Couples inédits dans GDCP

Sotam

Pdv Sophie :

On s'était installé sous le panacier de Calla, et Tam me regardait avec d'incroyables yeux bleus. On était si proches...
Bref. Tam n'a pas l'air d'être très amoureux, lui. Pour vu que se soit juste une impression...

-Alors ? Qu'es ce que tu veux faire ? je demande en lissant ma robe bleue.
-J'ai l'impression que Linh me prend pour un pion qu'elle peut déplacer un peu quand elle veut, où elle veut.
-Oh, je suis désolée ! Je ne savais pas que Linh te fesait cette impression la ! Il ne faut pas hésiter à en parler !
-Je ne voulais pas que tu m'entends me plaindre fit Tam en triturant sa frange.

Mais je pourrais t'entendre te plaindre toute la journée ! Je resterai la, a te regarder, pendant que tu parlerais. Aucun problème ! Quand tu veux ! Bien sûr, je ne dis pas ça. Il me prendrait pour une folle.

-Pourquoi ce regard ? me demanda Tam.
-C'est a dire ? je fais en haussant un sourcil.
-On aurait dit que ce regard n'était pas que.. (Il se racla la gorge.) Pas que amical.

Je m'empoudre. Qu'es ce que je vais lui dire ? Surtout que mes joues étaient en feu.

-Sophie, tu cherches à se que nous soyons plus que des amis ?

On était très proches. Beaucoup trop pour de simples amis. Surtout que Tam venait de poser ses lèvres sur les miennes.

Pdv Tam :

Sophie... Ses lèvres... Toute personne l'eyant embrasser a eu beaucoup, mais beaucoup de chance de goûter à ses lèvres. Elle me fit oublier tout. Linh, mes parents... Il n'y avait qu'elle et moi. Elle posa ses mains sur mes joues tandis que mes mains l'entrelacèrent. Je coupa finalement le contact. Il ne faut pas abuser des bonnes choses. Je vis ses magnifiques yeux plonger dans les miens. Elle avait de si magnifiques yeux marrons avec d'incroyables reflets dorées.

-Je ne te savais pas si romantique fit Sophie. A embrasser quelqu'un la première fois.
-Je ne le suis pas je dis en triturant ma frange. Enfin, d'habitude.
-Parce que ce n'est pas comme d'habitude ?
-Non. Tu es quelqu'un de spéciale, Sophie.
-Tu trouves ? demanda t elle, les joues en feu.
-Oui. C'est déconcertant. Très, même.
-Tu préfèrais que je ne le sois pas ?
-Non. Tu es parfaite comme ça.

Sophie avait encore une fois les joues cramoisis. Si elle rougit a chaque fois que je lui fais un compliment, ça va être long.

Bonsoir les tartiflettes ! Je ne dirais plus bonjour. Trop de personnes disent bonjour. Et personne dis bonsoir ! Alors bonsoir chers gens.