Crépuscule chatoyante.

« Gratitude honoré. »

{ Cette nouvelle est le fruit de ma pure imagination. Aucunement basée sur une œuvre littéraire, de tout type. Toutes ressemblances a une personne existante est purement fortuite. Bonne lecture. }

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Un jour comme un autre, un temps illuminant une ville endormie. Quelques nuages adoucissant la lumière agressive des rayons du Soleil, venant réveillé avec une certaine douceur, les ruelles vides de cette ville. Quelques volets venaient à s'ouvrir dans un claquement léger. Les maisons éclairée par cette agréable lumière naturelle, était ainsi fièrement dressée.

Quelques habitants sortaient de leurs charmantes bâtisses afin de faire leurs courses ou marches habituelles. C'est dans un bain de soleil que cette ville, dont le calme et la tranquilité prospéré, qu'elle se réveilla. Il y avait quelques adolescents et jeunes adultes venant troubler la paix de certains, ou bien tout le contraire, venant apportée douceur et affection pour d'autres. Entre les habitants de cette charmante campagne, la bienveillance et l'entraide était quotidien. C'étaient même des milliers important de leurs communautés.
Pour toutes autres agglomerations, où le commerce et l'argent étaient primordiales, les notions de bienveillance et solidarité avaient disparu, noyé par l'avarice et l'égoïsme.

Mais pas dans cette ville, éloignée de l'industrialisation, cachée dans une campagne apaisante et calme. L'environnement entourant cette charmante petite ville, n'était que forêt, végétation et de longs champs dans lesquels les agriculteurs travaillaient ardemment chaques jours. Le partage, et la gentillesse étaient également des notions et des pilliers maintenant cette ville, et ses habitants fort charmant, dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Ce n'était pas rare, ici, de voir quelques biches ou des lièvres s'approchaient de la ville. Ou de s'y balader lorsque les ruelles s'avèrent vide. Les animaux habitants les forêts étaient rarement tuées « pour le plaisir de tuée », mais uniquement pour pouvoir se nourrir.

En sommes, cette ville abritait des trésors inestimables, existant encore dans cette société industrialisé et corrompu par l'économie. L'argent qui avait le pouvoir de faire le bonheur de certains, et le malheur d'autres. Une dépendance dont beaucoup de citadins arrivaient peu à s'en détacher, je ne dis point que cela est rare, seulement qu'une maigre partie arrivait à se détacher de cette dépendance excessive.

« - Bien le bonjour, Miss Hock, comment allez-vous aujourd'hui ? Salua une femme âgée, à l'intention d'une femme à la carrure frêle, et aux longs cheveux ébène, tenant avec douceur, un nourrisson dans ses bras. »

Le visage de Miss Hock, exprimait beaucoup de fatigue, néanmoins cette fatigue n'empêchait nullement cette jeune mère de se promener en ville accompagné de son bébé.

« - Bonjour, Grand Ma, ça va bien aujourd'hui. Un peu fatigué, je vous avouerai. Et vous donc alors ? Répondit Miss Hock avec sympathie et énormément de douceur dans sa voix, à l'égard de la vieille dame. »

Grand Ma était le surnom qu'à peu près une grande partie des habitants lui avait donnée. Non seulement dû à son grand âge, mais également aux savoirs que cette femme, à l'allure frêle et âgée, avait enseignée a beaucoup. Grand Ma avait vécu énormément de choses, tellement qu'elle adorait participer aux cours d'histoires, dans les écoles, abordant les guerres. Grand Ma était une des témoins direct de ces horreurs. Mais malgré tout, elle gardait son sourire en toute circonstance, elle n'avait aucunement fait table rase de ses traumatismes, seulement elle en avait fait quelque chose d'utile pour la communauté et les descendances a venir. C'est-à-dire un témoignage, et également une autobiographie parlant des actes commis, les plus affreux qu'ils soient.