née d'un viol

chapitre 5

Il rentra accompagnée d'une vulgaire fille habillée d'une courte robe noire qui laissait voir ses petits cuisse elle avait des tatouages au bras et sur le coup
Je fut ettoné et en mm temps jalouse comment est ce possible qu'il ramène cette peste dans cette maison en plus devant moi

Amady:Bonsoir

La fille:bonsoir comment vous allez?

Personne ne répondit je fesais semblant de ne pas les voir en regardant la télé pendants se temps mon coeur battait à la chamade maii c pas vraie amady ne peut pas me faire sa on venait juste de se mettre en couple et pourtant je le fesais confiance j'étais enervé et en même temps triste je me suis sentie bête de me laissé emporter par mes sentiments

Amady:on n'y vas dans ma chambre

La fille passa devant nous avec ses long talons on dirait un arbre tellement j'avais la haine que mes larmes coulait et aïssatou me pris dans ces bras

Aïssatou:calme toi c'est rien oublie stp

Moi:moi qui croyait enfin avoir une vie meilleure

Aïssatou:peut être c op se que u pense

Moi:aïssatou tu as trés bien vu cette fille vulgaire et depuis se matin amady me parlait pas et pour me faire encore plus de mal il améne une fille devant moi pourquoi je l'ai aimé?

Aïssatou:maintenant allons voir sii c 'est vraiment sa copine

Ont se leva en marchant sur la pointe des pieds arrivée devant sa chambre je colla mon oreille sur la porte et aïssatou fait de même nous entendames des gemissements "bb fait doucement stp" "tu est vraiment une déesse" "je t'aime plus que ma vie" sa pouvait pas être possible et tout se passait devant moi mes larmes coulaient à merveille aïssatou prit mon téléphone et composa le numéro de amady et on l'entendaient sonné "c'est cette folle qui m'appelle" et la fille riait
Il venait vraiment de me les mettre c'est qui la folle moi mdr il se fou de ma gueule criant à haute voie pour qu'ils entendent

Moi:ET BIEN DISONS QUE TU AS DEPENSE UNE SOMME IMPORTANTE POUR JUSTE AVOIR CETTE FOLLE QUI SE RESPECTE DANS TON LIT

Et je me dirigea vers ma chambre en pleurant aïssatou me suivait

Aïssatou:oublie se fou c'est un vaut rien il pense qu'à son plaisir

J'avais le sentiment d'être trahis je décida de me changer pour me couchée et aïssatou retourna dans sa chambre je mit la musique de dip "guddi" en pleurant je chantais doucement jusqu'à m'endormir.
Tôt le matin je m'etais déjà réveillé avec un mâle de crâne insuportable je regardais mon téléphone et il étais 08h16 je pris une bonne douche je mettais habillé d'une petite robe moulante qui laisser voir mes formes puis me dirigea vers la cuisine pour prendre mon déjeuné j'y avais trouvé Amady et la bonne. Je sentais son regard sur moi mai je fis comme si de rien n'étais.

Moi:assalamualeykoum bonjour ndeye(la bonne)

Ndeye:bonjour Anta

Amady:aleykoum salam

Qui t'a salué même?je voulais même pas voir sa tête de menteur sans vergogne
Je mit un son de sidy Diop yeunguel et chanter à haute voie. Je commençais à danser discrètement en bougeant mes reins

Ndeye:apprend moi a dansé

Moi:mdr

Je savais qu'il me regardais maii je ferait semblant de rien voir

Moi:merci ndeye c trop bon

Mon téléphone sonne et je vis amady me regardais.je décrocha c'etais ma tante

Ma tante:bonjour Anta

Avec une voie triste. Je fut ettoné pourquoi elle parlait comme ça

Moi:oui bonjour tati comment tu vas

Ma tante:Pas bien du tout ta grand Mére vient de rendre l'âme

J'avais l'impression que le monde s'écroulait devans moi je laisse mon téléphone tombé. Je me sentais téllement mal celle que j'aimais ma plus que vie ma grand Mére celle qui a toujours pris ma défence mes larmes coulaient je me laissais tombé par terre amady se précipita de prendre le téléphone tandis que la bonne essayais de me relever

