chapitre 1: le campement

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"on s'installe ici mes frère" cette voix ronque et profonde s'entendirent dans toute la vallée on mon père avait décidé d'installer le campement pour cette hivers.

c'est la première foi que nous allons aussi loin dans le sud de nos terre, on pouvait presque ressentir la chaleur du soleil, derrière les nuages noire nous recouvrant toujours d'une neige froide et humide. Le campement aller être installer sur une grandes butte suffisamment étendue pour y accueillir tout nos frère et sœur de chasse.

La nuits commencé a tomber ,même si la différence étais peux visible, nous le savions pour le mordant du froids intenses nous dévorent malgré les manteaux de peaux, les premières tente étais a peine monter, les premiers feux venait de luire dans obscurité glacial . malgré tout nos effort dans la marche depuis plusieurs jours, notre arriver étais trop tardive .les premiers loups hurle a l'ascension de la lune pleine, et les bête infamé commence a ce faire ressentir dans les bois de sapins nous bordent de part en part.

Les femmes, les enfants et les non initié commencer a faire signe d'une peur marqué, malgré notre nombre , et nôtres déterminations a survivre a tout couts. Nous les chasseurs devront aussi installer les moyens obligatoire pour notre survie collectif dans cette terre neigeux et inhospitalière.

"Arguard vient avec moi, il vont formé un cordons" , la voix de mon père cette homme qui a connue que la survivance, les combat qui parte chaque marque sur la peaux du visage jusqu'au orteil,  tout les nomades pouvait l'apercevoir de ca taille gigantesque, ca grande barbe hirsute blanchisant par sont âges vénérable, sont visage marqué par le temps et les épreuves plus mémorable les une que les autres. Malgré cela il n'avait pas perdue de sont charisme narré par les scribes et les chanteurs.ca voix étais très profonde et roque. les cheveux qu'il possédé sadise sont tombé depuis des temps ancien. habiller de ca peaux d'ours marron, le premiers qu'il avait tuer de c'est main, et de vêtements de cuir bouilli et tanné. les deux épée de grandes qualité d'un métal vénérable et orné d'aluminure de bataille passé et d'animaux des sagas, une de c'est épée  Baerer av  vintrene, cette lame divine, vue donné a notre famille après une longues guerre perdue dans l'histoire du monde, qu'il possède sont solidement lié a ca ceinture graffé de corbeaux d'ors. les gros épaulières qui défendent c'est épaule massive sont des cranes de corbeaux géants renforcé par des morceaux de fers fondue sur les ossements. 

je pris l'ordre, est ce prit pars pour le rejoindre pour commencé la défense improvisé que nous devront absolument mettre en place sous peine de subir de lourde perte dans les marcheurs.je pris le commandement de la défense du cotés droits de la vallée, on était conte a conte les armes et torche au claire. les seuls éclats de clarté visible dans la pénombre omniprésente, les flocons continuée de tomber sans fin, les bourrasques puissante glacé nos poils même couvert par les couches superposés de peux ,de cuirs et d'acier. les épées, hacherons, hache, lances ,flèches, reflété le givre s'accumulent au file des heures s'écoulant. chaque chasseurs commencé a subir les ténèbres et la froideur, leurs visages étais de plus en plus blafardes. les  hurlement des bêtes ce rapproché pas a pas, les lueurs de regards carnassier ce voyer a travers la végétation luxuriante des Forest épineuse de pins sombre nous entourent comme si nous étions enfermer dans une cages géante observé par des cannibales mourant de faim.

deux heure après:

les tentes venait d'être complètement monté, la nuit nous hanté complétement les éclates de la lune vire tapé violement, éblouissent le terrain par à-coups. Nous allions remonté au campement pour prendre place tours a tours au tours des palissade de fortune monté a la hâte, étants a peine suffisamment haut pour bloqué un homme, une bête carnivore intéressé part le buffet que nous lui donné sur un plateau d'ébène, ne vous que attiré n'importe quelle menasse , par le simple fait que la lumière des torche, brocherons et de l'odeur de la viande cuite sur les braises devait être perceptible un des lieux a la ronde. 

