Résistance - {LivaixReader} - PAUSE

- Chapitre 1 -

Été 1939

1, 2, 3, 4, 5, 6 ...

Six nuages qu'elle comptait depuis le sol frais sous le grand chêne du parc de son village natale. Elle devinait ou plutôt cherchait une ressemblance entre les nuages et les être-vivants voir les objets réel de son monde. C'était devenue une habitude depuis le début de la saison pour notre protagoniste de venir se coucher sous l'arbre de plus de trente mètres de hauteur, malgré le fait qu'elle doit faire une marche de quinze minutes, long vous diriez, mais s'en est mieux que d'enchainer les robes les une après les autres de couleurs différentes sur un corset a en couper le souffle afin de montrer leurs richesses et leurs physique truquée aux classes supérieurs lors des bals privé, elle préfère user son temps libre dans la nature loin de son milieu. 

Ce n'est pas qu'elle ne l'aime pas, non, loin de la l'idée de détester sa richesse, au contraire elle l'aime et ne veut en manquer. Son père étant le propriétaire de l'usine de fabrication du sirop d'érable la plus connue de sa région, son chiffre d'affaire est envié chez le peuple de la ville de la jeune fille. 

Elle contemplait les enfants courir pour échapper a un seul par lequel ils sont poursuivit, connaissant le jeu du loup, vaut mieux pour eux de ne pas se faire attraper. Ce petit village reculé se situant au fin fond du pays mais qui n'est pas non-plus un trou perdu était charmant et accueillant, le commerce n'était pas ce qui manquait ici car le marché ouvert ou les villageois des villages aux alentours situé a quelque heures venait se regrouper le jeudi matin afin de vendre leurs biens. Cette matinée est la plus aimée par son amie, sachant que differente nourriture se retrouve au même endroit, elle s'y pointait le plus tôt possible en entrainant T/p dans son manège. Sasha alias la gourmande était la fille de l'homme qui tenait un restaurant carnivore, et pas que c'est son amie mais T/p se permettait d'en faire la pub tellement la nourriture proposé est a s'en lécher les doigts. 

Sous l'ombre que projetait le chêne, elle émit un petit rire en se remémorant l'image de son amie en train de déguster ou plutôt dévorer le plat de son fiancé, car oui, Sasha est éperdument amoureuse du chef cuisinier du restaurant depuis le jour ou il nous a cuit des plats succulent. Evidemment l'homme eu ses sentiments réciproque car d'après lui, elle est la seul a prendre autant plaisir de sa cuisine, cela l'a tellement affecté qu'il eu le coup de foudre pour elle. Belle histoire d'amour qui se poursuivra avec un mariage qui se réalisera dans un mois.

T/p regardait approcher son amie, sous son chapeau de paille elle mâchouillait une tige de blé qu'elle laissa tomber une fois arrivé a son hauteur. Sasha s'assoie en prenant la même position que son amie avant de lancer une conversation

- Salut, dit-elle
- Coucou, répondit T/p
- Niccolo m'as proposé d'avancer la date de mariage,
- Ca t'arrange bien non ?
- Oui mais je ne sais pas, avoue Sasha
- Pourquoi ? Toi qui étais si excitée a l'idée de vivre sous le même toi que ton fiancé?
- Dis T/p, j'ai peur. J'ai- comment dire, entendus une conversation téléphonique de mon père.
- Et ? Qu'elle rapport avec ton mariage ?
- Comme tu le sais, Niccolo vient de Mahr suite a un déménagement. Mon père disait que Mahr devenait dangereux a cause du fou qui est passé au pouvoir,
- Oui Sieg, un vrai dur a cuire,
- Ce que je veux dire, c'est que l'armée de ce pays gonfle de plus en plus d'après les journaux et j'ai peur qu'il veuille que les personnes originaire de Mahr rentre chez eux, surtout les hommes pour augmenter encore l'effectif de son armée,
- Tu crois qu'il le ferait ? 
- C'est qu'un malade, déjà rien qu'en sachant qu'il essaie de diviser son peuple entre les mahrs parfait et les eldiens-mahr ca me fais des sueurs froides dans le dos,
- Je n'en n'ai aucune idée de tout ca. Je ne savais pas ses intentions folle désolé,
- D'où peux-tu les savoir si ton père contrôle vos radios et interdis le journal a la poste,
- Oui, mais c'est pour nous protéger Sasha, il ne veut pas qu'on s'affole pour un rien,
- Oui je sais, mais de toute façon je me marierais quand même...malgré cette peur en moi.

La brune ôta son chapeau de paille pour venir le poser sur ses genoux, tournant le regard pour le poser sur la personne qui lui sert d'amie d'enfance, elle remarqua qu'elle n'avait pas bougé d'un cil et fixait un point précis ou plutôt ; une personne précise,

- Ackerman t'intéresse toujours? demanda t-elle
- N'importe quoi ! hurlait presque T/p prise la main dans le sac
- Tu devrais lui parler, tu l'observe toujours de loin,
- Jamais,
- Tu vas le regretter,
- Je me contente de le regarder,
- Sais-tu que l'état s'attend a une quelconque invasion de mahr ?
- Quel est le rapport ? Et pour répondre a ta question non je ne le savais pas,
- Le rapport est que l'état fera appel a chaque homme qui saurait tenir une arme en main, prêt au combat,
- Tu penses que- oh non,
- Va lui parler,
- Trop la honte, 
- C'est juste un salarié de la boutique de thé, il et pas bien méchant,
- Mais il est intimidant Sasha !
- Poule mouillé, se moqua son amie

Un léger coup de vent froid vient soulever les cheveux de la jeune femme qui sentait ses joues rougir a cause du sens que la conversation prenait. 

'Devrais-je sortir de ma zone de confort? ' pensa t-elle

Elle se leva d'un bon, après tout on a qu'une vie hurla t-elle pour elle même. Déterminé, elle se dépêcha d'aller vers cette boutique ou il y avait la personne qu'elle observait servir le thé pendant presque trois mois.

- Allez T/p ! On fera le mariage le même jour! cria Sasha
- Tais-toi patate il va t'entendre ! rougit-elle aussitôt
- Dépêche sinon je vais le voir moi-même.

Cette parole déclenche en la jeune femme une vague de panique, il ne faudrait surtout pas que Sasha ce mêle de cela au risque de se prendre la honte devant tout ces gens la. 

Elle stressait a chacun de ses pas voulant retourner en arrière et se rasseoir au coté de son amie, mais sa détermination et surtout pour son honneur elle arrive devant la porte de la boutique. Poussant cette porte faite de bois, elle s'avance jusqu'au comptoir la ou se tenait ce beau Livai Ackerman

A suivre →

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