RABIA

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Une ruelle sombre s'offre à lui, L'homme court, il a peur de la nuit, celle ci lui rappel sa part sombre, dans sa recherche de perfection cela l'ennui.

La route semble ne plus vouloir en finir. Elle s'allonge et s'assombrit à mesure qu'il avance. Stop ! Le silence. Plus un bruit. Un oiseau chantais hier. Plus rien. Le vide total. Le néant. Au suivant. Et le chaos prend place. Un char passe.  Les balles fusent et transpercent les âmes innocentes. Les bombes explose. C'est le festival de la mort. L'enfer sur terre, le paradis des fous.

Court petit homme et ne t'arrête pas ! Ahah ! Retourne toi et regarde ce désastre. Les grands bois ne sont plus et le cerf pleure de ne pas avoir pu empêcher cela. L'ours rugira et le lion riera. Je suis le roi ! Qu'on m'apporte mes rênes. Traîné sur le trottoir de la ville aux milles péché les princesses s'extasient face à leur prince charmant klaxonnant. Dehors tout me fait peur. Tiens voilà un enfant qui joue. Bam ! C'est la faim. Le jeune garçon s'en va d'où il vient. Pas par l même chemin. De la mère à la terre il n'y a qu'un pas. Et tout un univers ne dure que cinq minutes.

Il a été touché sept fois. Sept de l'apocalypse. L'ange pleur la mort de l'enfant. Il c'est endormi si calmement. Ne crie plus maman. Tout ira mieux.

Détruit, briser et accuser. Ne jamais regretter. Cons, sommes et argent. Le code est depuis longtemps dans la matrice. Aucune marche arrière aucun repos.

Vous vous êtes béni pour mieux vous bannir.

En clair la fin des temps n'es proche que si l'homme l'approche.

Néanmoins la fin d'un temps a été sonnée.

Le respect existe-t-il toujours ?

Montrez moi où se situe l'amour.

L'homme est dans une ruelle assombrit par ses pensées et court pour éviter son passé.

Paroles de vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant