The Coronation... [Dabi x Fem!Oc]

Chapitre 2 : Da-venir...

Titre alternatif : "Entretien d'embauche..."

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Shenzi, dehors.
Humeur : ...WHAT DID SHE SAYYYYYYYYYYYY ?
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J'écarquille les yeux en entendant le nom du brun calciné qui m'a tant cassé les couilles il fut un temps.

De tout le monde qui existe sur cette planète, c'est DABI qui doit venir la voir ? Ce cadavre vivant, puant, con, particulièrement cruel et étrangement attirant ? Vraiment ? C'est là dedans qu'elle investit actuellement ?

Alex fronce les sourcils en voyant ma tête ahurie.

— Tu le connais Shenzi ?

— Disons qu'on...a collaboré dans le passé. T'en fais pas ! Rien de grave ! Mais...c'est clairement pas mon meilleur pote quoi.

— Je vois... Bah t'es pas obligée de rester avec moi. Tu peux aller retrouver la Doña pendant que je me pose.

— Nan nan ! Je me doute que tu dois avoir l'habitude mais hors de question de te laisser seule ici. Surtout que Dabi est une menace.

— Menace pour qui ?

— L'univers chérie. Ce boug est ingérable. Un feu de forêt le couillon ! Il pourrait te faire un câlin doux et délicat pour mieux te brûler dans le dos, avec son alter là...

Je souffle sur mes mains et les frotte, le froid de la nuit commençant à m'atteindre. Alex me tire contre elle, sûrement pour partager la chaleur. Nous nous mettons à sourire, nous complaisant dans un silence ma foi plutôt agréable. Je ferme les yeux et essaye de réaliser le fait qu'un garde de prison m'ait fait sortir de Tartarus avec Hawks.

Je suis libre... À la rue, mais libre comme l'air...

Alex se lève d'un coup, me faisant me lever aussi par réflexe.

— Ah Dabi ! Bonsoir ! Salue-t-elle.

— Benedetto, répond-il sèchement en sortant un paquet de sa main.

Je fixe Dabi sans rien dire. Alex récupère la boite et l'ouvre. Elle sourit en voyant une broche et un petit papier.

— Merci beaucoup Dabi...

— Me remercie pas. Je ne fais que payer une simple dette. Par contre, tu diras à ta pote d'arrêter de me tuer du regard, c'est gênant.

— Ton existence me gêne pourtant je ne dis rien, Crématorium, grogné-je sans me retenir.

— Elle a dit quoi l'incarcérée en cavale ?

Je hausse un sourcil, comprenant pas vraiment comment il est déjà au courant de ma fuite. Je sors de l'ombre et me rapproche de lui en me craquant les doigts.

— L'incarcérée en cavale a dit que ta simple existence lui cassait les couilles à un point que ta cervelle ne peut pas imaginer. Alors bouge d'ici.

— Parle pas comme si tu pouvais me faire un quelconque coup de pression. Je peux littéralement brûler ton cul et tes rêves.

— Mais fais le ! Je pourrai me cosplayer en fils de pute professionnel. Sans offense, Alex.

La jeune femme souffle du nez et secoue la tête. Dabi ricane et croise les bras.

— Te cosplay en fils de pute pro ? Mais que c'est drôle venant de celle qui s'est assise sur les genoux d'un vieux et lui a murmuré à l'oreille pour lui mettre un coup de pression plus claqué que mes couilles sur ton front.