Casi Despiadado

18: Ruben

ELLE

On a continuer à parler avec Alessandro. Et comment dire que je n'écoutais presque pas ce qu'il me disait... j'étais tellement absorber par sa beauté que... je sais pas comment vous voulez écouter quelqu'un quand il est beaucoup trop beau... c'est pratiquement impossible.

Je suis dans mon lit à tourner en rond en repensant à ce moment plus que bien. Je n'arrive pas à m'endormir.. je pense à Caylan... à Bella... comment je l'ai laissée.. mais en même temps c'est de ma faute si on n'en n'est là non ?
Il me faut des réponses mais comment les obtenir quand vous ne savez pas où le trouver. Que même après l'avoir chercher pendant plus de 4 ans vous n'avez rien trouver. Bah vous perdez tous simplement espoirs... vous perdez espoirs car vous vous dites que jamais vous pourrez le vanger... je pourrais jamais te vanger Caylan... j'en suis tellement désolé... je te jure que je ferais tous pour ta sœur...

Il est 4h30 et je n'est toujours pas fermé l'œil alors je décide de mettre un legging et une brassière de sport Nike. Et oui je vais aller faire un jogging à cette heure mais je vais descendre dans les favélas et je dois aller valider ma nouvelle commende d'arme, dans les jours à venir il va y avoir du mouvement. Et pas un peu...

Je prend un gilet gris et je prend mon arme fétiche avec moi comme d'habitude. Et je pars de la maison. Je commence à courir direction les favélas.

Une fois arriver au favélas je ralentis, je salue quelques connaissance, j'étais avec certaines personnes a l'école ou encore à l'orphelinat. On ne peut pas dire que j'étais proche de ces personnes. La moitié de ces personnes on bien tournée, les autres on fini dans les favélas... mais bon on n'y peut rien quand on n'y rentre le seule moyen d'y sortir c'est de mourir...

Je rejoint le territoire de Joâo pour valider ma commende, je leurs rapporterait l'argent que quand j'aurai mes armes sous les yeux, je veux pas tuer. Donc je vais faire les choses dans l'ordre.

J'arrive devant sa casa. Je m'avance et fais un signe de tête au deux gars poster devant.

- ¿Joâo está aquí?

- si, el está en la casa...hace tiempo...
(il est dans la maison... sa fait longtemps)

- si, habrá movimiento en los próximos días.
( il va y avoir du mouvement dans les jours à venir)

Il hoche la tête et je vais direction l'entrée de la maison. Quand j'entre la maison je sens directement l'odeur de la cocaïne, de l'alcool en même temps ces un repère de chef de cartel sa va pas sentir la rose. Quand j'entre dans le salon qui est assez grand pour ces quartiers, il doit y avoir 5 filles qui sont... comment dire...assez dénudée.

- ¿ Shelby como estas ?

- bien y tù ?

- bien... tu doit venir pour valider la commende ? Me dit-il avec son accent espagnol

- si je te passerais l'argent quand j'aurai les armes c'est bon ?

- si bon vient voir par là que je te montre le matosse... c'est vraiment de la bonne qualité... c'est mes contacts de la Russie ils m'ont dégoté des gadjets de haut prix ils sont magnifique.

Il me montre un DAN 338 de Russie, j'en crois pas mes yeux ils sont normalement pas censé sortir de la Russie. Je sais pas comment il a réussi à les faire sortir de la Russie mais là c'est juste exceptionnel.
Après plusieurs minutes à me présenté différente armes j'ai validé ma commende et il va m'en commencer comme sa il les reçois dans la semaine au plus vite. Je suis repartie en courant, je descend la favélas quand j'entends des cris et des bruits de coups à la limite de la favélas. Je vais vers cette direction et ce que je vois me sers le cœur. Je sors mon arme fétiche et tir sur la personne qui étais entrain de battre ce bébé de a peine quelques années. Il doit avoir 3 ans