Amady:d'accord on vient tout de suite Anta prépare toi ndeye dit la nouvelle à aïssatou

Malgrés tout je m'étais levé à bout de force pour aller m'habiller dans ma chambre. J'entendais Aïssatou qui venait d'apprendre la nouvelle pleurée en disant "où est Anta elle vas bien". Tout le monde savais comment j'étais avec ma grand Mére et c'etais à cause de ma méchante Mére que j'ai pas pu la voir une dernière fois. J'avais une colére noire contre elle. Je la détestais je la haïssais.
Amady entra dans ma chambre

Amady: Tu as fini

S'il croit que c'est l'occasion pour qu'il me parle il se trompe je voulais même pas le voir et si j'avais d'autres moyens j'entrerais pas dans sa voiture. Je le calcula même pas

Amady:je te parle non

Moi:....

Il part et je l'entendais parlé à aïssatou je sortis une longue robe en wax et le porta et je mit une voile sur ma tête. Sortit de ma chambre je vit aïssatou et on s'empressa de se prendre dans nos bras

Moi:wouy aïssatou niak na sma Mame(wouy aïssatou j'ai perdu ma grand Mére)

Aïssatou:calme toi Anta croie en dieux et prie pour elle

Je pouvais à peine marcher j'avais l'impression que j'étais dans un rêve ma grand mère qui m'a toujours soutenue vient de partir. Aïssatou me tenais sur la main et on se mit en route. Il y avait un silence de mort sur la voiture je pensais à mon enfance les bons moments passés avec ma grand Mére cette femme forte gentille,aimable je m'en voulais de ne pas pu l'a dit au revoir je pleurais à chaude larme et aïssatou me calmais.
2h plus tard on n'étais arrivé à peine qu'il a garé nous vîmes une immense foule mes tantes qui pleuraient d'autres qui étaient à terre et fesait n'importe qu'elle grimace en criant "woy Yaye Demna waxomawone lii(woy ma Mére est partit u m'avais pas dit sa)"
En voyant ça je pouvais pas m'empêcher de pleuré. Ma tante se dirigea vers nous et me pris dans ses bras

Ma tante:calme toi stp

Comment me calmais alors que venais de perdre ma lumière.

Ma tante:venait on vas à la morgue pour la voir

Je tenais la main de aïssatou et on marchais lentement je pouvais pas m'enpeché de pleuré. Je vit ma Mére qui nous regardait j'avais tellement la haine que je l'ai pas salué et elle me regardais de travers je m'en fouttais royalement.
Arrivé nous entrames dans la piéce et je vis une sorte de caisse.Ma grand Mére était dedans couvert d'un drap blanc que ma tante enleva jusqu'à son coup pour que nous voyons son visage. Elle étais tellement belle et la peau plus claire j'avais l'impression qu'elle souriait. On dirait juste qu'elle dormait mille image de nous passer dans ma tête en moins d'une minute. Je la caressais en fesant des douas puis nous sortîmes j'avais l'impression qu'elle n'étais pas morte.
Nous prenons place sous la bâche . Mes larmes coulaient de plus belle en voyant les gens pleuré. Les siguil nigualé s'enchainaient accompagnée de l'argent certains donné des pièces d'autres des billets oubien des enveloppe. L'heure de la prière étais prévu à 5h . Les hommes étaient tous à la mosquée et ammena ma grand Mére dans sa dernière demeure .
À leurs retour les femmes pleuraient de plus belle mon coeur se serra et mes larmes coulérent c'etais vraiment fini elle n'était plus de ce monde elle m'avais aimé inconditionnellement j'étais sa perle même quand elle me regardais on voyais de l'amour pure dans ses yeux . J'étais tellement triste.
Vers 19h nous rentrâmes j'étais tellement fatiguée que je m'étais endormie à mon arrivée.

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