Chapitre 4: La Saveur

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Quelques mois étaient déjà passés depuis l'altercation avec Fea et nous n'en avions pas reparlé depuis a ma plus grande peine. Il semblait gêné. Depuis nous n'avons plus joué ensemble, plus écouté une seule musique, rien. Nos rapports se limitaient a un bonjour de temps en temps. Mais au milieu de la tristesse évidente de la situation se terrait une source infinie et inépuisable de bonheur. La technique de masturbation qu'il m'avait apprise était tout simplement grandiose, incroyable, magnifique. Chaque fois était comme la première, je m'installais confortablement sur mon lit, en position assise, puis j'empoignais ma kikette ,qui depuis avait pris quelques centimètres (1,45 pour être précis) faisant de moi un préadolescent fier et en bonne forme, puis je la secouait de la sorte et tout recommençait a nouveau. Les picotements dans les jambes, les spasmes et frissons qui dansaient le long de mes vertèbres et les gémissements arrachés a mon corps entièrement dévoué au plaisir. Et le tout a chaque fois pour un final des plus grandiose: la fameuse éclaboussure.
Le "sperme" comme l'appelait Fea, je détestais ce nom. Il paraissait vulgaire et la prononciation en fait même quelque chose d'effrayant alors que ce que je voyais moi, ce liquide voluptueux agréable au toucher, ce jus de plaisirs au coloris envoutant. Je préférais appeler ça "mon lait" bien que le mien n'ait curieusement pas la couleur blanchâtre que j'ai pu observer chez mon frère, il était translucide et d'aspect fumé comme si un tout petit peu de couleur blanchâtre se dispersait dans cette flaque transparente. Mais chaque homme doit produire une teinte différente, enfin c'est ce que je pensais.

Une chose de mon lait que j'aimais particulièrement c'était son odeur, elle m'enivrait, c'était une de ses odeurs impossibles a décrire qui évoque en vous des ressentis particuliers. J'aimais sentir les mouchoirs en papiers usés de mon plaisir, en explorer la texture du bout de mes doigts. Le lait de ma kikette était devenu une sorte de passion pour moi et je vous avais déjà parlé de mon autre passion... La nourriture. Le rapprochement ne fut pas long a faire.
C'était une belle journée ensoleillée et je m'adonnais comme chaque matin a une petite séance de plaisir matinal, d'abord 10 minutes de coupelle pour enfin finir sur la technique Fea (c'est le surnom que j'ai donné car il me l'a apprise) et le résultat était toujours le même mon corps envahi par le plaisir et le lait éruptant de ma tige. Sauf que cette fois la je n'avais pas de mouchoir en papier et je m'en suis rendu compte bien trop tard. Entre deux frissons de plaisir je fouillais les moindres recoins de mon lit a la recherche de ce mouchoir que je n'ai jamais trouvé. Mais les secousses violentes de mes jambes et la fermeture incontrôlée de mes paupières avaient trahi le fait qu'il était déjà trop tard le geyser était la. Je tenta en vain de le contrôler de mes mains qui furent rapidement recouverte car depuis la première fois la quantité de lait ne semblait qu'augmenter. Je gisais la les mains couvertes de mon lait qui traversé par un rayon de soleil qui parcourrait la chambre brillait de milles feux. On aurait dit que mes mains étaient enveloppées de diamant liquide. Cette vision idyllique couplée a l'odeur envoutante du lait fraichement tiré déclencha en moi une pulsion. Sans même avoir le temps de réfléchir à ce que je faisais je porta a ma bouche un de mes doigts enrobés du jus si convoité puis d'un geste hésitant toucha le lait du bout de la langue. Et ça recommença, la transe de plaisir que je connais si bien fut déclenchée immédiatement. Du bout de ma langue le doigt se retrouva en moins de deux au fond de ma bouche qui tentait d'aspirer la moindre goutte de lait restant. D'un doigt ça passa a deux, puis trois, puis la main entière j'enrobais de ma langue chacune des plissure pouvant retenir la moindre goutte. Chaque lampée provoquant en moi des frissons et spasmes qui me faisaient danser sur le lit. Et la l'Osmose. Ma tige coulait, je reproduisais du lait! En mangeant mon lait ma tige en reproduisait. J'étais médusé j'avais trouvé une source de nourriture et de plaisir infini. A ce moment la je me sentais complet. Comme si je venais de compléter un puzzle de milliers de pièces en quelques secondes. J'étais heureux, jeune et j'avais déjà exploré mon plaisir au maximum. J'avais l'impression d'avoir fini l'épopée du plaisir avant de la commencer. Et je me sentais déjà prêt a recommencer.

Gonzo ou l'envol des saveurs.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant