chapter two

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- Promis je te ramène le costard ni vue ni connue après le rendez-vous.

Je voyais que Maia n'était pas rassurée a l'idée de me prêter  les vêtement, de la clientèle.

-Et comment tu comptes faire pour les autres jours ?

-Je t'en emprunterai un autre, jusqu'à que j'ai suffisamment d'argent pour m'en acheter un.

Même si je ne lui montrait pas , je me sentais mal et honteuse de lui ajouter un stresse supplémentaires, mais je devais absolument faire bonne impression si je voulais avoir ma chance. Parfois j'aimerais être capable de lui rendre l'appareille et de lui rendre service aussi souvent qu'elle le faisait pour moi.

- Bon d'accord tiens prend ces trois là. La cliente vient les chercher que dans 2 semaines, elle est partie en vacances. Tu peux me les ramener le vendredi avant son retour.

- Super ! Merci, tu es la meilleure !

J'embrassais Maïa sur la joue, et partis en courant en direction des toilettes du pressing pour me changeais à toute vitesse. Heureusement, j'avais une paire de chaussure à talon datant de mes études en hôtellerie restauration. Elle me faisait un mal de chien, mais c'était tout ce que j'avais pour le moment. Je dressais mes cheveux en une queue-de-cheval bien tirée mais pas trop haute. Et habillais mon sac d'un foulard Gucci que j'avais également trouvé dans les affaires à laver du pressing.

Je voulais qu'il pense que j'étais une fille de bonne famille qui venait travailler pour m'émanciper. Quand j'observais mon reflet dans le miroir, j'étais plutôt fière du résultat.

Je ressemblais à une jeune femme déterminée à obtenir cet emploi.

Maïa me contemplait de la tête au pied. Je fis un tour sur moi-même pour qu'elle puisse m'observer correctement sous tous les angles.

- Tu es canon ! Mais si ma mère voyait qu'on pique dans les affaires des clients, elle me tuerait.

- ça va ce n'est qu'un emprunt. Et que pour 1 semaine. Bon aller, je file ! tentai-je de la rassurée.

J'embrassai une dernière fois ma meilleure amie  sur la joue et partis en direction de Vogue. Ha moi le job d'assistante !

J'avais du mal à contenir mon excitation.

J'avais du mal à contenir mon excitation

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Dans le hall je me sentais toute petite. Tous semblait grandiose. Je me présentai au guichet, ou une jeune hôtesse d'accueil me salua, avec un sourire figé sur le visage.

- Vous devez monter au 16e, c'est l'étage de la rédaction.

Je m'exécutai sans perdre 1 seconde. J'avais encore 15 bonnes minutes devant moi, je profita de l'ascenseur pour me repoudrer un peu et cacher mes cernes. J'avais passé la nuit a créé les pages Wikipédia de fausse entreprise, pour lesquelles j'avais travaillé.

La décoration était sobre et distinguée, un sol brillant en marbre blanc, les murs de la même couleur était ornés de cadres, avec toutes les premières de couverture, de chaque année. Une porte vitrée avec le logo Vogue séparait l'entrée, des bureaux.
J'étais étonnée par l'agitation qui se tenais devant moi. Des bureau ici et là, où des journaliste pianotaient avec énergie sur leur clavier. D'autre photocopier ou discuter une tasse à la main.
Seuls deux bureaux étaient mis à part derrière de grandes baies vitrées. Je pouvais distinguer sur l'une des portes "Rédacteur en Chef monsieur Styles".

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