Tout ces visages de peur, de détresse. Ce désespoir et l'odeur d'une profonde solitude.
Ces regards, qui à la fois racontent tous les maux de la terre,
Mais pour qui un battement de cil
Serait fatale.
Comme un reflet dans l'eau,
Dont le vent irait semer le trouble.
Les larmes disparaissent.
Tout cela, je l'ai vu.
La pluie s'estompe.
Cela, je l'ai ressenti.
Je l'ai laissé m'envahir le crâne
Comme il avait envahi le leur.
Le malheur.
Ô comme j'aimerais prendre un verre avec lui,
Et ainsi noyer tous mes chakras.
Le malheur. Non, il n'y a pas d'heure.
VOUS LISEZ
Pensées Exilés
PoetryQuelques textes écrits par mes soins, parfois des citations que j'ai aimé. Enjoy, ou pas.