Nous étions au mois de juin, le soleil brillait de tous ses éclats illuminant tout de par ses rayons. Il y faisait une grande chaleur, pas insupportable mais juste assez pour vous donner envie de vivre parmi la nourriture se trouvant dans votre congélateur.
Il n'y avait pas beaucoup de bruit, seulement les criquets ainsi que divers insectes et quelques oiseaux qui chantaient. Des papillons de différentes couleurs volaient par dessus les champs de fleurs aussi colorés qu'eux.
Au milieu de ce paisible lieu se trouvait un homme. Grand d'à peu près un mètre quatre-vingt dix, doté d'une cheveleure verte qui pourrait être confondue avec une de ces nombreuses plantes. Il était vêtu d'une simple tenue de fermier : une chemise à carreaux rouges et blancs, et par dessus une sorte de combinaison beige. Il portait aussi une paire de bottes, bleues, qui lui arrive aux mollets. ainsi qu'un chapeau marron pour le protéger d'un coup de soleil. Il ne souhaitait après tout ne pas tomber malade, qui le voudrait me diriez-vous, car cela aurait d'affreuses répercussions sur son travail.
Les nombreux fruits, prêts à être cultivés, pourraient pourir ou même être mangés par des insectes. Les fleurs risqueraient d'être fanées et perdre ainsi leur beauté. Ce serait horrible pour l'homme si cela arrivait. Tous ses efforts auraient été anéantis.
Équipé d'une pelle, il enlevait de la terre pour pouvoir y mettre des graines d'on ne sait quoi. Il lui restait seulement quelques travaux pour qu'il puisse rentrer chez lui et alors se reposer. Après environ trois heures, il finit et se dirigea vers sa voiture qui était garée à quelques minutes de son lieu de travail. Sa ferme se trouvait non loin d'un champ touristique où de nombreuses personnes venaient dans le but de le visiter.
Après chacun de ses pas, des empreintes de chaussures se formaient dans la terre montrant qu'une personne y avait marché.
Alors qu'il s'apprêtait à rejoindre son véhicule, il apperçut une vive lumière et, par simple curiosité, décida d'aller en découvrir la source. Il s'attendait à un bout de verre, mais aucunement à ça !Un téléphone, qui coûtait sûrement une fortune, se trouvait là. L'homme pouvait y voir son reflet comme s'il s'agissait d'un miroir tellement son écran était grand. Il se baissa pour le ramasser, lorsque qu'il fut dans ses mains abîmées il y fit très attention. Il ne voulait absolument pas le casser car il souhaitait le rendre à son propriétaire. Le fermier était un homme honnête, intelligent sans jamais avoir le besoin de réfléchir, ne voulant causer du tort à personne. Même si quelques fois il le faisait intentionnellement, car il n'avait pas sa langue dans sa poche. Lorsque qu'il pensait une chose, il n'hésitait pas à le dire. Il lui manquait cruellement de tact.
Après quelques minutes, il décida finalement de se rendre dans sa voiture, le téléphone toujours dans une de ses mains, et de rentrer dans son modeste appartement pour un repos qu'il a bien mérité.
S'il savait ce qui l'attendait, il n'aurait pas écouté sa curiosité et n'aurait jamais, au grand jamais, touché à cet maudit objet.
De base, l'idée de cette fanfiction provient d'un chatroom que yosfeln a écrit (allez lire vous regretterez pas). Sauf que moi j'ai décidé de l'écrire sérieusement donc la voilà mdrr
Mon rythme de publication sera très irrégulier, (un chapitre par semaine si tout va bien) tout simplement car je n'ai pas énormément de temps. De plus je n'ai pas de wifi, je suis donc obligé d'aller à la gare pour pouvoir me connecter :'))
Ah oui, si y'a des fautes d'orthographe n'hésitez pas à me les rapporter, j'ai écrit les chapitres la nuit quand j'étais fatiguée alors il y en a sûrement pas mal.
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Ce maudit téléphone.
FanfictionUshijima n'était qu'un simple fermier, alors qu'il souhaitait rentrer chez lui, par pur hasard, il trouva un téléphone sur le sol. Qui aurait cru que cette simple découverte allait autant changer sa vie ?