Chapitre 4

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Après un bon bain, Mira soigna du mieux qu'elle le pouvais les blessures de Zaya avant de l'aidait à s'habiller d'une simple robe de couleur bordeaux qui cacherait toute ces marques. Elle a voulut appeler le médecins pour l'aider, mais à peine la phrase était sortis qu'elle fut prise d'une grande panique. À la demandes de Zaya, elle accepta pour cette fois de ne pas prévenir qui que se soit. C'est à se moment que Mira savait au fond qu'elle ne pourrait pas laissée une autre personne s'occuper d'elle.

Mira: Zaya, accepterais tu que je m'occupes de toi? Innocente comme elle était ne comprit aucunement sa question.

Zaya: Ai-je fait quelque chose de mal Madame? Les larmes commençait à lui montée au yeux.

Mira: Non pas du tout, je te demandes seulement si tu accepterais que je t'aides.

Zaya: Je ne comprend toujours pas. Vous voulez... m'aidée, mais ... cela veut dires quoi? À chaque marque de gentillesse qu'elle fait elle remarquas que la jeune fille n'y comprenais rien se qui lui brisais plus le coeur.

Mira: Ne t'inquiètes pas Zaya. Je vais t'apprendre la bonté.

Zaya: Puis-je m'assoir sur le lit?

Mira: Cette chambre est tienne Zaya tu na guère besoins de me le demandait. Les yeux brillant de joie, elle fit le tour de la chambre le sourire au lèvre.

Zaya: J'ai une chambre? Et à moi seul?

Mira: Tu n'as jamais dormis dans une chambre?

Zaya: Disons que la plus part du temps quand on n'avait pas besoins de... je n'avais pas de chambre. Ses paroles n'avait rien de joyeux, mais elle réussit à garder un minimum sont fameux nouveau sourire.

Mira: Je te laisses profité en attendant je vais voir si le repas est près et quand tu pourras manger.

Zaya: Vais-je manger dans ma chambre?

Mira: Je penses plutôt que vous allez mangée avec la famille royal. En attendant, profite de ta nouvelles chambre.

Zaya se couches sur le lit fatiguer de sa journée qui la rendait heureuses sans vraiment savoir le mots qui d'écrirait se sentiments. Durant se temps là, la famille royal était déjà à tables pour discuter un peu des nouvelles. C'est vite deviner que le sujets de se soir se tournerait sur une charmante jeune femme.

François: Vous n'avez aucun droit de prendre la première venue pour te prendre en charge. C'est irresponsable de votre part à toute les deux.

Jasmine: Pour une fois, tu ne pourrais pas me faire confiance?

*TOC,TOC

François: Entrée. Les trois tête couronnée se tournés vers la grande porte pour apercevoir le sujet de la discussion entrée.

Zaya: Pardonnait moi de vous dérangez, mais Madame Mira ma demander de venir dîner ici.

Le jeune roi déposa son regard vers la concernée. Elle était vêtue d'une robe qui épouser parfaitement son corps et ces courbes. Se qui en faisait perdre les mots au roi.  Habituellement, c'était les femmes qui venait à lui le suppliant de la prendre à ces côté, mais cette fois c'était lui qui était tomber sous la sublime beauté d'une jeune femme. François savait, rien qu'en la regardant, qu'elle n'avait rien de mauvais et que l'innocence pur était faite pour elle. Comme si ces mots avait était écrite pour elle. Des yeux vert avec une touches de bleu et ses cheveux semi bouclé qui la rend encore plus innocente qu'elle ne l'est déjà de sa couleur brun avec des mèches blonde quand elles sont sous le soleil. Cette femme était la signification même de la perfection. C'était le seul mots qui lui venait à l'esprit en l'admirant dans son siège royal.

Reine: Bien sur mon enfant. Venez vous assoir.

Zaya: Merci votre altesse. Zaya s'installe face à la princesse avec le roi au bout de la table  à gauche et sa mère à l'autre bout de la table.

François: Parlait moi un peu de vous mademoiselle ... Euh, quel est votre nom déjà?

Zaya: Zaya votre altesse.

François: Avez-vous un nom de famille Zaya?

Zaya: Non votre altesse, je suis orpheline.

François: Intéressant et avez-vous eu d'autre travaille avant celui-ci mademoiselle?

Jasmine: François!

François: Quoi? Je pose seulement des questions à ta nouvelle responsable. La reine était déçus de sont fils et la princesse était outré et commença à s'inquiéter pour sa nouvelle amie.

Zaya: Ne vous inquiétez pas c'est tout à fait légitimes que le roi s'inquiètes pour sa soeur et le royaume. Même si ces mots glisser comme de l'eau sortis d'une fontaine Zaya commença à appréhender son avenir dans se palais.

François: Merci de me défendre. Maintenant, j'aimerais que vous répondez à ma question mademoiselle. Zaya gardas la tête baisser sur ces mains poser sur ces jambes.

Zaya: J'étais femme de chambre et une fois cuisinière. "Mais pas dans le sens que vous le pensez malheureusement. " C'est se qu'elle aurait voulut ajouté, mais elle n'en fit rien.

François: Normalement ces emplois son bien rémunérer alors pourquoi trouver du travaille ici?

Zaya: Je...

Reine: Assez François! Laisses cette jeune fille tranquille enfin!

Zaya essaya de tout son être pour ne pas pleuré à cette situation. Habituer elle réussit à retenir ses larmes jusqu'à la fin de se diner. Comme à son habitude, Zaya attendait que tout le monde partes avant de rentré dans sa chambre, mais une chose ou plutôt quelqu'un l'empêcher de partir. Le roi était resté assis regardant le vide et réfléchissant à tout et à rien. Une heure passa avant qu'il remarque qu'elle n'était toujours pas partie.

François: Que faite vous encore là? Partez et allez dormir!

Zaya: Zéro.

François: Pardon? Son attention se retourne complètement sur elle ne comprenant en rien la situation.

Zaya: À l'orphelinat où j'était jusqu'à ma majorité on ne donnait aucun nom au enfant. À la place on leur donner des numéro.

François: Pourquoi avoir choisi zéro?

Zaya: Se n'était pas à nous de choisir votre Altesse. Les femmes du foyer ma choisi se numéro, parce qu'il disait que je ne valait rien même à la naissance. Elles trouvait que se chiffre représenter bien ma valeur tout comme la qualité de la marchandise.

François: Pourquoi me dire tout cela?

Zaya: Vous avez demandé et un jour vous en serait assez pour me regarder de façon plus directe que maintenant.

François: Et dites moi comment je vous regardes Zaya?

Zaya: Avec désire.

Elle décida enfin de relever sa tête pour croiser son regardant qui enflammas tout son corps. Un petit sourire se glisse sur les lèvres du jeune homme heureux de voir l'effet de son charmes fonctionner. François n'est pas que roi, mais il est surtout un coureur de jupons et personne ne diras le contraire. Il adore les femmes et plus elle leur résistes plus il les adores. Par contre, cette fois il y avait un problèmes. C'est que la femme qu'il désirait a présent est devenue un fruit défendue à l'instant où elle a acceptée de travailler ici. Mélanger travaille et vie privée à toujours était sa plus grande règles, mais depuis qu'il est roi il n'eu le temps de voir aucune de ses maîtresses.

François: Je ne vais pas vous mentir en disant que c'est faux, mais j'ai des limites.

Zaya: J'espère que vous avez raison. La panique augmenter et compressas ses poumons. Tête baisser elle essaya de retrouver une respiration normal.

François: Avez-vous peur de moi?

Zaya: Je vous mentirais si je disait que non.

L'amour sous la forme d'une armeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant