que tu le veuille ou non

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Hein qu'est ce qu'il a dit, non il est sérieux là ? Apparemment oui vu comment il me regarde fière de sa surprise même si pour moi sans était pas vraiment une. 

Mais bordel pourquoi moi merde...oui je sais je lui plaît, sa j'ai pigé le truc. Mais sa lui arrive de demander non si c'était à sans unique son coup de coeur, crétin de bikers.


Se con à presque je dis bien presque réussi, mais ma volonté heureusement pour moi à tenue bon.

Mais pour combien de temps,je ne sais pas . C'est qu'il est coriace, ce con avec de sacré arguments en plus et pas des moindre malgré son égo aussi grand et gros qu'un canyons. Mais il va falloir qu'il cravache un peu plus, si il veux obtenir quelque chose de ma personne. J'ai déjà subis un con, ah non pas deux. Las de mes réflexions, je zieute vite fait et voie ce con se pavaner fièrement. Il croit m'avoir mis au pieds du murs alors il bombe le torse comme un coq, si il savait.


[  Avoue que ta aimé son côté bestiale ]


《 Pfff n'importe quoi ! 》


[ Alors pourquoi ta culotte a prit chère ? ]


《 Ta de la chance d'être ma conscience, si non tu serais plus là ! À l'heure qu'il est ! 》


[ Hannn la vilaine ]


《 La ferme !! 》


-   Eh ma beauté, le ciel commence à se couvrir alors on va rentrer et puis j'ai bien envie d'une douche dit-il malicieux


Toi si tu savais, ce qui te pend au nez; tu jouerait moins les fier. J'acquiesce sans un mot et me retourne pour réajuster la selle puis grimpe dessus pendant que lui rejoint sa moto. Il met le contact immédiatement de peur que je m'enfuis sans lui, il me rejoins. Le cheval légèrement nerveux trépigne sur place mais consent quand même à avancer au pas et bientôt au petit trot jusqu'à l'hôtel. Je me dirige vers les écuries où je rend le cheval à un palefrenier et ensuite je me dirige vers l'entrée avec Jex coller à mon cul sur sa harley. Je vais jusqu'à l'accueil pour récupérer ma clé et fonce jusqu'à l'ascenseur, pendant que lui est au parking pour garé sa moto.


Une fois à l'intérieur de la chambre, je ferme la porte à clé et rigole toute seule comme une dinde sachant qu'il ne va pas tarder à se pointer.

Mais voulant le faire chier jusqu'au bout, je me dirige vers la salle de bain et prends le temps de me déshabiller puis ouvre l'eau à l'aide du robinet. J'attends quelques minutes qu'elle soit chaude et me glisse sous l'eau.


Je soupire de bien-être en s'entend l'eau couler sur tout mon corps, j'attrape le gel douche mais je stop mon geste. Quand on frappe comme un bourrin sur la porte et qu'on s'acharne sur la poignée pendant 5 bonne minute puis soudain le silence. Je souffle de soulagement en n'y repensant plus, enfin presque.

Ce qui me chiffonne, c'est qu'il a pas hurlé mon nom ou ne sait pas énervé.

Mais pour éviter d'y penser trop et gâché ma douche, je refoule le tout au fond de ma caboche. Je verse le savon sur ma main et ferme les yeux, quand j'approche ma main pour sentir sa bonne odeur en commençant à me frotter doucement tout le corps. En décidant de prendre tout mon temps et que le reste importait peu.

renaissance ( Corriger )Où les histoires vivent. Découvrez maintenant