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- Bonjour Miss Quenton tonna la voix de D dans les escaliers

Siloé sursauta

Et se retourna pour regarder le puissant et viril male descendre les escaliers avec une grâce féline

Il sentait l'After shave l'odeur titilla délicatement le nez de la jeune femme

- Bonjour Monsieur D je vous ai fait du café reprit elle en désignant du menton la carafe dans la quelle se trouvait le liquide noir et fumant

- merci répondit il

- Meredith a t'elle téléphonée ? Demanda siloé mine de rien .

D était toujours troublé par la réaction de sa fille lorsqu'il avait téléphoné hier il ne savait pas trop quoi répondre

- Oui répondit il méfiant

- super ! Dit elle joyeusement
il se tut

Ils finirent de manger Siloé voulu le débarrasser de sa tasse . Il l'a stoppa en retenant son bras . Ce simple geste envoya des décharges dans la paume de D il l'a relâcha vivement . Comme si elle l'avait brûlée

- je vais le faire ! Lui dit il

- non je vais le faire reprit - elle avec une lueur de défi

D voyant le ridicule de la situation répliqua

- d'accord je lave vous rincez !

- et le lave vaisselle ? demanda siloé sceptique !

- je ne sais pas l'utilisé avoua D

- moi non plus répliqua elle . Ils allèrent donc faire la vaisselle tous les deux . Bien que celle ci ne soit composée que de deux tasses une petite assiette et une carafe ils y mirent beaucoup d'entrain .

- Votre petit frère ? Demanda D pour mettre fin à contre coeur au silence qu'il aimait tant

Les yeux de la jeune femme s'assombrirent et D regretta d'avoir posé cette question

- depuis votre intervention les médecins le prennent en charge beaucoup plus sérieusement . Et sa santé est stable mais coté guérison ce n'est pas gagné . Elle soupira elle lourdement

-Que diriez vous si a notre retour on organisait une petite rencontre entre Meredith et Votre petit frère . Demanda D

Le visage de siloé s'éclaira laissant place à un sourire qui eu effet dévastateur dans tous le corps de D "elle est tellement innocente et belle " se dit il

- ce serait une bonne idée affirma t'elle avec vivacité .

- heureux que ça vous plaise dit il en reprenant le lavage de la tasse qu'il avait stoppé depuis quelques instants

Prise dans son élan siloé continuait de parler proposant des plans de rencontre de diner , de promenade ou de pic nique . Inconsciemment elle évoqua une probable guérison de son petit frère . D l'écouta du début à la fin sans rien montrer

-vous n'avez pas écouter n'est ce pas ? Demanda t' elle gênée

- si je n'ai rien raté repris D en se retournant totalement pour la regarder des pieds jusqu'à la tête . Il mourrait d'envie d'embrasser ces petites lèvres rouges charnues qui ne cessait de bouger joliment. Quelles goût avait elles se demandait toujours D et son corps était il aussi doux qu'il y paraissait ? . Il essaya de mettre fin à ces réflexions obscènes sans succès

Sous ce regard inspecteur Siloé baissa la tête a la grande déception de D

-vous savez quand je suis trop heureuse je parle je parle et j'en oublie presque la réalité cela dis c'est pareil quand je suis gênée ou stressée je comprend que ça vous ennuie mais ....

Elle ouvrit grand ces yeux pour réaliser ce qui se passait . Son patron l'avait prise par la taille pour coller son corps au sien . Il la regardait avec envie . Le coeur de siloé se mit à battre a 100 a l'heure . D la désirait-il ? Se demanda t'elle . Pourtant elle était sûre de ne pas être son genre

- tu t'agite trop o ángelós mou murmura t'il avant de scéllé leur lèvres en un baiser qui sembla d'abord chaste . Siloé crut que ses jambes allaient la lâcher . Elle tramblait de tout son corps a cause des décharges électriques qu'elle recevait . Sentant qu'il se retenait elle lui rendit son baiser . Le baiser très chaste se transforma alors en une soif avide et insatiable de l'autre . Le goût fruité et la douceur des lèvres de la jeunes femme faisaient perdre a D tout contrôle de son corps . Il voulait qu'elle soit entièrement à elle . Ses mains se baladaient sur la peau douce et lisse de la jeune femme .Le baiser devenait de plus en plus fiévreux . Siloé agrippa fort les cheveux de son patron tandis que la langue de ce dernier jouait avec la sienne la rendant de plus en plus folle . Elle ne put s'empêcher de lâcher quelques gémissement qui semblerent rendre fou l'homme a qui elle s'agripait .
A contre coeur D la lâcha car il sentait sa raison partir en fumée . il regarda quelques instants les lèvres boursouflées de la jeune femme y posa en un éclair les siennes et s'en alla . Siloé toujours dans les vapes s'accrocha a l'immense table en marbre qui trônait dans la cuisine

- Qu'à tu fait se demanda D lorsqu'il fut dans sa chambre .
















Ma RédemptionOù les histoires vivent. Découvrez maintenant