𝐴𝑅𝑇𝐼𝑁𝐸𝑆𝑆 ● J.K [ En Pause ]

𝑪𝒉𝒂𝒑𝒕𝒆𝒓 2 💭

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Moi : c'est quoi cette histoire de quoi tu parle ?

Commence ai-je les larmes au yeux.

Papa : on est presque arrivé cesse t'es gamineries et ferme la !

On continue le peut de route qu'il nous restée fourré dans mon siège mais mains qui tremblait un peu qu'est ce qui aller bien m'attendre ? Et bordel je sais que ce ne sera pas aussi rose. Soudain la voiture s'arrêta devant notre maison.

Papa : Allez decends "me fit-il d'un ton froid"

Est ce que je peux au moins ? J'ai peur ...

Moi : C'est grave n'est ce pas ? Osai-je demandé de ma voix tremblante 

Il me toisat avec son regarde toujours aussi mauvais et me fit signe de rentré je compris et je me précipite avant de me faire frapper.

Une fois dans la maison je croise ma mère directement juste à ma gauche assise sur le canapé en velours beige tenant un verre de vain dans la main habillé comme une aristocrate si je puis dire mais à force j'ai pris l'habitude.

Maman : alors comme ça t'es venue foutre en l'air nos plans ? En souriant mauvaisement

Moi : je- je n'ai rien

Mon père entra.

Papa : J'ai déjà assez de chose à régler en ce moment il fallait qu'elle soit la " dit-il d'un ton colérique"

Mais pensé était chambouler mais qu'est ce que j'ai fait à part aller en cours ? Pourquoi tant de reproche ?
Je reste la planté devant l'entrée la porte derrière moi. Mon père s'installa au côté de ma mère qui lui aussi prenez un verre en main.

Je ne suis vraiment rien à leurs yeux

Puis j'attendais là comme un pauvre cinglé et je pris mon courage à deux mains et leurs pose enfin la question.

Moi : que ce passe t'il bon sang ?

Je m'approche doucement d'eux tout en gardant une distance raisonnable. Ils me regarde en souriant. Ils sont si-si horrible. Soudain mon père se leva doucement et me fit face droit dans les yeux.

Je ne m'attendais pas à ceux qu'il allait me dire.

Papa : On fait partie des plus grands réseaux de la mafia Coréenne depuis des années ma-

Je le coupe un instant dîtes moi que c'est un cauchemar par pitié.
Je n'ai même pas eu le temps d'assimiler ce qu'il venait de dire qu'il continue comme si rien le moin du monde ne le choquait.

Papa : tu a très bien compris je n'est pas besoin de le répéter ! Avec son air toujours aussi diabolique !

Soudain ma mère prend la parole.