Vilain Deku x Reader

Chapitre 15 : L'ironie

[Moi]: BAHAHAAHA.... Pardon ?

Il me regardait comme si j'étais folle.

[Moi]: Techniquement, je ne serais pas enfermé dans cet chambre si je serais à toi.

Il me regarda et bafouilla quelque mot peu compréhensible puis me dis :

[Izuku]: Si tu n'est pas enfermé tu t'échapperai, avant que tu dise quoi que ce soit, sache que je vais te faire visité et je vais te mettre des menottes...raison de sécurité... chuchote-t'il.

Eh merde...

Je ne dis rien, il me menotte avec des menottes normal (encore heureux) et je le suivis. En sortant de ma chambre, je remarqua que il n'y avait pas de fenêtre, dommage. Il y avait un long couloir blanc et au bout de ce dernier se trouvais des escaliers qui menait à une sorte de cave. Dans cette cave, se trouvait encore des escaliers qui nous conduisit à une porte qui cachait une pièce ressemblant à un bar. Pendant le trajet j'ai remarqué qu'il n'était pas très bavard, mais en contre partit il a les mains baladeuses...
Enfin arrivé dans la salle je remarqua qu'il n'y avait personne apart Izuku et moi.

[Moi]: Pourquoi il n'y a pas le brûlée ? demandais-je.

Il me regarda d'un air qui montrait très clairement qu'il était jaloux du fait que je parlait de quelqu'un d'autre que de lui et dis :

[Izuku]: Ils sont partis en vacances, donc ont est seuls toi et moi. Il me regardait de bas vu que je suis plus petite que lui en taille, putain il a grandit en plus il doit faire dans les 1m75 même plus, il plaça ses mains sur mes épaules et me regarda

[Moi]: Tu fais peur tu sais.

[Izuku] Je t'aime.

[Moi] Pas moi.

DANS TA GUEULE SALE PSYCHOPATHE !
Aussi faut dire c'est quoi cette déclaration claquée

[Izuku]: Pourquoi ?

Contre toute attente il m'avait demandé "pourquoi".
Je ne m'attendais pas à cette question, je pensais qu'il allait me sortir une chose du genre "Tu va changer d'avis...". Mais aussi il est con lui là pourquoi il me demande pourquoi !? Mec tu me kidnappe pendant que moi je suis sensé voir ma famille, ok t'es bg mais si je ferais comme toi Jimin serait déjà dans ma cave.

[Moi]: Pourquoi ? Eh bien parce que tu as disparu soudainement, tout le monde est inquiet à ton sujet ! Moi même n'étant que t'a voisine de table j'était inquiète à propos de toi ! Et toi tu me séquestre ici sans m'expliquer tes raisons ! Et même si tu as des raisons du genre "Je t'aime t/p.." Mec ta gueule, on ne kidnappe pas les gens pour qu'il nous aimes putain !

Il me regarda choqué de ce que j'avais dis. Il baissa la tête et me pris comme un sac à patate. Il se dirigea vers le chemin que nous avions emprunté auparavant. On arriva vers une pièce qui n'était non loin de la mienne, je présume que c'était sa chambre.

[Moi]: Izuku que fait-tu ? Pourquoi tu m'en-

Il me coupa la parole en me déposant de manière peu délicate sur son lit, lui étant au dessus de moi je me trouve dans une situation où je suis vulnérable..
Que compte tu faire Midorya ? Il ne me regardait pas, il me dévorait du regard. Ses yeux vert émeraude remplis de malice était posé sur moi. Il commença par me caresser la cuise avec son pouce en fessant des mouvements circulaire tout en remontant vers mes hanches. Mes joues rougissaient légèrement et il le remarqua, il affichait alors un regard assuré rempli de danger.

[Moi]: Midorya, que fais-tu faire ?demandais-je surprise de ses gestes

Ses yeux s'écarquillaient, choqué de se que je venais de dire comme si j'avais prononcé quelque chose de travers. Il ne me regardait plus, son regard était baissé. je l'aurais vexé? Mais pourquoi ? Et puis même que fait t-il bon sang ! Il arrêta tout gestes et me regarda.

[Izuku]: T/p... bafouilla t-il Tu penses vraiment tout se que tu as dis ? dis-t'il en s'approchant de moi en me regardant dans les yeux attendant ma réponse.

[Moi]: Bien sûr que je le pense. Midorya, pourquoi suis-je ici ?

Il baissa la tête signe qu'il n'aimais pas ma réponse et ne répondit même pas à ma question.Il enleva ses gant noir en cuir et les jeta a l'autre bout de la pièce. Je le regardais faire ceci. Il se retourna vers moi et replaças derrière mon oreille  une mèches de cheveux c/c.Il dénoua sa cravate et se rapprocha vers mon cou ou il y laissa quelques marques.Je ne m'attendais pas à ça, je rougis fasse a se contact et il le remarqua, il déboutonna alors quelques boutons de ma longue chemise blanche, son regard était toujours froid mais il avait l'air de se préoccuper de moi car il n'arrêta pas de me lancer des petits regards. Je compris ce qu'il voulait faire et rougis.

[Moi]: Arrête je-

Il se plaça sur moi au niveau de ma poitrine et s'allongea sur moi.

[Izuku]: T/p, Tu m'aime ?

Non Izuku, je ne peux pas, je ne peux pas t'aimer dans ses circonstances.

[Moi]: Tu sais très bien que ce n'est pas le cas..

[Izuku]: Je vais te faire changer d'avis... Et par pitié arrête de m'appeler par mon nom de famille.

Il ne me laissa même pas le temps de réfléchir qu'il m'embrassa, il me pris les poignets pour "intensifié" le baissé, je ne m'attendais pas à ce geste et il remarqua ma non-réaction et fus mécontent.Il décida alors de me lâché mes poignets et de déboutonné sa chemise me laissant voir son torse nue, ce qui me fit rougir instantanément (faut avouer qu'il est bg) je détourna le regard gênée et il ricana du fait de me mettre mal à l'aise le salaud.
Je ne savais pas quoi faire. Il recommença ses mouvement circulaire sur ma cuisse mais cette fois ci il remonta vers mon entre jambe et je l'arrêta.

[Moi]: Izuku, arrête.. dis-je en tremblant face à ce qu'il fessait

Il me regarda dans les yeux d'un air innocent et m'embrassa comme pour me rassurer. Sentir son corps chaud près du miens était déstabilisant.Il  se releva et déboutonna son jean sans pour autant l'enlever et pris ma main.

_Tu veux voir un truc drôle ma t/p ? dis-t'il.

Je ne répondait pas, j'étais trop gêné face à la situation. Il pris donc ça pour un oui.
Il pris donc ma main et l'a mis sur son bas ventre et j'aperçus qu'il y avait une bosse qui se formait. Horrifié j'enleva ma main pendant que lui rigolait tout en se tenant au dessus de moi.

[Moi]: Izuku arrête, je n'ai pas envie.. dis-je.

Il me regarda et vis que des larmes coulaient sur mon visage et compris qu'il me fessait peur. Il reboutonna son pantalon et me pris dans ses bras pour me consoler mais je le repoussa.

To be continued