𝐿𝑖𝑓𝑒 𝑖𝑠 𝑆𝑡𝑟𝑎𝑛𝑔𝑒-[Armin x Reader]

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Je finis par entourer ses taille de mes bras, la rapprochant un peu plus, elle enfouit sa tête dans mon cou et nous commençons à nous balancer de gauche à droite sur le rythme de la musique. J'avais mon nez dans ses cheveux, respirant son shampoing, qui est toujours le même depuis qu'on se connaît d'ailleurs. Cette odeur, c'est celle que je pourrais reconnaître entre milles, (T/s) a une odeur bien à elle. Le souffle de sa respiration me perturbait grandement, elle est si... proche. Elle m'a tellement manquée... Dire que j'aurais pu la perdre, aujourd'hui... Rien que de penser à ça, j'en ai les larmes aux yeux et serre un peu plus ma prise autour de sa taille. Je la sens sourire contre ma clavicule, elle fourre une de ses mains dans mes cheveux. Décidemment... elle ne fais que de me faire rougir aujourd'hui... J'ai l'impression que ses muscles sont détendus, qu'elle est plus sereine que tout à l'heure, quand on parlait de Marco. Serait-ce grâce à moi ? J'aimerais rester comme ça, je me sens bien, moi aussi. Je m'approche de son oreille, et ouvre ma bouche pour dire quelque chose mais... quoi ? Pourquoi j'ai fais ça ? Je n'ai rien à dire. Je la sens frissonner puis je remarque que son oreille est devenue toute rouge. Tout d'un coup on entend une voix, ce qui nous fait sursauter. Elle me lâche.

Kenny- (T/p) ? Tu es là ? Elle se dépêche d'éteindre la musique et s'assoit sur son lit, saoulée. C'est vrai qu'elle déteste être humiliée. Je t'ai déjà dit d'arrêter d'écouter ta musique de dépressive à fond !

Toi- Mec, j'écoute pas de musique, là. Connard... dit-elle tout bas.

Kenny- J'arrive, il faut qu'on parle. Sa voix se rapproche doucement, ça veut dire qu'il monte les escaliers.

Toi- Et merde ! Cache toi ! Il va me tuer s'il te trouve ici ! Elle se lève pour aller vers la porte de sa chambre et la fermer à clé.

Kenny- (T/p), qu'est-ce que tu fabriques ? Ouvre, s'il-te-plaît ! Il frappait en continu la porte.

Toi- Une minute, je m'habille, OK ?! Elle me montre d'un signe de tête le placard. Ah, j'ai compris, je vais me cacher dedans.

Kenny- Ne fais pas la plus fine avec moi. Ouvre, maintenant.

Toi- Une seconde, mon soutif est coincé. Elle finit par ouvrir la porte. Merde... Il entre.

Kenny- Qu'est-ce qu'il se passe ici ?

Toi- Relax, j'essayais juste des fringues. T'es vraiment parano. Elle croise les bras sur sa poitrine.

Kenny- La guerre rend méfiant, oui. Elle souffle et retourne s'assoir sur son lit. Il inspecte la chambre, et se dirige vers le bureau. Merde ! Il y a encore sa cigarette, fin, son joint plutôt, allumé dans le cendrier. Je viens de remarquer l'odeur. Une de mes armes a disparu. Est-ce que tu l'as prise ?

Toi- J'y ai pas touché à ton flingue de merde. Tu sais que je suis pour la réglementation des armes. Il pose les yeux sur le cendrier et prend le joint.

Kenny- C'est quoi, ça, de l'herbe ? T'as encore fumé des joints dans ta chambre ? Elle se lève, agacée.

Toi- Bien sûr, des flingues, de l'herbe... Tu délires, mon vieux.

Kenny- J'en ai assez de ton manque de respect ! Dis-moi la vérité, c'est un ordre ! C'est à qui ? Je sors de ma cachette, pour intervenir.

- Pardon... C'était mon joint. (T/s) me fit les gros yeux, j'allait sûrement compliquer la situation mais je ne veux pas qu'elle ait des ennuis pour de la drogue.

Kenny- Voyez-vous ça. Je n'aime pas avoir des étrangers sous mon toit. Et surtout pas des drogués. Tu as amené des drogues chez moi, hein. Il s'approche rapidement pour se planter devant moi. Et si j'appelais la police ? (T/s) allait s'interposer entre nous mais Kenny l'arrête d'un bras. Elle le toise d'un mauvais oeil. Ça ferait tâche sur ton joli bulletin de fin d'année. Décidemment, on se rencontre souvent aujourd'hui, Arlert. J'en ai assez de voir (T/p) se faire influencer par des losers. Tu as l'air d'avoir un chic pour créer des problèmes. Comme tout à l'heure. Voyant que je n'avais aucune réaction, il appuie son index sur mon torse, me poussant. Tu n'as rien à dire, maintenant, hein ? Hein ?