans la même classe ou pas. Je ne connaissais personne dans cette école, j'espérais vraiment être avec un des deux.

—Erwin! Livai! Regardez! On est dans la même classe! S'excita la brune.

—Sérieux ? C'est trop bien! Dis-je rassuré. Peut-être que la chance serait avec moi. Vous en connaissez d'autre? Ajoutais-je en lisant les noms inscrit sur le tableau.

—Laisse moi voir...


Livai Ackerman
Mikasa Ackerman
Armin Arlert
Moblit Berber
Marco Bott
Sasha Braus
Reiner Braun
Berthold Hoover
Eren Jäger
Jean Kirstein
Annie Léonard
Christa Lenz
Petra Rall
Erwin Smith
Connie Springer
Hangi Zoé


—Oui j'en connais quelques uns, ils étaient avec moi l'année passé!

Nous nous dirigeons vers la salle 201. On s'installa au fond de la classe et le prof d'histoire arriva pour commencer son monologue de chaque début d'année...Je ne comprenais pas tous puisqu'il utilisait des mots compliqués mais je trouvai que je m'en sortais pas mal pour un « étranger ».

—Je me présente, je suis monsieur Hannes votre professeur d'histoire et votre professeur principale. Maintenant je vous pris de rapidement vous présentez devant la classe, on commence par Livai.

Argh... Voilà la raison du pourquoi je déteste le fait que mon nom de famille commence par un A. Je suis toujours le premier à me présenter à cause de ça! Je me levai lassement en traînant un peu des pieds. Je détestais parler devant un publique trop nombreux. Je me rappelle même que j'avais une phobie sociale quand j'étais petit. J'ai pris un traitement efficace mais j'ai toujours des difficultés à m'exprimer devant plus de 10 personnes.

—Je m'appelle Livai Ackerman, j'ai 17 ans et je viens d'emménager à Paris.

Une fille rousse leva la main et demanda:

—Livai ?Tu viens d'un pays anglophone non? Tu as un petit accent je trouve!

—Oui je viens de Los Angeles, je parle Français car ma mère me l'as appris quand j'étais petit. Mais j'ai pas un langage de fou... Avouais-je presque gêné.

—C'est génial! Moi aussi je viens d'Amérique! Bon je viens du Canada mais ça revient au même! N'hésite pas à demander mon aide pour une traduction si tu veux!

Je lui souris en guise de réponse et je retournai à ma place. Le reste des présentations fut ennuyante jusqu'à ce que je vis un grand brun aux yeux vers arrivé à l'avant de la classe.

—Eren Jäger, 18 ans fin bref tous le monde me connaît ici hormis le nouveau.

| Eren X Livai | INSTABLEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant