La Polygamie et ses réalités dans la société sénégalaise :

Chapitre 10

P.v.d de lahad thiam :

Lahad !!!

Lahad !!

Lahad !!

Fit les cries qui me parviennent à l'oreille dès l'aube et c'était la voix d'amina je me lève en sursaut du lit de coumba d'où j'étais de tours et ouvre la porte dans un fracas en moins d'une minute j'arrive dans la chambre d'amina qui était à terre en rampant cela fait un mois qu'elle est malade je l'ai trimballé d'hôpital en hôpital mais il ne trouve aucune maladie personne ne sait ce qu'elle a elle était partie chez sa mère et comme par magie son état c'était amélioré mais ya une semaine depuis son retour son état c'est aggravé bref je la trouve rampante par terre , court à son chevet et lui demande ce qui lui arrivait

- qu'est-ce qu'il y'a ? Pourquoi tu es a terre ma chérie. Et avec les larmes a flots elle me répondît la mine perdu un

- mes jambes ne répondent plus, j'arrive plus à marcher lahad, lahad dimbali ma ( aide moi ) , lahad je vais mourrir je le sent ....

J'étais perdu je ne savais quoi faire j'avais l'impression que le monde s'effondrait comment peut-elle du jour au lendemain aller si mal je la porte parce que visiblement elle ne pouvait pas marché le met sur le lit, lui donne des somnifères , je sais pas moi peut-être une fois réveillé elle ira mieux je tente de la rassurer jusqu'à ce qu'elle s'endorment j'ai pris un bain vite fait, passer un appel au bureau pour leurs dire que je ne viendrai pas j'allais pour prendre ma tapis de prière vu qu'il était dans les 6heures et après ma prière je voulais appeler la famille d' Amina pour les anoncés la rechute d'amina , j'avais même pas les idées clair amina elle est tous pour moi si elle meurt wallay je me suicide je me met au salon et passe je ne sais combien d'heures sur la tapis à implorer le seigneur mais en tout cas quand je me suis retournée le soleil commencer déjà à apparaître je plie la tapis et tente de rejoindre la chambre d'Amina quand j'entends des pleurs émanant de la chambre de Coumba qui est à son 7em mois mais je ne sais pas ce qui lui arrive mais depuis peu on dirait qu'elle n'a pas toute sa tête elle pleure pour un rien des fois elle regarde amina se lève et court se réfugier dans sa chambre , je croyais que c'était la grossesse mais bon je la comprends même pas en tout cas je suis perdu moi j'entre dans sa chambre et la trouve en sanglots

- hey coumba qu'est-ce qui t'arrives?

- rien . Me dit-elle en effaçant ses larmes énervé je lui crie dessus en lui disant

- ne te fou pas de moi tu pleures tout le temps et la tu me sors un rien coumba je ne suis pas ton bouffon alors parle moi et que sa saute

- beugué woumakowonne nii ( je ne le voulais pas comme sa) je n'en peux plus de la voir ainsi je souffre de la situation que traverse amina . Dit elle en pleurant de plus bel

- c'est bon arrête de pleurer, amina elle est forte , elle s'en sortira inchallah t'en fais pas c'est pas bon ce que tu fais tu risque de faire mal au bébé arrête de pleuré d'accord . Dis-je en lui caressant le dos elle hoche la tête et je lui dit que je vais voir amina j'entre dans la chambre la trouve endormie je me met à côté d'elle et me mit à l'observer , elle n'était plus que l'ombre d'elle même , son teint claire est devenu pâle, elle a maigri de ouff , j'étais loin dans mes pensées quand d'un coup la sonnerie de la porte retentit il était 8h du matin et je me demandais qui sa pourrait être à cet heure, j'ouvre la porte et voit toute la famille d' Amina devant moi sauf leurs pères ses deux frères allasane et djibi tenait leur mère qui était en sanglots et me demandais où était sa fille voilà pourquoi j'hésitais à les appelais mais comme je me l'imagine elle a sûrement dû le sentir une mère ressent tout danger qui guette ses enfants

Moi : yaye je t'en prie dalal kay tokk ( maman je t'en supplie calme toi et viens t'asseoir

- lahad qu'est-ce qui arrive à amina j'ai dit et ou est-elle?