un hurlement terrifiants, celui qui détruirez  tout mentale nos accoutumé a la morts marchants sans pause dans une marche fenestre et lourde d'émotion.  les premiers crie de souffrance intense remplissez la vallée comme l'encerclent dans une sphère de douleur et de peur, les éclatement de lame frappant et le flèche tranchant vair leur victime, les premier crie des cors d'alerte brisant nos tapent, je me mit a courir dans ce matelas blanc. Mes mouvement me demander toute ma force, j'étais comme avaler par ce manteaux de glace épais. ma visions étants obscurcie par des images d'un massacre, le cordon de mon aïeux étais presque décimer. des vingtaines de corps s'issant au sols dans des mares pourpre transforment les flocons froids en boue rouge fumante de condensation. les peux de guerriers encore combatif frapper cette masse sombre titaneste rendant mes les plus hauts arbre minuscules, nous étions comme des Fourmies affrontant un béhémot, mon père se bâter comme le héro qui est , ca lame frapper les lance noirs tombant de chaque conté comme l'enveloppent. sa lame étais la seul a blesser légèrement cette peau presque indestructible de ce monstre , toute les haches, flèche , armes ce briser comme de la porcelaine. ce m'approcher de toute la vitesse que je prouver attarde dans cette plaine ou le conflit bat sont plein, tout mes hommes foncer avec moi, vers une mort quasi certaine. nous devon nous sacrifier pour ce qui ne peuvent pas ce battre, mes hommes commencer a ce faire balayer par le repos éternel. j'arrive enfin au pieds de mon père, not lame ce batte comme des jumelles , ce frapper pendant que lui contré une des attaque tentaculaires , malgré cette destruction total de nos frères, notre chefs n'avait toujours pas sonner l'ordre d'évacuation du camps. les frappes ne fessait que de le blesser légèrement, très peux de sont sangs mauve brulants perlé sur ce sols boueux sanguinolente, cette odeur de cadavre nous détruisez l'odorat.la peur remplisé mon âmes a chaque nouveau cadavre formé des montagnes au sols, cette bête que on voyer pas ,elle étais a peine perceptible. une des formes vient me frapper de plein fouée dans la bras, celui ci vient de presque s'archée je suis tomber sol violament lâchant mon épée ,hurlant de douleur que je n'avait jamais ressentit avant , mon sangs coulé le longs de mon corps fatigué par ce combat bien trop périeux. mon père ce retourna pour mon porté secoure , sa vigilance n'a pas pu prévoir le coups , mon père vus transperce de pars en pars , ma douleur ce transformer en haine , sont visage de souffrance reste graver dans ma mémoire, la masse sombre sortie de sont corps dans une serbe de sangs éclaboussant mon visage , c'est organe tapisser le sols rouge, sont corps tombie face contre terre, ma haine m'enlever toute chuchote toute douleur , toute capacité mental. Mon seul but ,la seul chose que mon esprit percevez étais cette chose ,qui fenait d'exterminé mes frère et mon protecteur. j'étais a moi maintenant de protéger sont corps ,il devait pouvoir aller au hall des héros, après tout qui la fait ,sont corps ne devait pas être profaner par un démon sur patte. je prit par un reflexe de colère j'ai dégêner Baerer av vintrene , cette épée que mon père ne voulait pas brandir a causse de ca puissance interdite. cette lame étais magnifique d'un acier bleu azzur , ce sente une grandes puissance en moi, comme une aura m'enveloppent ,je ne ressente plus le froid, mes pensé étais remplie d'images floue et indestritible.je me l'anthère dans une charges vengeresse , le sols ce transformer en glace a chaqu'un de mes pats , je n'est jamais courue aussi vite. je commence a vraiment apercevoir cette bête, un mélange autre un linx géants des neiges, avec un pelache blanc immaculé et d'une pieuvre possédant des douzaine de tentacule entouré par des lame d'os. J'ai réussit a le frapper dans ca patte giganteste , je senti mon corps ce remplire a nouveaux d'un froids glacial. j'apercevait juste avant de tomber d'un l'inconscience dut a ma blessure encore soitante , sont corps ce pétrifiant en un énorme insberg et je brissa.je ne ressentait plus rien , ma vision ce noircissant encore plus, et je tombé dans la neige me croyant mort. 


          

      


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⏰ Dernière mise à jour : Jun 04, 2022 ⏰

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