Black Hole

1.

Le mal est partout. Dans l'air, dans les murs d'une veille maison, dans les pensées des gens. Je m'en suis rendu compte assez tôt dans ma jeunesse. Mes parents n'étaient pas très riches et très vite, notre situations financière se transforma en gouffre sans fin.

Sans grande surprise on a déménager dans une petite ville au nord des États Unis. Aucun panneaux ne l'indiquait et elle figurait que très rarement sur les cartes. Une amie de mes parents venait de perdre sa mère. C'est son ancienne maison qu'on s'apprêtait d'acheter. Ça en dit déjà long sur l'ambiance.

Cette partie de ma vie reste très floue, malgrés le fait que j'y repense souvent. C'est comme si mon cerveau c'était construit une barrière, une frontière entre ma vie actuel et mon passé. Pour me protéger je suppose, après tout, je ne peux pas le questionner.

Je suis un homme célibataire, sans famille, le genre qui n'intéresse aucune filles pendant les soirées. Je fais aussi partie du FBI. Alors je n'est pas non plus le temps d'aller dans des soirées. Mes journées sont assez remplies. Souvent je rentre tard et la nuit je ne dors pas beaucoup.

Ce soir là j'avais fait un mauvais rêve. Ce genre de rêve où l'on est prisonnier mais dont on veut connaître sa fin. L'histoire principale ? Mon enfance. Des scènes sans trop de rapport qui défilent les unes après les autres. La seule particularité, assez dérangeante, est que toutes ses scènes étaient en noir et blanc. Non je n'était pas daltoniens plus jeune, c'est ce qui me surprenais le plus...

-Luc. Luc tu m'écoutes !?

Je repris mes esprits. C'était Anna qui me parlait. On était en pleine scène de crime, elle m'avait choisit pour être son coéquipier sur cette enquête.

-Oui je t'écoutes. Mais tout ceci m'a fait rappeler de lointains souvenirs.

Elle ne m'avait pas choisit par hasard. La victime de l'affaire sur laquelle on bossait. Était un ancien professeur de Black Hole. Elle à tout de suite pensée à moi et à insistée auprès des supérieurs pour que je l'accompagne sur cette enquête.

Anna vient aussi de Black Hole et c'est là-bas qu'on s'est rencontrer elle et moi. À cette époque on devait être au collège, mais, mes souvenirs me feront toujours défauts. On évite également de parler de cette période. Par choix, ou tout simplement qu'on en a jamais vraiment eu l'occasion.

-Il se serait installé dans cette appartement il y a moins d'une semaine. Et devine d'où il vient ?

J'aurais aimé que ce soit d'une université confortable. Le genre qui font du bon café gratuit. Mais j'avais déjà arrêté de rêver.

-Black Hole ?
Que je dis d'une voix ferme.

-Bingo. Ce très chers Mr.Beguins en à eu marre de son quotidien et a voulu changer d'air.

J'ai de très vague souvenir de cette homme. Je me suivent qu'il était strict, le genre de prof à être plus fort que tout le monde et à savoir absolument tout. Je ne l'appréciais pas vraiment, mais cela ne vallait pas la mort pour autant.

Une femme en chemise blanche était entrain de s'avancer à grand pas vers nous.

-Bonjour. Shaïla, je suis médecin légiste. Je vous tient informé du dernier rapport..

Elle ne m'a même pas regarder. Je sais que je ne suis pas un tombeur, mais l'égo d'un homme est, comment dire, irritable.

-Je vous écoute. Répondis Anna.

-On a fait des prélèvements qu'on à envoyer en analyse. La cause de la mort est une intoxication. En clair, on lui a envoyer du poison dans le corps.

À ces mots je regardais le corps de Mr.Beguins. J'y avais remarquer une marque dans le coup, une sorte de piqûre.

-On l'aurai donc piquer.
Répondis Anna.

-C'est exact. Le coupable le connaissais bien. Le produit était un allergène auquel la victime était très sencible. Le tueur connaissais bien sa victime.

-Le corps se trouve dans le salon et il n'y à que deux issues possibles. Alors soit il avait la clée de la porte..

J'interviens dans sa parole.
-Soit il est passé par la fenêtre.

-Mais aucune trace d'empreinte sur le sol.
Rétorqua Anna.

-Il s'est suspendu.

-Daccord mais comment tu expliques qu'il n'y est pas de seringue ?

Je réfléchis quelques secondes mais la réponse me paraissait logique.

-Le criminel à envoyer la seringue qu'il à accroché à un fil pour ensuite la récupérer.

-Bravo, Sherlock à résolue le mystère.
Elle dit cela avec un thon agacé.

Je me tournais vers la légiste pour la saluer.

-Nous devons partir. Nous allons interroger le voisinage.

-Il y a un bar en face de cette immeuble. Des habitants du quartier doivent sûrement s'y rassembler.

-Merci pour l'info.

Je l'avais déjà repérer et c'était enfaite ma destination. Sur le pas de la porte je me retournais.

-Tu m'accompagnes Anna ?

Elle était pencher sur la fenêtre à regarder vers le haut.
-Pars devant, je vais vérifier quelque chose.

-Daccord alors on se retrouve là-bas.