Une scène #2

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Même thème que le chapitre précédent.

Même thème que le chapitre précédent

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Jean

Tes poignées étaient enchaînés à un mur et tu regardais le sol en silence. Voilà plusieurs heures que tu étais enfermé.e, le temps te paraiqsaient si longs que tu cru être ici depuis de très longs mois !

Le bruit d'une porte s'ouvrant te fit finalement relever la tête.

- Ah, c'est vous chevalier pissenlit.

- [T/P] [T/N], Vous me sembliez être un.e femme/homme responsable et raisonnable lors de notre entrevue... Alors expliquez moi comment avez-vous pu finir ici.

- Il n'y à rien à redire. Je me promenais aux abords de Mondstadt lorsqu'un homme, sois disant marchand, m'a sauté dessus. Je ne sais pas ce qu'il voulait me faire mais j'ai préféré.e me défendre plutôt que prendre le risque d'être blessé.e... Et maintenant me voilà, enfermé.e pour m'être protégé.e car la parole d'une personne riche passe avant celle d'un.e simple journaliste.

Elle soupira un instant.

- Il ne s'agit pas que de ça...

- Oh vraiment ? Alors comment expliquer que je sois attaché.e et lui entrain de tranquillement dormir chez lui ?

Jean ne trouvait rien à redire. Elle savait que tu avais raison... Mais son statut ne lui permettait pas de changer les choses.

- Tu-

- Ne me tutoyer pas. Nous ne sommes pas amis d'enfance, n'avons pas connue de souffrances ensemble. Et surtout, je ne veux pas de votre pitié.

Ta voix était sanglante et tu savais que tu regretterais d'avoir ainsi parlé au Chevalier de l'ordre. Mais là, tout de suite, tu ne ressortirai peut être plus jamais de prison alors le respect n'était plus à ça près.

- Je... Je vais faire une enquête pour vous innocenter ou du moins éclaircir le problème. Je suis consciente que l'histoire de ce marchand ne tient pas et que vous ne semblez pas être du genre à frapper sur un coup de tête. Attendez-moi [T/P]! Je ferais de mon mieux.

C'était ce qu'elle avait dit ce jours là. Mais 8 mois étaient passés. 8 longs mois sans que l'enquête n'aboutisse à quelque chose. Jean te rendais visite presque tout les jours. Venant parler de tout et de rien en même temps. Une certaine relation s'était placée entre vous. Mais d'un autre côté, tu aspirais à la liberté.

Tes jambes étaient devenu fragile par le manque d'exercices et tes doigts étaient douloureux à cause du froid de la nuit. Tout cela n'était pas juste.

Réaction | Genshin ImpactOù les histoires vivent. Découvrez maintenant