Chapitre - 3 (parti 1) - Nyra

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Quand je reviens dans ma chambre, j'enlève la cape et remet ma robe, à mon plus grand désespoir. Je regarde l'horloge au-dessus de la porte et mon sang se fige tout à coup : 12 : 25, cela fait vingt-cinq minutes que le déjeuner a commencé. A cause d'avoir trop trainé avec l'aubergiste, les gens du marché noir et avoir donné au plus pauvre de quoi se nourrir, j'en avais oublié l'heure et le repas. Fursty comprend mon angoisse et commence à courir, je le suis, à toute vitesse, affolé. Quand nous arrivons dans la salle à manger, mon père et ma mère me regarde d'un œil sévère.

- Tu as vingt-cinq minutes de retard, ma fille, me dit mon père en regardant sa montre.

- La ponctualité, Nyra, la ponctualité !

- Pardon mère, pardon père, dis-je en baissant les yeux.

- Ma fille, quand tu seras conseillère, la reine n'admettra pas les retards.

- Oui père.

- Nous t'avons élevé pour que tu réussisses, pas pour que tu échoue.

- Oui mère.

- La conversation que tu as eu avec ta mère ne ta pas suffi ? me demande mon père sévèrement en me regardant durement

- Si père

- Alors pourquoi ne le prend tu pas en considération ? Ta mère et moi t'avons offert une bonne éducation pour que tu deviennes conseillère et que tu nous rapporte assez d'argent pas pour être en retard, trainer avec ton loup airant ou voler les quelques objets de la maison pour les donner au pauvres, en voyant mon visage stupéfait ma mère poursuit

- Crois-tu que nous n'ayons rien vu ton père et moi ? Les objets disparaissait un par un, nous avons d'abord pensés aux domestiques et nous les avons fait longuement surveiller mais quelle a était notre surprise quand les espions nous ont rapporté que c'était notre propre fille qui les volait

- Nous avons voulu savoir où tu mettais ces objet volé, on aurait pu penser que tu les vendais pour commencer à te faire de l'argent et nous en aurions pleuré de bonheur, continua mon père et ma mère hocha vivement la tête, mais quelle a été notre déception et surtout notre rage de constater que tu les donnais à ces pauvres...

- Ces pauvres qui empiète sur nos terre, que nous sommes obligé de loger et qui ne font que le moitié du travaille demandé ! Explosa ma mère,

De mon père et ma mère, ma mère était la plus sévère, la plus stricte, la plus coléreuse et celle qui dépenser le plus d'argent pour rien. Mon père, était lui aussi stricte et sévère mais moins que ma mère.

J'avais envie de leur dire que ce n'était pas juste que de pauvre gens vivent dans la pauvreté et soit obligé de voler, mendier et enfreindre les lois pour gagner un peu plus que ce que leur rapporter leur pauvre métiers. J'avais envie de leur crié qu'ils se plaignaient de ne pas avoir assez de pétales de rose pour leur bain alors que de pauvre gens mourrait de maladies parce qu'il ne pouvait pas se payer le traitement nécessaire. J'avais envie de les secouer, tous les deux, pour leurs dire qu'il vivait comme des rois et qu'ils se plaignaient des pauvres alors qu'ils faisait le plus possible et qu'il n'était payé que le quart de ce qu'ils faisaient... Mais naturellement je ne pouvais pas dire ça à voix haute. Seulement le pensé. Je lève les yeux vers mon père et ma mère.

- Assied-toi, me dit mon père

- Comme tu le sais, reprend ma mère après que je me sois assise, demain nous organisons un bal, sais-tu pourquoi ? 

Je ne mettais jamais posé la question car mes parents organisaient souvent des bals pour n'importe quoi, une fois ça a été en ''honneur'' au fait que j'ai réussi à apprendre tout mon arbre généalogique demandé par mon professeur.

La quête d'Ivvi et NyraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant