FF FR || Dear sweet love " Do you love me " Tome 1

°°°°°°~ ♥ II ♥~°°°°°°

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J'arrive au café toujours avec des regards d'assassin, faites que cette journée se termine...J'ai envie de tout arrêter et de partir... Je suis aux bords de larmes. Pendant le service mon frère me pousse pour prendre des pailles.

Quelques heures passaient, il ne restait que 2 clients puisque nous allons fermer le café à cause de le règle anti-vampire... Mon père me jette sur le plan de travaille un torchon humide. Je devais nettoyer avant de partir... Ils sont même partis avant moi... J'étais désormais seule dans le café. Puis la cloche retentit de la porte d'entrée.

- Désoler c'est fermer...

- Laissez-moi juste prendre cette boisson, je n'ai pas eu le temps à cause de mon travail...

- D'accord, mais passez peut-être demain pour régler...

- Non, non je vais régler maintenant demain je serais trop débordé.

Je lui fais sa commande à toute vitesse tout en regardant l'heure qui tournait. Mes doigts tapotaient contre la machine à café, j'étais en stresse... à cette heure-là je suis déjà sur le chemin du retour.

Une fois terminer, il repartit en courant... cette fois-ci je ferme le café et marche à toute vitesse sur le chemin. Il faisait presque nuit, soudain j'entends un bruit... j'ose regarde... Tout d'un coup, un chat apparaît furtivement... J'avais eu peur... je pressa le pas et en quelque minutes j'arrive à destination... Montant dans les escaliers, je n'osais pas regarder derrière moi. Puis j'arrive devant la porte et le déverrouille. Une fois à l'intérieur, j'ai eu un poids de moins dans mon cœur. Je me précipite d'aller à la douche.

Une fois dans la douche j'active l'eau, et me lave. Pendant un moment je réfléchissais... j'avais eu l'impression qu'on m'observait toute à l'heure... puis je me suis accroupi en pleurant... Mon père et mon frère sont en froid avec moi, je n'ai pas d'appétit et maintenant je pense à la mort... Si ce monsieur n'a pas été là je n'aurais pas croisé ce foutu chat... Je sors de ma douche et me regarde dans le miroir, j'avais les yeux gonflés et rouge. Je me rendis dans ma chambre et m'affale au lit pour pleurer. Si maman était là elle me réconforterait ... Je me mets sous la couette en boule et éteins ma petite lumière sur la table de chevet.

Pendant la nuit, je sentais une brise de vent... Il faisait froid, j'ouvre les yeux et je vois que ma fenêtre est ouverte en grand... Putain, il fait froid et quelqu'un ouvre... c'est encore un coup de ce putain chien de frère... Je la referme et me recouche.

Le lendemain, j'ouvre difficilement les yeux, avec un mal de crâne, je me souviens qu'hier soir quelqu'un avait ouvert la fenêtre, je descends et interroge les deux.

- Qui a ouvert la fenêtre de ma chambre

- Personne sale conne de sœur.

- J'étais en train de dormir, ça ne va pas être un putain fantôme.

- C'est peut-être ta chatte qui pue.

C'est toujours comme ça, mon père ne dit rien tandis que moi je m'en prend plein à la face.

- Aujourd'hui je ne vais pas travailler

Mon frère répond,

- Et pourquoi, t'es flemmard comme l'autre con dis donc.

- Tu parles à qui là.

- De ton putain frère Jeon J.U.N.G. K.O.O. K

- Ne parle pas de lui comme ça connard

- Oh désolé j'avais oublié que tu aimais tant ton frère.

- Mais TU VAS FERMER TA GUEULE FILS DE...

Mon père me gifla

- Répète encore ça je vais te faire découvrir qui est la pute ici.

Mon frère me fait un doigt et ils partent en claquant la porte. De purs cons c'est deux-là. Soudain, sur un coup vif je prends mes affaires et les mettent dans la valise. Je prends ce qui est nécessaire et va en direction d'un hôtel. Soudain, quelqu'un me klaxonne. Je me retourne et j'aperçois Jimin.

- Où tu vas avec ta valise tu ne travailles pas ?

- Et toi tu ne travailles pas ?

Il secoue sa tête et m'approche de sa voiture.

- Ecoutes... je vais dans un hôtel pendant quelques jours j'en ai marre...

- Un hôtel, mais tu as des sous ? C'est cher tu sais... Monte je vais te conduire chez moi...

- Oui, mais...

- Pas de mais... grimpe petit cœur.

Il m'a bien appelé petit cœur, je rougis et mets ma valise derrière et monte... Il est vraiment gentil, il m'adressa un sourire et ce reconcentre sur le chemin.

- Qu'est-ce qui t'arrives dis-moi...

- Et bien hier soir je dormais mais ma fenêtre était grande ouverte...

- Tu ne l'as pas ouverte ?

- Non justement et là j'ai juste demandé si quelqu'un l'avait ouvert, mais on m'a agressé et parler mal de Jungkook.

- Je vois que Jungkook n'est pas le bienvenu chez ton père et ton frère...

- Non, depuis que sa mère et mon père ne sont plus ensemble...

- Ils se sont mariés ?

- Oui, mais elle l'a trompé...

- Aïe... coup dur pour ce Jungkook... en parlant de lui

- Tu lui as dit ?

- Oui, il te reconnait, disons que tu tombes à pic ma belle...

- P...pourquoi ?

- Monsieur Jeon Jungkook viens est à la maison il passe quelque nuit chez moi, si tu veux vraiment le voir, tu es invitée ouvertement chez moi.

- Vraiment ? Je peux dormir chez toi ? Nan attend on se connait à peine hier et tu oses faire rentrer une fille comme ça...

- Ça ne coute rien d'inviter la demi-sœur d'un bon ami du travail

- Je...

- Désolé, je suis dragueur mais ne t'inquiète pas je ne vais pas te manger, c'est ma nature de taquiner les gens... surtout pour de jolies filles

Je tape l'épaule de Jimin et rions, Jimin est très amicale et très drôle. Une fois arrivé à destination, il prend ma valise et me fait signe avec sa tête de le suivre... Il empoigné vers le bas la porte et l'ouvre. J'étais en quelque sorte impatiente de le voir. Nous passons par la cuisine ouverte et c'est là je vis quelqu'un de dos...

- J...Jungkook...

Il arrêta ce qui est en train de faire et se retourna. Mes yeux s'écarquillèrent de joie. Il me sourit, son sourire m'avait tant manqué.

- Bas alors, la princesse ne vient pas me faire un câlin d'amour ?

Il a même retenu le surnom qu'il me donnait, je cours vers lui il me porta en m'enlaçant. Tout à coup je me suis mise en pleurer tout en serrant très fort Jungkook. Alors que lui me tapotait mon dos. Sa chaleur, son parfum, sa voix tout m'avait manqué. J'avais enfin retrouvé mon demi-frère que j'aimais tellement. Il ne manqua pas d'essuyer mes larmes sur les joues.

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